Phèdre La Princesse De Clèves

sur scène que ce qui ne choquera pas le public. On écarte alors la violence physique mais aussi l'intimité physique. Les scènes violentes doivent ainsi être racontées par un personnage. Quelques exceptions sont restées célèbres comme les morts de Phèdre et de Don Juan dans les pièces éponymes de Racine et de Molière ainsi que la folie du personnage d'Oreste dans Andromaque. Les classiques vont aussi séparer la comédie et la tragédie car, pour éviter le mélange des genres, la tragicomédie est refusée

alliés à la pureté. On ajoutera la concision. - Les œuvres des classiques (Molière, Les Femmes savantes et l'ensemble de son théâtre - La Fontaine et ses Fables - Racine, Phèdre, entre autres tragédies - Bossuet, ses Oraisons funèbres et autres Sermons - Boileau et son Art poétique - Mme de la Fayette avec La Princesse de Clèves) allient la rigueur de la composition, la précision et la clarté du style à la recherche du naturel, du vraisemblable et à la finesse de l’analyse morale et psychologique

COMMENTAIRE PHEDRE : Racine Phèdre Acte I scène 3 Introduction : 1)Dans son œuvre, Racine privilégie la mythologie grecque 2)résumé de l’histoire de Phèdre et situation du passage : Oenone par ses supplications vient d'amener sa souveraine, Phèdre, à avouer la cause du mal dont elle dépérit : elle apprend ainsi, avec le spectateur que cette dernière aime le fils de son époux Thésée, Hippolyte qu'il a eu de la reine des Amazones, Antiope.3)problématique : quelles parts de fatalité, de désir

l'antiquité gréco-latine. • Le roman aussi est l'un des genres principaux du classicisme : il faut surtout retenir que le roman épistolaire, par exemple avec les Lettres portugaises de Guilleragues, ou la nouvelle historique, par exemple avec La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, introduisent la vraisemblance dans le récit. • Enfin, d'autres genres se développent beaucoup à cette époque, et semblent caractéristiques du classicisme. Pensez en particulier aux mémoires, genre proche de l'autobiographie

moins pour suggérer davantage, et renforce ainsi l'énoncé : Madame de Clèves n'était pas peu embarrassée (Mme de LA FAYETTE) = Madame de Clèves était excessivement embarrassée. La litote accentue l'impression de l'embarras profond qu'éprouve la Princesse de Clèves. LA PÉRIPHRASE La périphrase substitue au mot propre une expression composée de plusieurs éléments. Pour éviter de nommer Hippolyte qu'elle aime, Phèdre dit: mon superbe ennemi (RACINE) L'ANTIPHRASE L'antiphrase consiste à

liste est longue mais ne vous oblige pas à tout lire ! Piochez, choisissez, essayez, abandonnez, recommencez avec un autre… comme il vous plaira ! XVIème siècle : voir florilège donné XVIIème siècle : Madame de La Fayette La Princesse de Clèves (R) Racine Britannicus, Phèdre, Andromaque... (T) Molière Le Malade imaginaire, L’Avare, L’école des femmes... (T) Corneille Le Cid (T) XVIIIème siècle : Voltaire Candide (conte philosophique) XIXème siècle : Musset On ne badine pas avec l’amour, Les Caprices

d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes(Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII. Sommaire   [masquer]  1 Contexte 1.1 La codification du langage 2 La variété de la littérature française du XVIIe siècle 2.1 Le Baroque 2.1.1 Une sélection d'écrits baroques en français

le cadre du programme, les élèves peuvent lire quelques unes des œuvres suivantes, œuvres qu’ils retrouveront peut-être pour une étude en classe à la rentrée de première. Romans Rabelais : Pantagruel, Gargantua Mme de Lafayette : La princesse de Clèves Laclos : Les liaisons dangereuses Prévost : Manon Lescaut Balzac : Le Père Goriot Dumas : Pauline Maupassant : Pierre et Jean Stendhal : Le rouge et le noir Zola : L’assommoir Calvino : Le baron perché Camus : L’étranger, la Peste

pêché capital contre les mœurs de l’Eglise… Conclusion : -fonction d’incipit : moteur du roman -cliché romanesque du coup de foudre : renforce caractère dramatique de la passion qui s’annonce -fatalité Phèdre ou rencontre amoureuse dans princesse de Clèves de Madame de Lafayette avec Madame de Clèves et le Duc de Nemours.

Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, est un dramaturge et poète français considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France sous Louis XIV. Oeuvres importantes Andromaque, Britannicus, Phèdre, Athalie Pierre Corneille Pierre Corneille, né le 6 juin 1606[1] à Rouen, mort le 1er octobre 1684[] à Paris, est un dramaturge et poète français du XVIIe siècle, appartenant au courant classique et baroque. Oeuvres