Phénoménologie

esthétique La sémiotique visuelle et celle de l’esthétique ont considérablement évolué depuis deux décennies grâce à une remise en valeur de la phénoménologie évoquée dès Sémantique structurale (1966), reprise avec Sémiotique des Passions (1991) et exploitée depuis dans de nombreux textes, comme par exemple celui d’H. Parret (2001). Ces références à la phénoménologie semblent permises par une convergence partielle de points de vue. En effet, comme la sémiotique ou comme l’étude de l’altérité invite à le

sociologique dans l’histoire de sa formation : - sciences nomothétiques et idiographiques ; - paradigmes explicatifs et compréhensifs ; - Max Weber et la théorie de la science ; - Georg Simmel et la sociologie des formes ; - Alfred Schutz et la phénoménologie sociale ; - Peter Berger & Thomas Luckmann et le constructivisme social. La présentation de ces grandes orientations théoriques insistera particulièrement sur les stratégies de connaissance du monde vécu, en considérant les faits sociaux comme

dans le livre , c’est avec des actions ou des situations qu’il a vécue et dont il a tiré un jugement ou une philosophie. Ce livre ou plutôt cet essai est l’expression de la première forme de la pensée de Lévinas, encore très influencée par la phénoménologie. « dans cette œuvre, on conviendra aisément qu’il importe au plus haut point de savoir si l’on n’est pas dupe de la morale. La lucidité, ouverture de l’esprit sur le vrai, ne consiste-elle pas à entrevoir la possibilité permanente de la guerre 

 Commentaire du texte de Merleau-Ponty Partie III de phénoménologie de la perception. Le monde a-t-il un sens ? Tel est la question à laquelle Merleau-Ponty répond dans cet extrait de sa Phénoménologie de la perception. L'auteur pense que le monde en soi n'a aucun sens, sa thèse qui se trouve de la ligne 15 à 18 est pour lui que seule la conscience donne du sens au monde. Pour nous prouver sa thèse il emploi quatre acceptions

de l'entendement. Tout ce raisonnement suit le courant philosophique de la phénoménologie qui est la science des phénomènes, de ce qui apparaît à la conscience. Telle que l'a définie le fondateur du courant phénoménologique, (1859-1938) Edmund Husserl, au début du vingtième siècle, la phénoménologie est la science des phénomènes, c'est-à-dire la science des vécus par opposition aux objets du monde extérieur. La phénoménologie husserlienne se veut également une science philosophique, c'est-à-dire universelle

lui aussi réfléchir sur les liens qui existent entre l’art et la philosophie et il va dans un premier temps s’opposer au Romantisme en temps que doctrine de la subjectivité qui est pour lui « l’oubli de l’être ». Il va prôner ce qu’on appelle Phénoménologie qui est la pensée de l’être. L’art va ici jouer un rôle capital dans le dévoilement de l’être, pour cela Heidegger va d’abord critiquer l’esthétique qui ne s’intéresse qu’à la « choséité » de l’art en lui donnant des qualités esthétique. La choséité

émerger de tels événements (Le temps et la forme, Étienne Darbellay). Une approche phénoménologique Il existe une branche de la philosophie se définissant comme la science « des phénomènes qui apparaissent à la conscience ». On l’appelle la phénoménologie, et elle a été développée par le philosophe allemand Edmund Husserl. Cette approche est justement centrée sur la notion de temps, car on part de l'expérience vivante, on se concentre sur un événement vécu pour lui-même, en suspendant tout jugement

instinctivement elle est consciente qu'il faut avoir conscience. Seulement notre facon de la voir change. C'est structurellement que toute conscience est conscience de... L'expression décisive est ici celle d' "ego cogito transcendantal." En phénoménologie, le transcendant est ce qui transcende notre propre conscience, c'est-à-dire ce qui est objectif, par opposition à ce qui est seulement un phénomène de notre conscience Quand nous pensons de manière transcendantale, tout état de conscience est

rendu d'une conférence donnée par Sartre le 29 octobre 1945. C'est le fruit d'une recherche commencée dans les 30s. En 1945, il publie l'être et le néant. On peut discerner les influences de la phénoménologie d'Heidegger et de l'intentionnalité de la conscience chez Husserl. Grâce à la phénoménologie, la conscience « s'est purifiée » d'après lui car « elle n'a point de dedans, elle n'est rien que le dehors d'elle-même et le refus d'être substance le constitue comme conscience ». La conscience

entre les différentes modalités sensorielles de localisation. Le cerveau joue donc un rôle essentiel dans la perception de l’espace. Dans son étude sur la psychosociologie de l’espace, Moles introduit le point de vue de l’observateur; “S’il y a phénoménologie c’est parce qu’un sujet perçoit des phénomènes”. Progressivement une place importante est laissée à la subjectivité de l’observateur, lequel ne semble être que d’abord un observateur scientifique avant de se confondre avec l’homme de la vie quotidienne