Phénoménologie de l'esprit

effectif aux conditions concrètes de son édification. Cette analyse, telle que Marx semble la reprendre à son compte, relève d’une inspiration hégélienne, en rapport avec une spéculation tournant autour du thème de la mort de l’art. Dans la PHENOMENOLOGIE DE L’ESPRIT, à propos cette fois encore de l’art grec, mais présenté comme une production spirituelle et non plus seulement matérielle, on trouve cette analyse, qui annonce celle de Marx : “Les statues sont maintenant des cadavres dont a

métaphore elle-même qui soit « dominée » par le processus métaphorique, emportée vers l'autodestruction[36] . Or, l'oeuvre poétique de Bachelard (notamment son Lautréamont) est en fait complice de son oeuvre épistémologique (notamment La formation de l'esprit scientifique). L'oeuvre de Bachelard se conçoit, selon Derrida, comme le double projet d'une métapoétique (discours philosophique sur la poésie, qui fonde la possibilité d'une analyse littéraire descriptive et objective[37] , qui passe par la classification

travail ; c’est le " temps libre ", le temps passé hors du travail. L'humanité c'est ce qui nous différencie de l’animal. On peut préciser qu’en général, on distingue l’homme de l’animal par tout ce qui nous paraît être le signe de la culture et de l’esprit : la conscience, le langage, mais aussi, la liberté. Elle n’est pas naturelle mais construite (cf.Rousseau), du fait même qu’elle n’est pas naturelle avant tout, mais culturelle. On acquiert l’humanité, on naît humain en puissance mais on l’a en

définition trompeur, ou aliénant pour l'esprit, puisqu'il peut nous fasciner et nous éloigner de nos vraies tâches. Entre l'imagination et l'illusion, la distance est alors mince, comme l'affirme Spinoza : nous avons beau connaître la distance à laquelle se trouve le soleil, "nous n'imaginons pas moins qu'il est proche" en raison des impressions qu'en reçoit notre perception. L'imagination est donc, la capacité innée d'un champ personnel partiel ou complet à travers l'esprit à partir d'éléments dérivés de

bien le dispositif de surveillance qui est leurré. Le propre de la conscience tiendrait à l’inverse dans cette capacité exclusive de comprendre et neutraliser l’illusion. Il faudra dès lors, dans un premier temps, comprendre comment les facultés de l’esprit peuvent faire de l’illusion l’impropre par excellence. Toutefois, on ne peut assimiler simplement l’illusion à l’erreur : le soleil ne cesse d’avoir pour nous une taille apparente, telle qu’Héraclite la comparait à la largeur d’un pied, quand nous

est en faire une habitude , lorsque le desir devient un besoin il disparait et cela entraine une souffrance . il faut donner du sens a nos desirs. autrui : obstacle ou mediateur a la realisation de nos desirs HEGEL philosophe all "phénoménologie de l'esprit " il parle du désir de reconnaisance , le maitre et l'esclave ne sont pas des statu sociau ce sont des images. esclave es l'attitude de celui qui se soumet. le maitre es en position dominante , de maitrise , une meme personne peut etre

appelées parties de l'essence, alors que leur composition constitue bien l'essence elle- même. Par contre, si radicalement qu'on puisse exclure tout autre caractère de sa nature même, le triangle n'en demeure jamais moins aussi présent dans l'esprit. En effet, nul personne ne saurait absolument concevoir le triangle qu'en concevant du même coup les deux natures, forme géométrique, et être doué de trois côtés. Mais cette autre propriété bien nécessaire du triangle qui consiste dans le fait

Autrui représente un adversaire pour l’ego, qui se sent obligé d’en faire plus, pour être au dessus d’Autrui et d’arracher ainsi sa liberté. Tout ceci se résume dans la dialectique du maître et de l’esclave, explicitée par Hegel dans La phénoménologie de l’esprit. Il présente la vie humaine comme une ascension au cours de laquelle le plus fort devient le maître et convertit autrui en son esclave. Ce dernier fait tout pour son maître, qui n’a qu’à ordonner et ensuite consommer les fruits du labeur

modifie le monde par son travail En se reconnaissant dans son œuvre, l'homme acquiert une meilleure conscience de soi et de son humanité. C'est notamment qui Hegel dit « C'est par la médiation du travail que la conscience vient à soi-même » (Phénoménologie de l'esprit, 1807). II) Le travail aliénant animalise -Division des étapes du travail → anonymat, perte de reconnaissance, tâches abrutissantes - -Exploitation de nos jrs dans le travail -Isolement social

et ne saurait être résolue que par une révélation. Cf. Saint-Augustin, Confessions, Livre Dixième, Chapitre V : " C’est vous, Seigneur, qui me jugez. " Nul homme ne sait ce qui est dans l’homme, sinon l’esprit de l’homme qui est en lui ". Il y a cependant dans l’homme des choses que l’esprit de l’homme, qui est en lui, ne sait pas. Mais vous, Seigneur, qui l’avez créé, vous savez tout de lui. Et moi, encore que devant vous je me méprise et me regarde comme cendre et poussière, je sais de vous