Philosophie Et Préjugés

 DM DE PHILOSOPHIE 2 Peut-on dire à chacun sa vérité ? Nous nous demanderons si dire que la vérité est propre à chacun n’est-ce pas détruire l'essence même de la vérité ? Pour y répondre nous verrons dans un premier temps en quoi la vérité est relative, dans un second temps en quoi la vérité est universelle et enfin nous verrons comment créer sa pensée avec celle des autres. 1) La vérité est relative Un camp avance qu’il n’y

précepteurs ne disent pas le meilleur mais le plus plaisant (les désirs) ou le plus conforme aux idées reçues (les précepteurs). - 3. L'exercice de la raison a une histoire. Nous naissons d'abord dépendants et soumis. C'est l'origine des préjugés. Le préjugé est le jugement porté avant, et même sans; la connaissance de ce sur quoi porte le jugement. Exemple : l'enfant partage longtemps les avis de ses parents. 2. L'opinion. L'opinion est le second obstacle à l'exercice autonome de la

et les préjugés, va inspirer tout le mouvement de pensée du XVIIIème siècle et le Dictionnaire historique et critique va devenir l'arme privilégiée du camp des "philosophes". L'Encyclopédie de Diderot (1713-1784) et d'Alembert (1717-1783) reprendra à son compte le militantisme philosophique et le combat contre l'obscurantisme, le dogmatisme, le fanatisme et le despotisme. Les idées de Pierre Bayle trouveront aussi un écho puissant chez Montesquieu (1689-1755), qui introduit en philosophie politique

Le Siècle des Lumières Les Lumières sont un mouvement littéraire et philosophique européen du XVIIIe siècle, fondé sur la raison qui permet, selon les philosophes de Lumières, de sortir des préjugés et de l’intolérance et de faire progresser l’homme vers le bonheur, la liberté et le savoir. Après la mort de Louis XVI en 1715, les philosophes de Lumières mettaient en question l’autorité politique et dénonçaient les inégalités sociales. Il y avait les réformes au niveau de l’éducation et l’accès au

expliquant combien il est bénéfique à l'Homme de penser par lui-même, sans préjugé. Pour ce faire, il reprend ainsi la maxime de l'Aufklärung, « Sapere aude! » (Aie le courage de savoir ! / Ose savoir !), empruntée au poète latin Horace. Cette maxime est commune à la métaphysique dogmatique wolffienne, objet de la critique kantienne, et à Kant lui-même parce qu'elle est l'expression d'une volonté de raison qui caractérise toute philosophie comme telle. Le dogmatisme métaphysique est l'illusion d'une raison

CANDIDE de Voltaire chapitre I à Candide de Voltaire se caractérise par une pensée libre de tous les préjugés et de toutes les croyances. Dans ce conte philosophique apparaît tout l’esprit des lumières. En effet, à travers cette œuvre, Voltaire fait l’apologie de la raison et émet ses réserves à l’égard de l’injustice, de l’intolérance et du fanatisme. Les lumières engagent donc le philosophe dans un mouvement de contestation et de vastes remises en cause. Dans l’incipit, on découvre la description

procédé systématique. La parcimonie des descriptions charge chaque détail d'un sens et d'une fonction philosophiques ou satiriques très forts. Ici, l'Allemagne se réduit à deux ou trois clichés, épaisseur des corps, philosophie épaisse, d'ailleurs toujours valables de nos temps car les préjugés ont la peau dure... Les personnages font l'objet d'un traitement identique. Une galerie de portraits stéréotypés Evocation de Candide encadre celle des autres personnages, cette composition situe d'emblée le jeune

la conscience de l’erreur. Cette prise de conscience amène Descartes à mettre en question les idées reçues, les préjugés qui lui ont été inculqués pendant l’enfance, l’âge des préjugés. Le terme préjugé vient du latin praejudicare qui signifie juger préalablement. Le préjugé est une opinion, un jugement non fondé, qui passe pour une connaissance, un savoir authentique. Les préjugés sont des opinions préconçues propres à une société. Ils nous sont transmis pendant l’enfance. Car pendant l’enfant

du monde de l’enfance pour devenir enfin adulte et autonome ce qui est le projet même des lumières. Cet apologue permet à l'écrivain de combattre les abus, les préjugés, l'intolérance et l'oppression et de faire également une satire de la philosophie optimiste. En revanche, dans son conte, Voltaire nous fait également part d’une philosophie qui consiste à aller vers un paradis possible terre à terre, en ne cherchant plus à comprendre mais à vivre. En définitive, l’apologue est un court récit distrayant

(Idéalisation des hommes vivants au contact de la nature) Opposition des 2 hommes : * « mon fil » L.46 (esprit neuf) => candide de voltaire (1759) L’Ingénu est optimiste « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles » => philosophie de Leibniz (référence candide) prononciation de Leibniz => « LAYPNISSE ». Voltaire refuse les théories providentialistes (croyance sur les volontés de Dieu) de Gordon. ------------------------------------------------- Les progrès de l’Ingénu :