Phénoménologie de l'esprit

(le moi) va se déployer dans le temps: la vérité du moi est la temporalité. La connaisance est une sorte d’échange réciproque du moi avec lui-même qui lie la conscience de soi et la conscience d’ objet : c’est la phénoménologie de l’esprit, ou encore « l’histoire pragmatique de l’esprit humain ». Vous êtes en khâgne? • [pic]yves dit : à Quel est la nature du moi selon Fichte ? J’ai lu dans panorama de la philosophie que, selon Fichte, le moi est au point de départ de la science. Le premier

les organes. Enfin l'art est une affaire d'experts (comme la science), de ceux qui ont exercé leurs organes. 3. Kant Critique de la faculté de juger : Dépassement des deux points de vue précédents. Le beau est un intermédiaire entre la nature et l'esprit, entre l'intelligible et le sensible, il est une réconciliation miraculeuse entre les deux => Le matériel (les "sensations", dues à l'écoute de la musique par exemple) fait sens, devient de et par lui même intelligible => on peut en discuter contrairement

méditation) • J.-J. Rousseau Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (Partie I) • E. Kant Idée d’une histoire universelle… • F. Hegel Phénoménologie de l’Esprit (la solitude du maître) • F. Nietzsche Généalogie de la morale (1ère dissertation sur l’ascétisme) • M. Merleau-Ponty Phénoménologie de la perception (p.413)   • Adam (le premier homme) ; Jésus (sur la croix, abandonné ?) • L’autiste (B. Bettelheim, La forteresse vide) • Le célibataire • Un

être-pour-soi absolu, par là même celle qui a préféré la vie à la liberté et qui se révèle impuissante à faire, par elle même et pour assurer son indépendance, abstraction de sa réalité sensible présente, entre ainsi dans le rapport de servitude” (Phénoménologie de l’esprit) Sartre : “Autrui, c’est l’autre, c’est-à-dire le moi qui n’est pas moi” (L’Etre et le Néant) Sartre : “Autrui, c’est ce moi-même dont rien ne me sépare, absolument rien si ce n’est sa pure et totale liberté” (L’Etre et le Néant) Sartre :

réellement. Toutefois, il est significatif que des savants éminents et mondialement reconnus puissent, au terme de recherches qui ont été à la pointe de la science, rejoindre des préoccupations que l’on pourrait qualifier de mystiques. Cela démontre que l’esprit scientifique n’aboutit pas forcément au seul matérialisme et qu’on ne peut pas sonder les mystères de l’univers et de la vie, sans être ouvert à l’irrationnel et à la croyance. Certes, personne ne peut prétendre fonder une métaphysique ou une morale

grecque. Comment interpréter ce choix, sachant, et vous le savez au stade où vous en êtes de vos études, que la langue allemande a produit des textes de philosophie non négligeables telle la Critique de la raison pure d’un certain E. Kant, la Phénoménologie de l’esprit d’un dénommé Hegel, ou encore les Ideen , de celui qui fut et restera sans doute le plus grand des allemands ? Comment dès lors comprendre ? Faut-il y lire un anti-germanisme primaire de la part du jury ? Une volonté de déconsidérer

universelle qu'il appartient à chaque sujet de découvrir. Cette expérience est fondatrice, c'est par le « JE » que je peux revendiquer mon unité et l'assumer. Je ne suis pas parce que j'ai un corps mais parce que je pense. La pensée est séparée du corps. L'esprit vient avant le corps, il en est indépendant. Pour Kant, posséder le « Je » distingue l'Homme des choses et des animaux puisque notre conscience est réflexive, nous pensons, nous nous faisons une représentation de nous-mêmes, nous sommes objet de

manière on peut conduire les chose par ordre du plus simple au plus complexe. D’un point de vue de l’individu nous sommes dans le dualisme qui opère une dichotomie entre le corps et l’esprit : un esprit sain dans un corps sain (anima sana in corpore sano): d’une part il y a un corps (machine à exécuter), et d’autre part l’esprit domine et dirige la matière. Ainsi il existe un véritable consensus (paradigme cartésien) dans lequel baigne la société. Nous allons voir ainsi comment cet état de fait se retrouve

la maïeutique, Socrate veut amener ses interlocuteurs à «accoucher», à exprimer des idées enfouies dans leurs âmes et dont ils n’avaient pas conscience. Eironeia= Art de poser des questions en faisant croire qu’il ne connaissait pas la réponse. L’esprit de la philosophie de Socrate est toujours à l’oeuvre dans la philosophie contemporaine. Cependant la matière de réflexion philosophique s’est prodigieusement enrichie. IV) Apprendre à penser Paul VALÉRY : «Chaque homme sait une quantité

corps comme une entité globale. Chez les philosophes idéalistes, le corps est réinséré dans la totalité d’un ensemble où le corps (en tant que matière et objet) n’est qu’un moment du développement de l’esprit. Dans la philosophie contemporaine, avec l’existentialisme et la phénoménologie, le corps est une entité qui a une histoire qui le rend unique. Pour les philosophes structuralistes, le corps est un ensemble de structures qui se répètent, et qui n’a donc aucune histoire personnelle