Philippe III

naturellement grâce à se lien. Même si se lien existe forcément, si il n’est pas entretenu, comme pas exemple dans le tome III, du livre III les Misérables, « le grand père et le petit fils » de Victor Hugo, se lien peut peux à peux s’effacer. Dans une société qui prône l’individualisme cette affiliation peut sembler lourde, comme l’explique Nicolas Jonas, dans son essaie la famille, ou Philippe Geluck avec son Entrechats. Les générations s’entremêlent, et personne n’arrive à trouver sa place, comme l’explique

formation d’Alexandre le Grand Alexandre est le fils du roi Philippe II de Macédoine. Élève du philosophe grec Aristote, il reçoit une éducation soignée. Son père Philippe prétendait descendre d'Héraclès, donc de Zeus, et la famille de sa mère Olympias disait descendre d'Achille et de Priam, roi de Troie. Jeune, il montre un grand courage en arrivant à dompter le cheval sauvage Bucéphale, qui deviendra sa monture. En 340 av. J.-C., Philippe lui confie temporairement la régence de la Macédoine. Alexandre

Napoléon III (Paris 1808-Chislehurst, Kent, 1873), président de la IIe République française (1848-1852), empereur des Français (1852-1870). Napoléon III Révolutionnaire sur le plan économique mais despote sur le plan politique, Napoléon III a tenté le pari difficile d'assumer un nom qui est à la fois une gloire nationale, une garantie révolutionnaire et un principe d'autorité. Une jeunesse aventureuse Élevé dans le culte de son oncle, il mène une jeunesse aventureuse en Suisse et en Italie

régime : *Monarchie absolue et Constitutionnelle : le chef gouverne avec l’AN. Il y a eu 2 monarchies Constitutionnelles : Entre juin 1789 et septembre 1792 où régnait Louis XVI 1830 à 1848, monarchie libérale avec Louis-Philipe *Empire: - Napoléon Ier : 1804-1815 - Napoléon III : 1852-1870. Tous 2 ont été élus par plébiscite Aspect sociétal, subjectif : *idée de République à partir des Romains : 509 av JC - 27 ap JC. Cicéron aura publié De Republica *1848 : 2 tendances : République entant que

"accommodement" et le "moindre mal"1 . Philippe Burrin qui s’intéresse à la façon dont les français ont réagi et se sont comportés face à l’occupation et vis-à-vis de l’occupant, propose trois notions pour qualifier les diverses attitudes : "accommodement" (au sein de laquelle il propose une variété de comportements ainsi que l'évolution dans le temps de cet accommodement), "raison d'État" et "engagement"2 . On peut appliquer ces critères au cas de Léopold III qui n'est pas un collaborateur ordinaire

Le sacre de Philippe Ier de France par Gervais, archevêque de Reims (23 mai 1059) I-Les forces en présence : acteurs et spectateurs Le roi : contexte et caractère sacré Le clergé : un acteur fondamental Primores, milites et peuple : l'approbation du roi II-La Liturgie du sacre L'organisation de la cérémonie Le déroulement du sacre III-Pouvoir royal et pouvoir ecclésiastique : des relations évidentes Le serment royal : un roi soumis à l'Eglise La mise en avant de l'archevêque et la primauté

lorsqu'il tente de renverser le roi Louis-Philippe mais ses conspirations échouent et il est banni d'Italie et expulsé de France. Il se réfugie en Angleterre mais revient un an plus tard en 1837 car sa mère est gravement malade mais doit à nouveau s'exiler outre-manche à cause du roi Louis-Philippe. Il fait son retour en 1840 et est arrêté et condamné à la prison perpétuelle. Il réussit à s'évader en 1846 et se réfugie en Angleterre. Lorsque que Louis-Philippe abdique et la République est proclamée

Museum of Art de New York. Dans les années 1422-1424, il est employé à La Haye, à la cour de Jean III de Bavière[2], comte de Hollande et de Zélande, prince-évêque élu de Liège, en qualité de peintre de la cour et varlet de chambre ... . À la mort de celui-ci, en janvier 1425, il rejoint en Flandre son frère, Hubert van Eyck, également peintre. Il entre alors au service du duc de Bourgogne, Philippe le Bon, le 19 mai 1425, comme peintre et « valet de chambre », avec un salaire annuel fixe qui lui

siècle, l’hérésie parut en passe de devenir religion d’état sur les terres du comte de Toulouse et de Foix, et du vicomte de Carcassonne II – La Croisade Albigeoise A/ Les enjeux de la croisade * Enjeu politique * Enjeu tardif, puisque Philippe Auguste refuse de prendre part au conflit. Il estime qu’il n’a pas à intervenir en Occitanie et se préoccupe davantage des Anglais. Il faudra attendre l’assassinat de Pierre de Castelnau, légat du pape, pour que le roi autorise ses vassaux à combattre

de 1830 voit l’accession au trône de Louis-Philippe, roi-citoyen sous la monarchie de Juillet. Cette monarchie est comme la précédente, constitutionnelle. Mais elle est agitée par les revendications bourgeoises et les révoltes d’ouvriers. La révolution de 1848 marque la chute de Louis-Philippe et la fin de la monarchie.  La IIème République (1848-1851) est proclamée. Louis-Napoléon Bonaparte (Napoléon III) est élu président.  Cependant Napoléon III organise un coup d’état : c’est le Second Empire