Phidias

tombeaux, ils gardent les lieux de transition entre la terre et le ciel. Les images n’ont pas besoin de spectateurs pour vivre, elles ne sont pas faites pour être belles, elles doivent juste être efficaces. Statue chryséléphantine (Zeus) : De Phidias, 10 m de haut. D’habitude, dans l’Antiquité, les œuvres ne sont pas signées, les artistes sont considérés comme des artisans (peu important dans la société). Les images appartiennent à la communauté et sont très précieuses (ici or et ivoire).

avec les élèves le plan du site d’Olympie, et ses différents monuments. Leur demander, à partir des indications données, d’expliquer oralement ce qu’est la palestre, l’Heraion, le temple de Zeus, le Leonidaion, et le Bouleutérion et l’atelier de Phidias. - cliquer ensuite sur la rubrique « Olympie, un sanctuaire », lire le texte proposé et répondre aux questions suivantes (niveau B1): a) expliquer ce qu’est « un sanctuaire » (2pts) b) quelles sont les deux principales manifestations du culte 

des personnes réelles. Ce sont les restes les plus intimes et touchants de la civilisation grecque antique. Les plus grandes œuvres de la période classique, la statue de Zeus à Olympie et la statue d'Athéna Parthénos (toutes les deux réalisées par Phidias ou sous sa direction), ont été perdues, bien que des copies plus petites et de bonnes descriptions demeurent. Leur taille et leur magnificence ont amené plusieurs empereurs de l'époque byzantine à les confisquer pour les amener à Constantinople, où

l’amour, ni l’amitié, ni l’art. Le thème de l’imitation stérile s’applique aussi à la création artistique: le peintre Pellerin n’a pas trouvé son propre style, il est aveuglé par son désir de gloire et s’entoure de modèles comme Goya, Rembrandt, ou Phidias. De même, tout ce qu’entreprend d’écrire Frédéric, il en a trouvé l’inspiration dans une autre œuvre: ses poèmes imitent Lamartine; il a trouvé le sujet du roman historique qu’il veut écrire dans Froissard. Cette hantise de l’imitation stérile se

L’homme est modèle et idéal et particulièrement les yeux. Statue ressemblant à des colonnes. Kouros et korè : Statue du jeune homme et de la jeun fille. Kouros : représentation exact du corps. Korè : travail sur le plissé et drapé des vêtements Phidias : Grands sculpteurs qui a fait les frises du Parthénon. L’architecture : Les 3 ordres : * Ordres dorique : colonne sur la marche la plus haute du temple * Ordre ionique : colonne plus mince, chapiteaux plus haut * Ordre Corinthien :

prêtent plus aisément que d'autres à la confusion entre beauté artistique et beauté naturelle. Les artistes dits classiques ont le plus souvent choisi de représenter dans leurs œuvres ce qui est déjà beau, c'est à dire sain et agréable dans la nature. Phidias, Praxitèle, et plus tard Vinci, Raphaël, Michel-Ange représentent des types supérieurs d'humanité, des athlètes ou des femmes superbes. La musique classique recherche la prédominance des consonances. Le héros cornélien plein de courage et de noblesse

interprétées comme les cavités de fixation d’armoires en bois qui servaient aux rangement des rouleaux. Au centre de celle-ci, le podium formait une avancée pour supporter une copie en réduction , et mise au gout du jour, de l’Athéna Parthénos de Phidias. La déesse protectrice des arts et des science. D’ailleurs, Eumène II agrandit et embellit les statues de la bibliothèque fondée par Attale I. Certains archéologues, pensent que des bâtiments annexes devaient jouxter la bibliothèque, car les 4 salles

messagère ; S’il n’en est rien, ne réponds pas ; Dors sur mon coeur, fraîche et légère. Je connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d’un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N’en auraient pu trouver la soeur Qu’en prenant Vénus pour modèle. Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on, et plus encor ; A qui saurait s’emparer d’elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle

parfois pas plus de naturel que les candélabres de Vitruve qui supportaient des petits châteaux et des palais. » (Réflexions). « L’ancien style a duré jusqu’à Phidias. Ce génie supérieur et les Artistes ses contemporains imprimèrent à l’Art cette grandeur imposante qui caractérise les monuments du temps. J’appellerai le style du siècle de Phidias le grand, le sublime. Depuis Praxitèle jusqu’au temps de Lysippe et d’Apelle, l’Art acquit plus de grâce, plus d’aménité, et je nommerai ce style le beau, le

face aux Perses. Le palmier de l'Eurymédon, devant le pilier de Prusias, fut dédié par Athènes pour célébrer leur victoire sur les Perses près de l'Eurymédon, en Asie Mineure, en 469 av. J.-C. L'ex-voto des Athéniens, réalisé par le sculpteur Phidias, fut consacré vers 460 av. J.-C. pour remémorer Miltiade, stratège athénien et tyran de Chersonèse de Thrace, qui permit à Athènes de remporter la victoire lors de la bataille de Marathon. Cet ex-voto était constitué au départ de treize statues en