Phidias

livrer, quand je transpose ce que dans les écoles on appelle “thèses” 4 dans notre style de discours. Mais je ne te demande pas d’accorder trop d’importance à ce travail : il ne mérite pas d’être considéré dans la citadelle à l’égal de la Minerve de Phidias 5, mais simplement de paraître provenir du même atelier. (Version avec parenthèses latines) Paradoxe I Seul est bien ce qui est honorable [honestum]. Retour à la table des matières 6. Je crains que le sujet de ce discours ne paraisse

Le Parthénon est un monument religieux qui contenait une statue chryséléphantine (qui est en or est en ivoire) d’Athéna. Il a été construit au milieu du Ve siècle av. JC par l’architecte Ictinos, sur demande de Périclès, et sur les conseils de Phidias, auteur de la statue, qui a imposé certaines dimensions à l’architecte. Que signifie son nom ? «Parthénon» signifie «salle des vierges» ; Il est aussi appelé «temple de cent pieds» (hékatompedon naos), du nom du temple plus ancien sur lequel

Mademoiselle Pârvati A la mémoire de Mircea Eliade Je connais un marbre antique, lumineux comme la glace. Ou l'opale. Seuls des sculpteurs de génie, Phidias sous Périclès, Michel-Ange à Florence, l'avaient employé pour insuffler la vie aux pierres irisées... Une peau d’albâtre lustré, qui exhalait une douce odeur de thé. Une silhouette admirable, comme un nuage de phéromones veloutées, faisant plier chez l'homme désirs et opiniâtreté. Un visage grave et pur, des épaules sur lesquelles cascadait

en format paysage, l’autre en format portrait. On complète par un nouveau rectangle. Le rectangle de  départ est d’or si sa diagonale se confond avec celle du grand rectangle et ainsi de suite jusqu’au plus petit. Le Parthénon d’Athènes, conçu par Phidias, en englobant base et fronton, respecte cette « sublime proportion » ; de même, de nombreuses places à Rome respectent cette proportion. Et c’est sans compter sur le livre de poche, les cartes de crédit, les écrans 16/9ème…On pourrait se moquer de

établir toute une série de normes. On va inventer les propositions idéales pour le corps humains, qui sont utilisé après la Renaissance et encore aujourd’hui. Deux grands sculpteurs sont à la base de la réflexion du « hanchement » : Polyclède et Phidias. « Doryphore » : pièce en bronze probablement de Polyclède. Hachement, poids posé sur une seule jambe, mouvement sur l’autre jambe, les têtes bougent. « Zeus » : en bronze aussi, mouvement dans les jambes & bras. Corps qui repose sur une jambe

d'innovation et de création dans le travail de l'artiste. Le terme « œuvre d'art » n'existe pas avant le 15ème siècle, les auteurs d'oeuvres d'art sont souvent méprisés, ils sont ignorés. Ce sont des artisans anonymes. Quelques figues émergent : Phidias (sculpteur de l'antiquité grecque) Le Moyen Age : L'artiste est encore méprisé et considéré comme un artisan, les plus doués sont embauchés par l'église et la royauté. Les artistes se forment en atelier, ils préparent les supports, médiums, reproduisent

statue d'Athéna frise des Panathénées Périclès fit construire ce temple somptueux et harmonieux de 447 à 432. Il est dédié à Athéna, la déesse protectrice d’Athènes (à l’intérieur du temple, une gigantesque statue d’Athéna, œuvre du sculpteur Phidias). Il a voulu montrer la grandeur d’Athènes (pour ce faire il a mobilisé les p plus grands artistes et artisans de la Grèce) et la supériorité du sysa Pour aller plus loin… tè ème démocratique qui a permis Des sites Internet proposent des vidéos

politique de l’Antiquité) -citoyens (l.20) → C. rappelle que la Grèce est à l’origine de de la démocratie -l’architecture grecque est évoqué avec l’Acropolis (l.8), citadelle de Corinthe (l.15) ou le Parthénon (l.12) avec les célèbres sculptures de Phidias (l.13) -l’évocation du théâtre de Bacchus (l.19) -(l.18) le verbe « éclater » fait allusion à la violence du théâtre Grec et à sa catharsis (=choquer pour purifier/éduquer) Chateaubriand comme tout écrivain romantique éprouve une admiration pour

Pronaos Entrée frise des Panathénées Périclès fit construire ce temple somptueux et harmonieux de 447 à 432. Il est dédié à Athéna, la déesse protectrice d’Athènes (à l’intérieur du temple, une gigantesque statue d’Athéna, œuvre du sculpteur Phidias). Il a voulu montrer la grandeur d’Athènes (pour ce faire il a mobilisé les plus grands artistes et artisans de la Grèce) et la supériorité du système démocratique qui a permis cette éalisation. Pour aller plus loin… Une gigantesque frise (160 mètres

pris ces objets pour des curiosités, des trophées coloniaux "pittoresques", mais indignes d'être montrés dans un livre d'art. Trop bizarres. Trop éloignés des canons esthétiques occidentaux. Etrangers à ce que l'on entendait alors par création, de Phidias à Monet. Tout juste bons à figurer dans ce que l'on appelait alors précisément les cabinets de curiosités, ou (comme aujourd'hui encore, au Muséum d'histoire naturelle de La Rochelle, qui possède pourtant des oeuvres exceptionnelles du Tchad) à cotoyer