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165 Document téléchargé depuis www.cairn.info - reims_ms - - 194.167.104.21 - 05/08/2012 04h22. © S.E.R. derrière avec 12 % du PIB. Ce dynamisme avait permis aux entreprises espagnoles de partir à la conquête du monde : Telefonica, les banques Santander et BBVA, la compagnie pétrolière Repsol, l’électricien ENDESA se ruèrent sur les privatisations en cours en Amérique latine, ce qui modifia de fond en comble leur périmètre d’action. Elles achetèrent aussi des entreprises européennes. Altadis

Les modalités du financement : le système financier : A. Les différents modes de financement : 1. Le financement direct par les marchés de capitaux a. le mécanisme b. les marchés de capitaux 2. Le financement indirect ou intermédié par les banques 3. le circuit général de financement de l’économie 4. Evolution française et mondiale des formes de financement a. l’économie d’endettement : de 1945 à 1980 b. le développement du capitalisme financier : depuis 1980 : l’économie de marchés financiers

(émission d’actifs qui correspond à l’émission d’action ou à une augmentation du montant des actions existantes et emprunts auprès des banques ou émission de titres de créances ex : obligation) • Le financement sur fonds propres (autofinancement + émission d’actifs) et l’endettement (émission de titres de créances ex : obligation et emprunts auprès des banques) • Le financement direct (autofinancement + émission de titres de créance + émission d’actifs) et le financement indirect ou désintermédié

du bien acheté par les emprunteurs. Les conditions de prêts étant relâchés, de nombreux emprunteurs n’ont pas pu rembourser leurs crédits. Les banques ont donc pris le contrôle de leurs biens. Le défaut de ces « subprimes » a entraîné une diminution de valeur du marché immobilier. Les banques ne pouvant plus se remboursant sur les biens, de nombreuses banques se sont retrouvées en difficulté, ce qui a entraîné une crise de confiance dans le monde financier et donc une diminution générale des investissements

globales des compagnies d’assurances en 2009 contre 33% l’année précédentes.il faut rappeler que l’assurance vie a beaucoup progressé au Maroc grâce à la bancassurance, laquelle exprime une politique de distribution des produits d’assurance par les banques à travers leurs réseaux et tout particulièrement l’assurance vie qui conforte les personnes individuellement. La bancassurance est donc une politique bancaire et à largement profité aux compagnies d’assurances adossées à des établissements bancaires

renouvelable, et il devrait assurer un fonctionnement souple du compte. * Caution de retenue de garantie Pour une entreprise amenée à travailler dans le cadre de marchés publics ou privés. Les cautions et garanties de marché sont émises par la banque, à votre demande, en faveur de vos clients. Etape parfois incontournable pour obtenir un marché, elles vous permettent également d’optimiser votre trésorerie. Elle est généralement de 10% du montant du marché * Caution de restitution d’acompte

moment de passer aux concepts de remboursement irrégularités et réserves, garanties et fraude qui seront répartis en trois sections. Commençons par la première section : savoir comment la banque émettrice priée par son client d’ouvrir un crédit documentaire en faveur de son fournisseur par l’intermédiaire d’une banque étrangère notificatrice ou confirmatrice, autorisera cette dernière de se rembourser des paiements qu’elle a effectués en vertu de crédit, dans un cadre réglementaire précisant les instructions

générale : Toute décision d’une banque implique l’appréciation d’un risque, donc une anticipation de l’évolution attendue de chaque situation. De plus la dimension de la banque et l’importance des investissements que sa croissance exige, entraînent un accroissement de l’incertitude qui s’attache à toute décision, et augmentent de manière sensible les risques courus. En même temps, les longs délais de mise en application des décisions diminuent la flexibilité de la banque à l’évolution de la conjoncture

financières survenues dans les trente dernières années dans les pays développés – et ayant impliqué les banques –, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff (2008) soulignent la similitude des processus qui précèdent les crises : forte montée des prix immobiliers, progression rapide du ratio dette du secteur privé/PIB, détérioration de la balance courante. Ces résultats confirment plusieurs études de la Banque des règlements internationaux (BRI) sur les indicateurs macroéconomiques avancés des crises. La récurrence

croissance pour l'année à 1,8% fin septembre. La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, tablait sur "un troisième trimestre d'excellente qualité" du fait d'indicateurs positifs sur les commandes, la consommation et les créations d'emplois. La Banque de France a prévu une croissance de 0,6%, l'Insee de 0,7%. Soutenue par la consommation Les dépenses de consommation des ménages ont progressé de 0,8% sur la période de juin à septembre, après +0,6% au deuxième trimestre. Elles contribuent