Physiognomonie

d’une tête de vieillard par Léonard de Vinci : chacun des éléments du visage ou du corps est caractérisé par un adjectif descriptif (« saillantes », « écrasé »…). L’attention à tous ces reliefs du visage rappelle que Balzac est un adepte de la physiognomonie, selon laquelle le caractère d’un individu peut se déduire de la morphologie de son visage. Des expressions comme : « ces pensées qui creusent également l’âme et le corps » attestent de cette volonté de considérer le physique comme le miroir

personnage et dans sa conception du portrait, a été influencé par deux disciplines considérées à l’époque avec beaucoup de sérieux : la phrénologie (la forme du crâne annonce la conformation psychologique et intellectuelle de l’individu) et la physiognomonie (l’interprétation des traits du visage permet de connaître l’individu). Les théories de Darwin sur l’évolution des espèces et sur la sélection naturelle, les lois sur l’hérédité ont amené Zola à définir le projet de son cycle romanesque. -Approche

irréductible à des points communs thématiques. En ne saisissant pas le rapport polémique qu'entretient le moraliste au discours philosophique, la critique du XIXe siècle a souvent assimilé les moralistes à une branche de la philosophie ou de la physiognomonie : c'est rendre inutilisable la notion, et être particulièrement inattentif à la spécificité formelle de ces textes, pour une large part responsable de leur succès comme de la permanence de leur lisibilité aujourd'hui et de leur annexion à la notion

la zoologie……………11 5- Expliquez l’intérêt argumentatif de l’animal……………………………12 III- Illustrations des Fables et images de l’Homme/Animal : 1- Etude de trois illustrations des Fables de La Fontaine…………………15 2- Réflexion sur la physiognomonie………………………………………..18 IV- Des animaux et de l’Homme : …………………………………………...21 V- Science : 1- Ethologie animale……………………………………………………….23 2- Ethologie humaine………………………………………………………24 VI – Révisions : définitions :…………………………………………………

expressions qui peignent une P altérée, méconnaissable aux yeux de R et du lecteur. Balzac donne d’abord la conséquence (déformation physique) et ensuite seulement, la cause=> comprise par P qui « lisait », invoquant le concept de la physiognomonie. Elle comprend le mécanisme surnaturel et fatal de la peau et que donc le désir de R est mortifère. Reprise de l’esthétique du mélodrame avec le langage de l’excès : termes hyperboliques qui symbolisent l’ampleur, d’une part, la peur de P et de

il commence par le sous-sol et finit par le grenier : « Ce salon communique à une salle à manger ... » (page 13). Enfin le narrateur insiste sur de petits détails prosaïques (banaux) qui mettent en valeurs la réalité de la pension. 13) La physiognomonie est explicitement évoquée à la page 133 : « Quel physiognomoniste est plus prompt à deviner un caractère… », mais elle sert aussi à plusieurs reprises dans le roman pour construire des personnages physiquement et mentalement en les rapprochant

Etude de la situation spatio-temporelle. - Le personnage romanesque et la vision de l’homme proposée : • ses caractéristiques : nom, portrait, pensées, langage, milieu social ? • son portrait : description physique ? morale ? Une physiognomonie ? Le lexique est-il élogieux ? péjoratif ? Quel est alors le point de vue donné sur ce personnage par l’auteur ou par un autre personnage du roman ? pourquoi ? Est-ce un portrait en actes ? Quels actes ou paroles ? Qu’apprennent-ils sur le personnage 

du rationalisme. Une attention croissante fut accordée au mécanisme les plus secrets de l’esprit humain. En 1779 Füssli partit pour Londres, où il illustra l’ouvrage de Lavater publié en 1792 dans sa traduction anglaise. Ces recherches sur la physiognomonie qui passionnèrent les premiers romantiques, dont Goethe lui-même, suscitèrent une réflexion nouvelle sur les rapports entre la forme animale et l’expression humaine, un thème qui parcourt toute l’expression culturale de Füssli. Observateur de

intrigues et les descriptions de personnages. Le réalisme qu’on perçoit dans tous les aspects du Père Goriot s’applique tout d’abord à la description des personnages. La mise en application de théories aux prétentions scientifiques comme la physiognomonie et l’influence réciproque du milieu et de l’individu, la Page 6 représentation de la société par des types sociaux stéréotypés ainsi que l’utilisation de personnages d’attestation constituent quelques-uns des facteurs qui contribuent à rendre

personnages, elle en est le signe et la cause et l'effet. Cette conception culmine avec le roman réaliste et balzacien, au XIX ème, en correspondance avec la théorie de l'influence réciproque du milieu et de l'individu, avec des "sciences" comme la physiognomonie... Balzac prend la peine de décrire le milieu de vie, les lieux car les informations données permettront de mieux comprendre à la fois les personnages et les événements qui vont se produire. Sauter les passages descriptifs dans un roman balzacien