Philosophie antique

« plaisir naturel de l'imitation » l.7,8 Apologues d'Esope « le rire et la fantaisie, n'en transmettent pas moins des préceptes philosophiques sérieux ? » l.16,17 « le récit le fait rire mais » l.21 « il a retenu un principe fondamental de philosophie morale (…) hommes mais des bêtes » l.21 à 24 Poèmes bucoliques, fables, comédies, proverbes, citations... l.27,28 Question rhétorique « Quoi de plus.. » Interlocuteur adhère à ce qu'avance Erasme « Tu » « on » + questions rhétoriques + figures

"présocratiques" (en dépit parfois du bon sens chronologique...), le thème de la contradiction et des contraires constitue une sorte de fil rouge qui permet de situer "philosophiquement" 'mais aussi moralement et même politiquement) chacun d'entre eux (leur philosophie générale...). Ceci pour autant que leurs écrits, souvent cités dans le texte de détracteurs ou de "disciples", soient décelables dans leur vrai sens, identifiables et vérifiables.  Les figures d'HERACLITE  (vers 576-480 av JC) et de PARMÉNIDE (vers

l'Europe selon Husserl La crise de l'humanité européenne et la philosophie Edmund Husserl (1859-1938) naît à Prosznitz en Moravie d'une famille juive libérale. Il s'engage dans des études scientifiques libérales à Berlin, puis à Vienne. Sa vie et son oeuvre : Mathématicien de formation, il étudie dès 1882 le Nouveau Testament. Puis il suit les cours du célèbre psychologue Franz Brentano, sur la philosophie de David Hume. En 1886, il se convertit au protestantisme. Sous l'influence de Brentano

Voltaire (François Marie Arouet) 1694-1778 Biographie -Écrivain du siècle des lumières, il défend la liberté de pensé et la tolérance. -Il acquiert solide formation en rhétorique. Il prend le gout de la littérature antique et du théatre. -Il fréquente les salons parisiens et les milieux libertins. -Il part en Hollande comme secrétaire de l’ambassadeur de France. -Lorsqu’il rentre en France il est emprisonné à la Bastille pour avoir écrit des poème contre régent. C’est a sa sortie

contre de pareilles gens.C’est un philosophe, il parle toujours, sa théorie: tout va bien. Candide :   " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire

PHILOSOPHIE Le bonheur • Sceptique : Il est capable de détruire n'importe quelle vérité, « Rien n'est sûr ». • Epicuriens : Pour les sceptiques c'est ceux qui disent qu'il faut chercher le bonheur , mais de façon modérée. • Stoïciens : Préparé à tout. Supporte les chocs sentimentaux comme banals. (SENEQUE) • Ataraxie : Elle qualifie le bonheur, puisque ce dernier est conçu comme un état de sérénité, d'absence de troubles psychiques ou physiques. • Eudémonismes : Doctrine plaçant

connaissance. Mais pour être heureux, il ne faut pas le désirer et donc se concentrer sur ce qui nous concerne plus directement. Et c'est dans ce cas que le désir implique une connaissance préalable de son objet. Par exemple, dans une école antique de philosophie : le stoïcisme, cette idée était soutenue. En effet, les stoïciens développaient le fait qu'il est nécessaire pour vivre heureux de désirer ce qui dépend de nous et donc implicitement, ce que l'on connaît. Le désir peut également se traduire

parisienne, il est élevé par des jésuites où il reçoit une très bonne éducation et apprend à bien s'exprimer, il a alors l'envie de faire du théâtre et de la littérature antique. Il étudie au collège des Jésuites Louis Legrand, puis à la Faculté de Droit de Paris puis il s'oriente vers de brillantes études de rhétorique et de philosophie ce qui le mène à une carrière littéraire. Il fréquente les salons parisiens et les milieux libertins. En mai 1717, il est emprisonné près d'une année pour avoir écrit

pas ce que je fais… » Pour Aude Lancelin et Marie Lemonnier, la philosophie de l’amour est en tout cas un territoire à reconquérir d’urgence. Pourquoi ? Parce que, disent-elles en substance, « penser l’expérience amoureuse est une des seules formes de résistance possible au nihilisme ambiant, qui, avec la flétrissure de l’acte sexuel réduit à un libertinage morbide, a trouvé son arme de destruction massive ». Lourde tâche. La philosophie, éprise de raison, se méfie comme de la peste de l’amour, synonyme

de regrouper les écrits antiques et ceux de la tradition scolastique .Plusieurs langues renaîtrons de leurs cendre , notamment l’hébreux le grecs et le latin , ce qu’ils retiennent de leurs écrits sont leurs valeurs morales et intellectuels .L’étude de Dieu est au centre des débats, de plus l’humanisme religieux christianise certains écrits philosophique , Platon par exemple d’ou naît un mouvement ; le néo-platonisme.Ici tout ce qui a été fait chez les grecs en philosophie prépare la religion chrétienne