Philosophie Indifférent Vérité

Dans le préambule il insiste sur la nécessité d'accomplir l'acte de philosopher à tous les âges de la vie. Mouvement: Le texte commence par une affirmation et relie philosophie et santé de l'âme (1ère partie). La 2ème partie démontre l'affirmation. La 3ème partie tire deux conséquences: -nécessité de la philosophie pour le jeune comme pour le vieillard; -nécessité de réfléchir longuement aux causes du bonheur. Enfin l'auteur indique l'enjeu: bien vivre. Intérêts: Ce préambule promet

L ’ être humain Demi-dissertation (30 %) Descartes vs Rousseau Thème : la bonté Département de philosophie Cegep de Victoriaville Mme Kathleen Hayes Raison vs sentiments :

les quelques petits quatrains qu’il nous a laissés, nous devons donc commencer par étudier ce côté peu connu de son esprit. Il alla à l’école comme les enfants de son âge, termina ses études secondaires et supérieures. Il apprit l’arabe, la philosophie, l’histoire et surtout les mathématiques. Il aurait été le condisciple d’Hassan Sabbah, fondateur de la secte Fathimite et d’un homme qui devait devenir célèbre comme premier ministre sous le nom de Nezamol-Molk, le régulateur de l’empire. Les trois

| |Un document produit en version numérique par Charles Bolduc, bénévole, | |professeur de philosophie au Cégep de Chicoutimi | |Courriel: cbolduc@cegep-chicoutimi.qc.ca | |Page

Chapitre 1 La vérité Ce cours sur la vérité ouvre un nouveau cycle d’étude, celui de la connaissance. Le coeur de notre réflexion à l’intérieur de ce cycle se situe dans le cours sur le travail scientifique, où sera abordée la perception, puis comment cette perception pure dans la relation de la théorie scientifique à l’expérience et quel rôle jouent la démonstration et l’interprétation dans l’émergence de ces théories scientifiques. Il est évident que la question de la vérité ne se distingue

L’existentialisme, une philosophie humaniste ? La thèse de la conférence tient en une phrase : la philosophie existentialiste est une philosophie humaniste, qui place la liberté humaine au-dessus de tout. Ou, comme le dit Sartre en termes philosophiques : “l’existence précède l’essence“. L’humanisme se définit classiquement comme comme une doctrine qui défend la valeur de la personne humaine et qui cherche à réaliser son épanouissement. Sartre cherche donc à prouver la compatibilité de l’existentialisme

doivent donc être rejetées ; on retrouve ici un type de démonstration analogue à celui du raisonnement par l’absurde en mathématiques. En effet, si l’on admettait la thèse adverse, l’Esthétique ne pourrait pas rendre compte de tous ces arts qui sont indifférents à la nature et à ses manifestations, puisqu’ils ne cherchent en aucune façon à la reproduire. Ainsi l’examen des différentes disciplines artistiques met-il bien en évidence l’absurdité de la thèse imitative. Comme le souligne Hegel, « Si

fasse ». - moderne : recherche approfondie, philosophie du beau L’art est-il une imitation de la nature ou le domaine de l’imagination créatrice ? Une imitation est une reproduction de la beauté que nous présente la nature. L’imitation pour les réalistes et naturalistes est la fin même. Plus on imite le réel, plus l’art est parfait. Aristote remarquait que l’imitation plaisait, alors que la vue de l’objet réel laissait indifférent. Pascal : « Quelle vanité que la peinture qui attire

EXPOSE DE PHILOSOPHIE : Le Scepticisme PLAN Introduction I. Arguments sceptiques A. Les sens sont trompeurs B. Tout change C. Tout est différent D. Les sens ne sont pas trompeurs E.Identité et analogie 1.1 Le scepticisme antique 1.2 Doctrine générale 1.3 Histoire du scepticisme antique 1.2.1 Les origines 1.2.2 L'ancien scepticisme 1.2.3 La Moyenne et la Nouvelle Académie 1.2.4 Le néo-pyrrhonisme 2 Scepticisme au sens large 2.1 Le scepticisme de la Renaissance 2.2 Le scepticisme

successivement les philosophies sur la révolte proposées par les grands penseurs de la Grèce antique au 20e siècle. Selon Camus, la révolte est le meilleur moyen de vivre l’absurdité de la vie. C’est dire « non » mais ne jamais renoncer. C’est faire face à son destin, l’affronter, ne pas aller vers la facilité que sont le suicide et la croyance. En effet, succomber au suicide est une manière d’échapper à l’absurdité de sa condition. De même, croire en une religion, c’est refuser la vérité, se détourner