Phidias

pensée nous montre que l’inconscient est le théâtre des plus importants phénomènes mentaux. 4. C’est grâce à l’inconscient que shakespeare doit avoir perçu, sans effort, les grandes vérités qui sont cachées à l’esprit conscient de l’étudiant ; ce que Phidias façonna de marbres et de bronzes ; ce que Raphaël peignit ; ce que Madonnas et Beethoven composèrent de symphonies. 5. la facilité et la perfection sont entièrement dépendante du degré auquel nous cessons de dépendre de la conscience ; jouer du piano

---------------------------------------------- Les Anciens pensaient en effet - et non sans de bonnes Raisons—que les Règles des belles Proportions en Construction étaient copiées ou prises d'après les Proportions du Corps naturel. Il s'ensuit que PHIDIAS est considéré comme l'un des anciens Maçons, pour avoir érigé la Statue de la Déesse Némésis, à Rhamnus ; celle-ci avait IO Cubes de haut. Celle de Minerve, à Athènes, était haute de 26 et celle de JUPITER OLYMPIEN, assis en son Temple d'Achaïa (entre

sculpteurs anciens». -- C'est donc une Vénus de Milo aux bras ronds! Le portrait qui continue ensuite n'est pas très flatteur et il a dû faire rougir la dédicataire de 1839 : «Elle avait une tête énorme, le front masculin mais délicat du Jupiter de Phidias, et des yeux gris auxquels sa chaste vie, en s'y portant tout entière, imprimait une lumière jaillissante. Les traits de son visage rond, jadis frais et rose, avaient été grossis par une petite vérole [comme son père] assez clémente pour n'y point

marquer son impartialité ; les Lacédémoniens, au contraire, lui en donnaient quatre, pour démontrer qu'il est en état d'entendre toutes les prières. À côté de Jupiter, on voit souvent la Justice, les Grâces et les Heures. La statue de Jupiter, par Phidias, était d'or et d'ivoire : le dieu paraissait assis sur un trône, ayant sur la tête une couronne d'olivier, tenant de la main gauche une Victoire aussi d'or et d'ivoire, ornée de bandelettes et couronnée. De la droite, il tenait un sceptre sur le bout

sorte de principe additif. En conséquence, l’or rend les choses belles mais Hippias en reste encore à une interprétation sensible, particulière, de la beauté. A nouveau, Socrate utilise les contre-exemples. En 290a, Socrate évoque la figure de Phidias, sculpteur du Vème siècle qui a réalisé la statue Chryséléphantine d’Athéna (qui se trouve à l’intérieur du temple du Parthénon). Certes il avait utilisé de l’or, mais aussi de l’ivoire et du marbre. Le contre-exemple porte ici sur la notion

beauté, il lui fallût encore pour la partie matérielle de son œuvre un modèle humain. – Or, où trouver ce modèle qui devait réunir en lui seul la triple beauté de trois déesses ? Certes si, comme aux jours antiques, si, 96 comme au temps des Phidias et des Apelles, les beautés du jour, ces reines de la forme, étaient venues d’elles-mêmes poser devant l’artiste, Benvenuto eût trouvé dans la cour même ce qu’il cherchait ; il y avait là tout un Olympe dans la fleur de l’âge : c’était Catherine de

son impartialité ; les Lacédémoniens, au contraire, lui en donnaient quatre, pour démontrer qu'il est en état d'entendre toutes les prières. À côté de Jupiter, on voit souvent la Justice, les Grâces et les Heures. La statue de Jupiter, par Phidias, était d'or et d'ivoire : le dieu paraissait assis sur un trône, ayant sur la tête une couronne d'olivier, tenant de la main gauche une Victoire aussi d'or et d'ivoire, ornée de bandelettes et couronnée. De la droite, il tenait un sceptre sur le bout

ressemblait à Vénus de Milo, ses formes étaient ennoblies par cette suavité du sentiment chrétien qui purifie la femme et lui donne une distinction inconnue aux sculpteurs anciens. Elle avait une tête énorme, le front masculin mais délicat du Jupiter de Phidias, et des yeux gris auxquels sa chaste vie, en s’y portant tout entière, imprimait une lumière jaillissante. Les traits de son visage rond, jadis frais et rose, avaient été grossis par une petite vérole assez clémente pour n’y point laisser de traces

symbolique, souvent énigmatique, des aspirations plus ou moins confuses au divin. Il leur suffit de [footnoteRef:49]puiser librement le contenu de leurs œuvres dans les croyances populaires Déjà établies ou dans mythologie. Par exemple, le sculpteur Phidias a emprunté Zeus à Homère. 118Marc Jiménez, que e que l’esthétique ? P189 [49: 117 Marc Jiménez, Qu’est-ce que l’Esthétique, Gallimard, Paris, 1981, p.189 118Idem 119Ibidem] Comme on le voit l’art grec est art

Athéna. Le Parthénon est le fruit de la succession de plusieurs temples pour Athéna, la construction de celui-ci s’achève en -438. Ils vont s'occuper de leur monument. Acropole d’Athènes . Le Parthénon 447-438.La direction des travaux est confiée à Phidias qui va également exécuter la statue d’Athènes à l’intérieur de ce temple, statue monumentale d’Athéna en or et en ivoire. L’instigateur de cette entreprise était Périclès, notable et aristocrate qui a trouvé l’appui des classes pauvres en leur donnant