Phénoménologie

semestre3, 2010-10-20 (20 octobre) L'inflexion phénoménologique - La conscience intentionnelle et le monde La question des rapports entre le sujet et le monde, c'est-à-dire la question de ce qu'est la vie d'un sujet pensant, trouve dans la phénoménologie une nouvelle façon d'aborder les problèmes hérités du dualisme cartésien. Bien que Edmund Husserl se réclame de Descartes, il propose une critique radicale de l'insuffisance de son dualisme. Tous les modernes se situent dans la postérité de Descartes

et les notions de l’abstrait et du concret en matière de phénoménologie tout en précisant les obstacles qui nuisent à l’esprit scientifique en recourant à quelques nuances. Problématique : Qu’est-ce que c’est qu’un esprit scientifique et quels sont les obstacles qui peuvent rencontrer ce dernier ? Et quel est l’impact de cette existence inéluctable d’obstacles sur la pensée scientifique et particulièrement en matière de phénoménologie ? Conclusion : Discours préliminaire : La tâche première

L'image n'est pas objet, il ne faut pas la considérer comme tel, mais plus comme une réalité distinct. Le sujet et l'objet possède une dualité, une duplicité. L'image poétique n'obéit pas à un savoir, elle obéit à un ressenti « naïf », à une phénoménologie de l'âme et non de l'esprit. Dans bien des choses, comme dans l'art, la poétique peut résulter d'une action de l'esprit, de techniques apprises. Cependant, l'intention première vient de l'âme, le résultat et l'image produites sont poétiques.

Michel Henry et Edmund Husserl ont eues de ces questions seront confrontées afin de dégager le spécifique de l’imagination tel qu’il se présente dans son rapport au sens de l’expérience. Si l’on envisage le mouvement critique à l’égard de la phénoménologie qui anime la pensée de Michel Henry, on pourrait supposer qu’en un certain sens le philosophe français a rebroussé le chemin parcouru par Husserl depuis le cadre épistémologique de la psychologie brentanienne. Là où Husserl défendait la thèse

domaine de l’histoire de la philosophie allemande après Kant, dans son rapport à la phénoménologie et à l’herméneutique, a connu, au plan national et international, ces dix dernières années, des avancées notables ; elles tiennent en particulier à un essor des études schellingiennes, très longtemps sous-représentées par rapport aux grandes figures de l’idéalisme allemand, à l’étude systématique du contexte de la phénoménologie husserlienne, avec la prise en compte de la spécificité de la philosophie autrichienne

répartissent en trois catégories : 1 – Le Nouveau Roman est moderne, il est représentatif d’une société réifiée, où les êtres humains sont devenus de simples choses parmi d’autres. 2 – Le Nouveau Roman est une forme fictionnelle en accord avec la phénoménologie, qui refuse toute réalité référentielle à la « vie intérieure » et veut aussi nous délivrer de tous les réflexes culturels qui nous séparent de la réalité. 3 – Le Nouveau Roman est la recherche aventureuse d’une nouvelle forme de discours, différente

Certeau*, précise-t-il. La gnose elle-même est aujourd’hui réhabilité en tant qu’objet philosophique.” Dans leur recherche, la plupart de ces philosophes ont aussi en commun de “reconduire à l’expérience”, souligne encore Gérard Bailhache. La phénoménologie a joué un rôle essentiel dans cette réorientation philosophique. “Elle a permis d’aborder d’une nouvelle manière des objets sensés connus, explique Guy Petitdemange. Dans cette approche, il ne s’agit plus de définir ce qu’est la transcendance

né le 26 septembre 1889 et mort le 26 mai 1976, est un philosophe allemand. D'abord disciple d'Edmund Husserl et de la phénoménologie, il s'achemine rapidement vers la question de l'être ou ontologie. Après ce qu'il appelle lui-même le « tournant » de sa pensée (années 1930), il s'intéresse tout particulièrement aux présocratiques et développe les bases de ce qui deviendra, avec Gadamer, l'herméneutique. Martin Heidegger est né à Messkirch (Allemagne) le 26 septembre 1889. Élevé dans un milieu

fondamentaux de la Phénoménologie , Paris, Gallimard, 1985, p 218). 4 . G.W.F. Hegel, Wissenschaft der Logik, Vorrede zur zweiten Ausgabe , ed.Lasson, p 21 (trad.fr. S. Jankélévitch, Science de la Logique, tome 1, p 23) 5 Hegels Phänomenologie des Geistes , Ga Bd 32, p 19 (trad. fr. E. Martineau, La Phénoménologie de l’Esprit deHegel

s’engager dans le soin. Les principales théoriciennes de cette école sont : Hildegarde PEPLAU, Ida ORLANDO, Joyce TRAVELBEE, Imogene KING, Ernestine WIEDENBACH. Influences : Les théories de l’interaction ( école de Palo Alto ), la psychanalyse, la phénoménologie, l’existentialisme. Le modèle d’Hildegarde PEPLAU Décrit les soins infirmiers comme un processus interpersonnel thérapeutique orienté vers un but qui favorise le développement de la personne. Ce processus s’organise en 4 phases : l’orientation