Phedre Une Flamme Si Noire

(les noms des artistes peintres sont inscrits sous les tableaux). Jean Racine Le Tartuffe Dom Juan Les Fourberies de Scapin Charles Le Brun (1619-1690) © RMN / Droits réservés 142 — © Cned, Français 4e séance 1 — Séquence 12 Phèdre Molière Athalie Bérénice Pierre Mignard (1612-1695) © RMN / Agence Bulloz Horace Pierre Corneille Le Cid Tite et Bérénice Gérard Edelinck (vers 1643-1680) © Château de Versailles, Dist. RMN / image château de Versailles b) En te référant

(les noms des artistes peintres sont inscrits sous les tableaux). Jean Racine Charles Le Brun (1619-1690) © RMN / Droits réservés 142 — © Cned, Français 4e Le Tartuffe Dom Juan Les Fourberies de Scapin séance 1 — Séquence 12 Phèdre Molière Athalie Bérénice Pierre Mignard (1612-1695) © RMN / Agence Bulloz Horace Pierre Corneille Le Cid Tite et Bérénice Gérard Edelinck (vers 1643-1680) © Château de Versailles, Dist. RMN / image château de Versailles b)

et d’analyse doit-il associer le fond (les thèmes…) et la forme (le style…) et intégrer des éléments relatifs au contexte qui a généré l’œuvre et le courant intellectuel qui nourrit la pensée de l’auteur.Mais, une interprétation gagne en pertinence si elle n’appauvrit pas le texte. Ainsi, il convient de présenter le texte dans ses différentes facettes. De même qu’il faut suivre un ordre précis et ne pas mêler les différents niveaux d’interprétation. Pour cela, il est utile d’opérer par un double

1774.  — © Cned, Français 6e, © Cned – Académie en ligne séance 1 — Séquence 7 Le plus modeste des écrivains, La Fontaine, a lui-même, sans le savoir, fait son 1 éloge1, et presque son apothéose2, lorsqu’il a dit que, « Si l’apologue3 est un présent des hommes, Celui qui nous l’a fait, mérite des autels ». C’est lui qui a fait ce présent à l’Europe ; et c’est vous, Messieurs, qui dans ce 5 concours solennel, allez, pour ainsi dire, élever, en son honneur, l’autel4

divorcer, pour les femmes, et elles ne peuvent répudier un mari. Quand on entre dans des habitudes et des lois nouvelles, il faut être un devin pour tirer, sans l'avoir appris dans sa famille, le meilleur parti possible de l'homme dont on partagera le lit. Si après de longues épreuves nous y arrivons et qu'un mari vive avec nous sans porter le joug à contrecoeur, notre sort est digne d'envie. Sinon, il faut mourir. Quand la vie domestique pèse à un mari, il va au-dehors guérir son coeur de son dégoût et

divorcer, pour les femmes, et elles ne peuvent répudier un mari. Quand on entre dans des habitudes et des lois nouvelles, il faut être un devin pour tirer, sans l'avoir appris dans sa famille, le meilleur parti possible de l'homme dont on partagera le lit. Si après de longues épreuves nous y arrivons et qu'un mari vive avec nous sans porter le joug à contrecoeur, notre sort est digne d'envie. Sinon, il faut mourir. Quand la vie domestique pèse à un mari, il va au-dehors guérir son coeur de son dégoût et

XXI.  Spes XXII.  Ce que c’est que la mort XXIII.  Les mages XXIV.  En frappant à une porte XXV.  Nomen, numen, lumen XXVI.  Ce que dit la bouche d’ombre À celle qui est restée en France À propos de cette édition électronique   PRÉFACE   Si un auteur pouvait avoir quelque droit d’influer sur la disposition d’esprit des lecteurs qui ouvrent son livre, l’auteur desContemplations se bornerait à dire ceci : Ce livre doit être lu comme on lirait le livre d’un mort.   Vingt-cinq années sont

la bouche d’ombre ......................................458 À celle qui est restée en France ...............................................484 –6– À propos de cette édition électronique.................................496 –7– PRÉFACE Si un auteur pouvait avoir quelque droit d’influer sur la disposition d’esprit des lecteurs qui ouvrent son livre, l’auteur des Contemplations se bornerait à dire ceci : Ce livre doit être lu comme on lirait le livre d’un mort. Vingt-cinq années sont dans

sagittis. | |de sa masse venimeuse, couvrait tant d'arpents de terre. Contente-toi |461 tu face nescio quos esto contentus amores | |d'allumer avec ton flambeau je ne sais quelles flammes, et ne compare jamais |462 inritare tua, nec laudes adsere nostras!' | |tes triomphes aux miens." L'Amour répond : "Sans doute, Apollon, ton arc peut|463 filius huic Veneris 'figat tuus omnia, Phoebe,

leur livrée bleu sombre, leurs culottes mastic et leurs gilets rayés noir et jaune, se tenaient raides, graves et patients, comme des laquais de bonne maison qu’un embarras de voitures ne parvient pas à fâcher. Leurs chapeaux, ornés d’une cocarde noire, avaient une grande dignité. Seuls, les chevaux, un superbe attelage bai, soufflaient d’impatience. – Tiens, dit Maxime, Laure d’Aurigny, là-bas, dans ce coupé... Vois donc, Renée. Renée se souleva légèrement, cligna les yeux, avec cette