Phénoménologie de l'esprit

purement mécaniques. Pour "l'Associationnisme", l'esprit humain n'est qu'un assemblage d'idées et de sensations. Les biologistes essaient de réduire les hénomènes psychiques aux processus mécaniques du cerveau. Le triomphalisme des sciences incite certains penseurs du début du XXème siècle à tenter d'élaborer une philosophie fondée sur la conscience et l'expérience individuelle. Ce souci est commun au spiritualisme de Bergson, à la phénoménologie de Hurssel et plus tard à l'existentialisme de

portant sur les essences ) Ce texte constitue un acheminement de l'attitude naturelle à l'attitude phénomenologique , Phénomenoligie qui par définition correspond a la science des phénomenes , à savoir de ce qui apparait dans l'experience , Cette phénomenologie doit etre définie comme l'étude des phénomènes ou d'un ensemble de phénomènes Nous découperons se texte en trois parties ' Il y a des sciences pures [...] imaginaire" ( l 1 à 12 "Il en est autrement [...] équivalent" ( L 12 à 15)"Mais [...]

Philosophie : Chapitre n°1, la conscience Transition vers le sujet : * Réfléchir : Sens physique. Phénomène de retour sur lui même pour l’esprit. Il y a des formes de réflexions multiples complémentaires et nécessaires entre elles. * Esprit : Faculté de penser et d’établir des savoirs (synonyme de connaissances cependant la connaissance va concerner un objet) multiples L’art représente dans la pensée une voie importante. La réflexion philosophique a une spécificité qui est d’adopter

la philosophie ne peut plus se constituer selon les formules qui furent les siennes jusqu’à ce jour, si elle n’est plus la reine des sciences sculptée au portail des cathédrales ni la racine de l’arbre cartésien, si elle n’est plus la science de l’esprit et des énergies spirituelles, qu’est-ce que la philosophie ? Henri Gouhier 1 I. LA LECON La question de savoir ce qu’est la philosophie est en elle-même, pendant qu’on cherche à la délimiter, indicative de ce que serait la philosophie en ce qu’il

concept métaphysique qui n'a aucun lien avec l'expérience ordinaire du monde. Il va faire du monde une idée et non plus un concept. Concept : sert à appréhender, c'est une catégorie servant à déterminer ce qu'est l'expérience. Il appartient a l'esprit mais a pour but de révéler l'expérience. Les idées sont au nombre de trois : l'âme, Dieu et le Monde. Ce sont des notions qui sont dans notre esprit et qui ne correspondent à rien dans la réalité, elle transcendent la réalité elles sont métaphysiques

l'âme à la physique. Pour eux, le monde est matériel mais vivant = matérialisme intégral, animation perpétuelle. Le sage est la personne qui ne rencontre pas d'obstacles, qui "ne se prend pas la tête", il est donc libre. à Epictète, le Manuel : l'esprit doit accepter toutes contraintes, sans tenter de détourner ce qui doit être fait. Pour Epictète, il a des choses qui dépendent de nous, et d'autres non : ce qui dépend de nous, ce sont nos jugements, nos tendances, nos désirs… ce qui ne dépend pas

aussi bien morale que physique pour asservir. En effet, personne ne peut nier que, être libre c’est n’être l’esclave de personne. En d’autres termes, n’est libre que celui qui est propriétaire de soi, de son corps, de sa pensée. Dans la Phénoménologie de l’Esprit, Hegel nous explique le procédé essentiel qui conduit l’Homme à devenir maître ou esclave : la conscience que nous avons de nous, la conscience que l’Homme à de lui-même, se voit obligée de s’élever au-dessus de cette animalité, le stade

en partant de notre situation humaine , cette Finitude qui est notre condition initiale de notre être au monde. Remarque : c’est le but du Cogito, et c’est ce geste qui fait que Husserl va bien plus tard faire référence à Descartes. Pour la Phénoménologie, il faut partir de notre rapport au monde et justement penser grâce à l’intentionnalité de la conscience ce rapport comme le seul possible au départ mais aussi à l’arrivée : pas de métaphysique pour Husserl qui soit nécessaire car tout doit reposer

LE SUJET OBSCUR A LUI-MEME ? Les philosophies de la conscience et de la liberté (Descartes, Kant, Hegel, Husserl, Sartre = humanisme, idéalisme et phénoménologie), malgré leur variété, par-delà leurs points de divergence, partagent toutes une certaine vision de l'homme : à la différence de l'animal, non seulement l'homme est un être conscient de lui, mais il est également un sujet capable de s'autodéterminer, doté donc d'une véritable liberté, ces deux caractéristiques faisant de lui une "valeur

philosophie de Kant « inachevée », peut être considéré comme « une marche dans l'escalier menant via Schelling de Kant à Hegel »[6] . Hegel re-développe l'idée d'une subjectivité absolue, au travers du concept de Moi chez Fichte, pour en faire une phénoménologie de l'Esprit. Un spécialiste de Fichte comme Alexis Philonenko ira pour sa part jusqu'à démontrer que « sans percevoir toutes les finesses de la déduction fichtéenne, l'idéalisme allemand et plus particulièrement Hegel ont pillé dans les structures de