Phnom Penh

exercés. Les opérations de maintien de la paix établies par les Nations Unies ont intégré dans leurs actions un élément " droit de l'homme ". Au Cambodge, après avoir prêté main forte à l'APRONUC, le centre des droits de l'homme a ouvert un bureau à Phnom Penh. La fin de la guerre froide a donc permis à la communauté internationale, à l'ONU , au Conseil de Sécurité, de mettre en application les principes de base de la Charte des Nations Unies. La création du poste de Haut Commissaire aux Droits de l'Homme

Chine communiste, il clame « Vive le Québec libre », il voyage à l’Est, en URSS. En 1962, le général de Gaulle refuse que les forces françaises fassent partie de l’OTAN. Sa désolidarisation des USA se matérialise aussi bien dans son discours de Phnom-Penh le 1er septembre 1966 au cours duquel il expose ses vues sur le conflit vietnamien, sur ses conséquence ainsi que sur le moyen d’y mettre fin. Par ailleurs, c’est à cette période, à partir des années 50, que la constitution de l’Europe démarre

Ceauçescu affirmer son autonomie. Le leadership américain est lui aussi contesté. A partir de 1958, la France du général de Gaulle dénonce le poids du dollar dans les échanges internationaux et condamne l’intervention américaine au Vietnam (discours de Phnom Penh en 1966). Elle prône aussi une « Europe des Etats » indépendante des Etats-Unis. Ce rejet de l’atlantisme la conduit à refuser l’entrée du Royaume-Uni dans la CEE et à se retirer en 1966 des structures militaires de l’OTAN. Cependant, son attitude

que la France ne saurait prendre son parti de la bipolarisation. Elle reste l’alliée des Etats-Unis mais elle demande à être traitée en partenaire et non en vassale, et ne se sent pas tenue d’approuver toutes les initiatives américaines (en 1966 à Phnom Penh, de Gaulle développe une vigoureuse critique de l’intervention américaine au Viêt-Nam). A l’inverse la France considère toujours l’URSS comme l’adversaire, mais elle n’entend pas laisser les Etats-Unis seuls maître du processus de détente qui s’amorce

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Droits de l’Homme et du Citoyen - De Gaulle s’oppose aux deux grands, en voulant trouver une troisième voie improbable dans la logique bipolaire. Il critique et se déclare contre les États-Unis par l’intervention au Vietnam dans le discours de Phnom Penh (Cambodge) en 1966, ce qui génère de fortes tensions diplomatiques. En 1966, De Gaulle se retire du Commandement Intégré de l’OTAN, en ne participant plus aux décisions et aux manœuvres. Les troupes libératrices américaines stationnées depuis

Université Royale de Droit et des Sciences Economiques Université Lumière Lyon 2 Licence délocalisée à Phnom Penh, Cambodge La Filière Spéciale de Droit, FS2 — groupe 2— promotion 2010 TD de la méthodologie approfondie Devoir à la maison Dissertation juridique: « Le danger de la liberté de presse » Par M. NOEUM Sokvichhai étudiant en droit de 4eme année. Introduction I- La liberté de presse excessive et ses dangers A- L’origine de ce danger i-L’inexactitude

| |Démission de Nixon (Watergate) | | |1975 | |Prise de Phnom Penh par les Khmers rouges et de Saigon | | | | | |par les Nord-vietnamiens

personnes travaillent dans le secteur informel. Dans la mesure où ces pays manquent d’équipements, la majeure partie de leur richesse provient de l’extérieur, notamment grâce aux ONG et à l’aide au développement. Nous pouvons citer l’exemple de Phnom Penh, la capitale du Cambodge. Au fur et à mesure que la ville se développe, de plus en plus de quartiers informels font leur apparition. Leur multiplication est causée par l’augmentation des loyers ainsi que par la privatisation de la terre. La libéralisation

début de la Guerre Froide), le général marque ses distances vis-à-vis des deux blocs. En effet, en 1966 il retire les forces françaises de l’OTAN et la même année, il désapprouve l’engagement militaire des Etats-Unis au Vietnam lors du discours de Phnom Penh. Il n’est pas plus aimable avec l’URSS ni dans ses discours, ni lorsqu’il reconnait la Chine Populaire en 1964. Néanmoins, il faut noter que De Gaulle reste fidèle sans hésitations au Etats-Unis lors de la crise de Cuba en 1962 par exemple. Toute