Phedre Respect Des Regles

Art poétique Nicolas Boileau fait une synthèse de tout ce qui constitue le style classique. Le classicisme établit la suprématie de la raison qui s’exerce par des règles . Peindre le beau et le vrai est la grande préoccupation des écrivains. Mais comme les créateurs s’adressent à un public précis, la Cour, l’idéal est d’inspirer le respect du régime royal, le beau est ce qui est conforme à la morale chrétienne. Pour eux peindre le vrai, c’est peindre la nature humaine, peindre l’homme. La peinture

tragique veut éveiller chez le lecteur (ou le spectateur, si on a affaire à une pièce de théâtre, un film, etc.) des 'sentiments nobles' : pitié, admiration. Beaucoup de tragédiens désirent que le lecteur trouve un enseignement dans son œuvre. Exemples : Phèdre de Racine, Tite et Bérénice de Corneille, Antigone de Sophocle… Le spectateur peut ainsi atteindre la catharsis (purge des passions), l'élève plutôt la catalepsie. Le registre polémique implique le lecteur dans un débat d'idées. L'auteur s'efforce

lieu de l’action représentée. L’unité d’action : Les intrigues secondaires sont proscrites. Cela permet de concentrer l’intérêt dramatique sur le sujet principal de l’oeuvre, de simplifier l’intrigue. La règle de bienséance : Conformément au respect de la vraisemblance, de la morale, l'acteur ne doit pas choquer le spectateur (pas de présence de sang sur la scène). De ce fait violence et intimité physique sont exclues de la scène. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être

Contrairement à la diversité, à la couleur et à la fantaisie du théâtre baroque, le théâtre classique naît de la redécouverte des mythes, du théâtre antique et de règles strictes, ce sont des concurrents complètement opposés. Le théâtre classique est fondé à partir du mouvement littéraire le classicisme, le théâtre classique se caractérise par des règles strictes dont celle des trois unités, une utilisation des mythes et de l’antiquité pour sujet. Cela s'oppose donc complètement au théâtre baroque qui laisse

aucun acte libre (dont nous serions la cause initiatrice) au monde, c'est pourquoi nous devons postuler la liberté humaine comme condition de l'exigence morale elle-même condition de la valeur de la personne humaine à partir de laquelle le devoir de respect prend sens. Lorsqu'un homme est jugé dans un tribunal, on le suppose libre d'avoir agi autrement sans quoi on ne pourrait pas le punir et en ce sens la punition est un droit, une reconnaissance de son humanité. Si l'expérience de la liberté n'est

spécifiquement (sauf Les Bacchantes d’Euripide) au culte de Dionysos. Ils reprennent pour la plupart : les grandes légendes : la Guerre de Troie, les Atrides, Œdipe, etc. les grands mythes : le retour du vengeur, la malédiciton pesant sur une lignée (Phèdre). Les grands auteurs tragiques sont à connaître car les auteurs français s’en sont largement inspirés : ESCHYLE (525-456 av JC) : le vrai créateur de la tragédie (Les Perses, L’Orestie, Prométhée enchainé, etc.). Il montre le face à face de l’homme

quelques accessoires sont à sa disposition. Dans un autre pièce de Beckett, les personnages sont enfermés dans des poubelles. En revanche les didascalies, très prolifiques dans les pièces Beckett donnent des indications de mouvements scéniques qui, respectés à la lettre comme le souhaitait Beckett, donnent du sens tout autant que les dialogues. On peut noter également que fin du 20 ème siècle et aujourd'hui plus que jamais, on parle de Scénographie plus que le terme de décor qui tombe en désuétude.

compétences relevant des domaines suivants : Compétence 1 : La maîtrise de la langue française - - - - - - - - - - écrire lisiblement un texte copier un texte sans erreur respecter les consignes d’écriture rédiger un texte bref en respectant les consignes utiliser les principales règles orthographiques utiliser des dictionnaires lire un texte en prose à haute voix de façon expressive, en mettant le ton lire un texte en prose à haute voix de façon expressive, en marquant la

Cependant, il prétend que hors de cette grotte, la vérité existe et qu’il faut combattre ces illusions pour en sortir et la découvrir. L’exterieur de la caverne, est appellé par Platon « le monde des idées ». Le Banquet, extrait de son œuvre Le Phèdre, donne même la définition du Beau.Il est possible selon lui d’atteindre l’essence des choses, une vision presque divine. Il en déduit ainsi que la perception peut être parfaite, dès lors qu’on sort des opinions, des définitions communes. On pourrait

concilier la rhétorique des passions avec les vérités de la morale et de la raison ? Au cours de la première moitié du siècle, on avait assisté, d'une part, à un débat esthétique et littéraire sur la dramaturgie qui, par-delà la question du respect des règles et des bienséances, avait mis en évidence le problème de la moralisation des passions3, d'autre part, à la campagne étonnamment violente menée par le clergé contre les acteurs qui se voyaient interdire les sacrements4. Ce n'est toutefois que