Phèdre Malédiction

l'amène au roi de Corinthe qui l'élève comme son fils sans lui révéler son identité, et lui donne son nom: qui signifie « celui qui a les pieds enflés ». Puis Oedipe, on allant consulté Apollon, apprend qu'il est maudit et pour se défaire de sa malédiction, quitte sa famille et en chemin, il rencontre un homme et ses serviteurs, pensant que c'est des voleurs, il tue l'homme qui, en fait est son père. Lorsqu'il arrive à Thèbes (le ville que l'ont voit au fond du tableau, il est confronté au sphinx

recueil Les Fleurs du mal de Baudelaire. Extrait: La déclaration d'amour que fait Baudelaire à Jeanne Duval est paradoxale. L'auteur s'adresse à elle dans une longue phrase qui recouvre les trois premiers quatrains, et qui s'achève sur une double malédiction, vers 12, mise en valeur par le tiret qui la précède, l'allitération cassante en « t », renforcée par la prononciation du « e » et qui est renforcée par l'injure du vers 7 (...) Plan: Introduction I) Une déclaration de haine A. Une déclaration

à la cour de Polybe, roi de Corinthe. Celui-ci s'attache à l'enfant et l’élève comme son propre fils, sans lui révéler le secret de ses origines. Il lui donne le nom d’OEdipe. OEdipe apprend, en consultant Apollon, qu'il est victime d’une malédiction : s’il retourne en terre natale, il tuera son père et épousera sa mère. Il décide alors de s'écarter de sa famille d’adoption afin d'échapper à son destin et quitte Corinthe sans but précis. En chemin, il rencontre un homme escorté de serviteurs

avec le commandant Aupick (militaire donc homme d’action, d’ordre) que Baudelaire aimera jamais et donc lui servira de contre modèle dans ces choix de vie. Il aura toujours le sentiment qu’en se remariant sa mère le trahit et donc y verra une malédiction qui va peser sur ces passions féminine toujours ardente, et toujours trahit. Interne dans un collège de Lyon. Puis Aupick est promu générale donc retour à Paris, où il fera ces études au lycée Louis Legrand. Elève brillant qui passionne pour

unique solution la haine « tombe tout entier du coté de ma haine » et donc le meurtre. Cependant, ce qui semble perturber le personnage, c’est aussi cette idée de fatalité très fréquente chez les héros romantiques. Il est victime d’une ancienne malédiction dont il n’est pas responsable mais qui le suit et limite sa liberté. Le chiasme « ma race en moi poursuit en toi ta race » souligne l’importance du conflit initial entre les deux familles. Il est en quelque sorte condamné, victime de l’héritage

humain, ou une fée, ou un ange... » ; « c'est une salamandre, c'est une nymphe, c'est une déesse, c'est une bacchante du mont Ménaléen ! » jusqu'à cet arrêt brusque et inattendu: « Tout illusion avait perdu ». Dans Le Rêve, on peut voir que la malédiction provenant de la mère d'Hubert relève un peu du surnaturel: « Celle-ci la déshérita et la maudit, si bien que l'enfant né le même soir mourut. ». Elle permet au lecteur d'anticiper la prise en charge de l'orpheline par les Hubert. Dès le début de

: il perd l'usage de la moitié de son corps puis de la parole suite à une attaque cérébrale. - 1867 : Il meurt à l'âge de 46 ans. - 1868 : Théophile Gautier reprend le mythe littéraire de Baudelaire, et définit la condition du poète. II) La malédiction du poète Le sentiment de malheur et de tristesse se ressent chez lui et dans ses poèmes. Baudelaire a eu une existence remplie de malheurs. Il la ressent et se plaint de ne pas pouvoir écrire autant qu'il le souhaiterait. En effet il connaît beaucoup

SFS Birmingham 2007 abstracts: Les poètes maudits La malédiction littéraire : Notes sur la constitution du mythe Depuis une trentaine d’années, plusieurs chercheurs se sont intéressés au phénomène des poètes maudits. Diana Festa-McCormick remarquait avec justesse en 1980 que, si les Poètes maudits publiés par Verlaine en 1884 avaient eu un tel retentissement, si le concept de « poète maudit » « was able to claim so many past and present poets among the disciples of gloom and neglect1 », c’est

phrases exclamatives, qui marquent son indignation vers 13 , vers 24 a 27. Camille emploie le mode impératif pour s'adresser a son frère on peut citer les vers 1, 3, 6 . Elle utilise aussi le subjonctif pour formuler ce qu'on peut assimiler a une malédiction ( l 14, l 28 ) La haine que Camille porte à la cité est exprimée par l'anaphore de Rome, enfin on peut relever des hyperboles aux vers 32 ( déluge de feu vers Vers 37). La vision de la destruction est rendue effrayante par l'utilisation d'hyperbole

d'une détermination incontrôlable. Le rejet de Dona Sol : le sentiment d'une malédiction et la conscience de faire le malheur de ceux qu'il aime conduit Hernani à repousser Dona Sol. Cette attitude s'exprime à travers de nombreux impératifs de sens affirmatif ou négatif (répétition de " fuis " (v. 18, v. 31)) : il se présente ainsi sous la forme d'un éternel proscrit, solitaire et poursuivi par une sorte de malédiction qui le conduit à détruire tout ce qu'il approche. Personnage individualisé par