Phèdre La Princesse De Clèves

vraisemblance[pic] participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la | |scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phèdre, | |relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte. | |Le XVIIe siècle voit aussi la résurgence, après une longue éclipse, de genres littéraires hérités de l'Antiquité

Louise Labé des images concrètes et hyperboliques comme au vers 2 (« J’ai chaud extrême en endurant froidure »), ainsi que le champ lexical de la souffrance (« ennuis », « grief », « tourment » « douleur », « peine »). Dans la tragédie de Racine, Phèdre donne également une dimension 26 27 Thérèse Raquin Groupements de textes © Éditions Belin/Éditions Gallimard. physique à ses souffrances : elle évoque sa vive « blessure » ainsi que ses tourments physiques (« Je le vis, je rougis, je pâlis

la vraisemblance[pic] participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phèdre, relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte. Le XVIIe siècle voit aussi la résurgence, après une longue éclipse, de genres littéraires hérités de l'Antiquité : la fable, la satire[pic], les lettres, les maximes[pic] et les portraits. La Fontaine

roi. Il peut alors annoncer sa veine d’inspiration : censeur des vices du temps, il met en lumière les travers de ses contemporains, composant librement et sans entraves ses œuvres au gré de l’inspiration poétique. ... à vous de lire La Princesse de Clèves... (p. 222) 1. Une nouvelle historique Les personnages historiques : Henri II, Catherine de Médicis, Marie Stuart, Diane de Poitiers, Madame, sœur d’Henri II. Les événements historiques : négociations de Cercamp, changements de règnes, mort

que cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

les différents épistoliers s’expriment tour à tour (• L’épistolaire, pp. 332 à 358). Les romans prennent des orientations diverses selon leur thème : - Certains romans privilégient l’étude des personnages. Le roman d’analyse comme La Princesse de Clèves, de Madame de Lafayette, s’intéresse à la psychologie des personnages. Le roman d’apprentissage du XIXe siècle suit l’évolution sentimentale, intellectuelle et sociale du héros (Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830). Le roman peut aussi

cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve  siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier  siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve  siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier  siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

cette imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour rivaliser avec lui. Quantité de fables de La Fontaine sont ainsi empruntées aux fabulistes grec Ésope (Ve siècle av. J.-C.) et latin Phèdre (Ier siècle après J.-C.). Phèdre, tragédie de Racine, est la troisième version d’un mythe déjà mis en scène par Euripide (dramaturge grec du Ve siècle av. J.-C.) puis Sénèque (auteur latin du Ier siècle ap. J.-C.). Racine s’inspire aussi d’Euripide pour sa tragédie

Précieuses ridicules (1659), Tartuffe (1664), Don Juan (1665) et Le Bourgeois gentilhomme (1671) ; Jean Racine, Andromaque (1667), Britannicus (1669), Phèdre (1677). Fables : Jean de La Fontaine. Portrait et maxime : François de La Rochefoucauld, Maximes (1665) ; Jean de la Bruyère, Les Caractères (1688). Roman : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678). Lettre : Madame de Sévigné. Essai philosophique et sermon : René Descartes, Le Discours de la méthode (1637) ; Blaise Pascale, Pensées (1670)