Photopériodisme

(brucellose). Tropisme Jeunes pousses La germination et la croissance de la plupart des végétaux sont en grande partie sous l’influence de la lumière. Les réactions du végétal à l’alternance jour/nuit et aux changements de saison constituent le photopériodisme, tandis que l’orientation d’une plante vers une source lumineuse est le phototropisme. Cinquième – Sciences de la Vie et de la Terre – Nous avons montré que pour fonctionner l’organisme a des besoins : besoin de dioxygène (O2), besoin de

l'objet de nombreuses recherches scientifiques ; de ce fait, elle est considérée comme « une plante modèle en génétique ». D’un point de vue physiologique, la tomate cultivée est une plante à jours neutres, dont la floraison est indifférente au photopériodisme, ce qui a permis son adaptation sous diverses latitudes. Elle présente des fleurs hermaphrodites, elle est donc auto-fertile et principalement autogame. La tomate est une plante de type « C3 », c'est-à-dire qu'en première étape elle produit des

couchent les arbres et imposent un port en drapeau (Doc. 2), - la lumière détruit l’auxine provoquant l’allongement de la face sombre et donc une croissance orientée (phototropisme positif) des tissus éclairés (Doc. 14), - L’alternance jour/nuit ou photopériodisme permet la floraison des plantes, - les U.V. sont responsables du nanisme des plantes de montagne, - l’absence ou l’excès d’éléments minéraux gène ou accélère le développement végétal… Les facteurs biotiques (vivant) interviennent également dans

le métabolisme cellulaire, la croissance et le développement : Nutritions hydrique, minérale, carbonée, azotée et soufrée. Translocation organique. Régulation phytohormonale. Tropismes et orientation dans l’espace. Photomorphogenèse et photopériodisme. Métabolites secondaires. Mécanismes de défense contre les stress. Les séances de TD et de TP permettront d’approfondir le cours en se familiarisant avec les méthodes actuelles d’étude des végétaux. Physiologie animale Elle est enseignée

Traitements vernalisants 5.3. Caractères de la vernalisation 5.4. Lieux de perception du stimulus et transmission de l'induction 5.5. Moyens d'acquisition de l'aptitude de la floraison 6. Mécanisme de la mise à fleur et photopériodisme 6.1. Facteurs trophiques 6.2. Effet du photopériodisme 6.3. Induction expérimentale de la floraison 7. Régulateurs de croissance et différenciation 7.1. Régulateurs de croissance et morphogenèse 7.2. Cals cicatriciels 7.3. Différenciation et dédifférenciation DEUXIEME

faut noter que ces mêmes conditions gênent et diminuent le développement et l’élongation de la tige. Les causes de cette élongation de la tige peuvent être dues soit à un apport excessif d’engrais azotés, soit à des conditions des jours longs (photopériodisme). La hampe florale qui se développe normalement pendant la deuxième année, atteint une hauteur de 120 à 200 cm. Les fleurs formées sur les rameaux floraux, sont petites de couleur jaune. La construction de la fleur et la biologie de la floraison

Noël » ou « poinsettia ».ses feuilles sont ovales, vertes et fortement nervurées. Les fleurs sont minuscules et insignifiantes mais celles-ci sont entourées de bractées rouges, roses, ou blanches très décoratives. Cette plante est sensible au photopériodisme, cela signifie qu’elle fleurit uniquement durant les jours courts, soit durant l’automne et l’hiver. Lumière : situation lumineuse mais non ensoleillée en été, en hiver la situation lumineuse sans soleil direct sera idéal. Température : Situation

nouveau-né :25 (Recours au lampes infra-rouge ou radiants) Chevrette < 1 mois :18 Chevreau à l’engraissement :15 Chevrette à 7 mois :10 à 16 Chèvre Adulte :10 à 16 ECLAIREMENT Naturel : 5% de la surface couverte Artificiel : 5 à 6 W / m² Photopériodisme : prévoir 200 lux au niveau des yeux des chèvres AERATION “De l’air sans courant d’air” Volume d’air (m3/animal) Vitesse de l’air* (m/s) Entrée d’air (m²/animal) Sortie d’air (m²/animal) Chevrette > 1 mois3 à 40,20,040,02 Chevrette

(contrôles hormonaux). La germination des semences : (différentes phases, dormances). La croissance et la morphogenèse végétative (modalités, tropismes, chute des feuilles et dormance des bourgeons). La floraison (différentes étapes, vernalisation, photopériodisme et phytochrome, morphogénèse florale). La formation des graines. La formation et maturation des fruits. Les principales phytohormones : auxine, gibbérellines, acide abscissique, cytokinines, éthylène, quelques données sur les brassinostéroïdes

phénomènes. Après avoir d'abord envisagé des thèses sur la nature du sol, un français va réorienter l'axe de recherche. J. Tournois montre en 1912 que le chanvre et le houblon fleurissent mieux si la durée du jour est courte, découvrant la notion de photopériodisme des végétaux. Cette découverte précède l'étude sur le tabac menée par W. Garner et H. Allard qui en décrivent précisément les bases de fonctionnement (14). On relève que de nombreux auteurs et artistes étaient alors friand d'expérimenter les effets