Phallus

Zob Aller à : Navigation, chercher « Tiens voilà mon zob » ~ Sacha Guitry à propos de sa bite « Je voudrais pas crever... sans avoir mis mon zob dans des coinstots bizarres » ~ Boris Vian à propos de lui Le zob est un objet au port obligatoire chez les hommes (males). D'aucuns prétendent qu'un zob est une : poutre, saucisse, banane, gédzinne, qui pendouille, zizi, une graine..... ou plus précisément, UN PÉNIS ! Qui pendouille, enfin pas tout le temps, par exemple avant la fornication

la sexualité. Ce complexe de castration survient donc au sortir de l'Oedipe (durant la petite enfance). C’est le renoncement à l'objet maternel. L’acceptation de la castration, c’est-à-dire de la perte du phallus imaginaire dans l’inconscient, érige à son tour le phallus imaginaire en phallus symbolique. Le petit garçon abandonne la mère comme objet et son désir peut se porter sur d’autres objets. Cela marque le début de la période de latence (période entre l’enfance et l’adolescence) et de la

La prévalence du phallus La métaphore paternelle = justification la + aboutie de l’inconscient structuré comme un langage remarque préliminaires/ objet phallique autour duquel gravite la métaphore du Nom-du-Père. Svt erreur / phallus clé de voûte de la problématique oedipienne et de la castration : chez FREUD : référence constante et centrale place svt confuse chez commentateurs : ex ; JONES (1879-1958) et son aphanisis (LACAN) Jones confond implicitement pénis et phallus car méconnaissance

psychisme 2 - Retour à la théorie freudienne 2.1 – Le Complexe d’Œdipe L’enjeu est de faire changer l’enfant de position. Il se déplace d’une place d’objet à une place de sujet. Dans un 1er temps, l’enfant complète la mère en venant incarner son phallus imaginaire. L’enfant n’est pas séparé du désir de la mère. Dès le début, Freud pense que la mère manque toujours, elle n’est jamais là où on l’attend. Il complète sa mère en venant incarner le désir de la mère. Freud extrait cela de la théorie dès

La relation d'objet A quoi sert le mythe « L'objet imaginaire de la castration, c'est bien entendu, le phallus. La mère symbolique devient réelle en tant qu'elle se manifeste dans son refus d'amour. L'objet de la satisfaction, le sein par exemple, devient lui-même symbolique de la frustration, refus d'objet d'amour. Le trou réel de la privation est justement une chose qui n'existe pas. Le réel étant plein de par sa nature, il faut, pour faire un trou dans le réel, y introduire un objet symbolique

sur l’infantile, on fait une excursion théorique pour montrer avec la pulsion pourquoi la conversion va se produire sur le corps. Pourquoi y a-t-il une conversion sur le corps et pas uniquement sur la pensée. La demande maternelle et le phallus Pourquoi est ce que c’est sur le corps et pas dans la mémoire, dans le cerveau que cela se produit. Ca se situe au niveau du corps par ce que ca a été le premier lieu du refoulement, d’un traumatisme qui conserve la signification de ce corps

de solitude. En effet, le manque de reflet et d'écho de parole déclenchent une crainte d’être aspiré dans l'obscurité et de devenir le phallus de sa mère ; place que l'enfant pense devoir occuper. Cette pensée vient du fait que la mère éprouve un certain vide, une castration maternelle. Comme remède, l'enfant commence à se masturber. Ainsi, il ne peut être le phallus de sa mère vu que lui même possède un pénis. Il est en rébellion avec l’idée. Mais aussitôt la jouissance angoissée atteinte, celui-ci

Phallique. Avant cet âge, les lieux de plaisirs sont la bouche (stade oral) puis l’anus (stade anal). On parle de stade « phallique » car le « phallus » est le pénis fantasmé, idéalisé, symbole de la toute-puissance. Il ne s’agit pas du pénis en tant qu’organe. A cet âge, tous les enfants, filles et garçons pensent que tous les êtres vivants ont un phallus et qu’ils sont aussi puissants qu’eux. Mais l’apprentissage de la réalité va induire, pour la fille, la douleur d’avoir perdu cet attribut universel

il existe bel et bien, sauf que dans son fantasme, la fille n'a pas l'idée du pénis, mais d'un phallus qu'on lui aurait volé. Et elle tient sa mère pour responsable et ressens une haine revendicatrice envers sa génitrice qu'elle considère coupable de l'avoir faite fille et de ne pas avoir su la protéger. La petite fille assimilera son clitoris à un pénis. Ainsi, comme le garçon identifiera son phallus à un objet qu'il ne faut jamais perdre, elle fera de même avec ses organes génitaux. Il existe

castration. S’approprie t’elle le phallus d’Holopherne en détachant une partie de son corps ? Si l’on se base sur la pensée Freudienne, seul est reconnu comme modalité libidinale phallique le sexe du garçon. Le manque de phallus chez la fille serait relégué à un sexe castré. Lorsque la fille découvre la différence entre elle et un garçon, Freud laisse supposer que la fille éprouve un manque, celui du phallus manquant. Il ajoute également que la fille peut penser que le phallus va pousser par la suite, afin