Phèdre Paragraphe Argumenté

Corneille et Racine, ostensiblement, montrent qu’ils se réconcilient… 1676 Edition collective de ses Oeuvres, textes et préfaces remaniés. 1676 Victoires françaises en Flandre, négociations de Nimègue. 1677. Le 1er janvier, on donne la Phèdre de Racine en même temps que celle de Pradon, à Paris. Le parti cornélien attaque, le parti racinien contre-attaque, les sonnets injurieux se croisent et Condé devra apaiser les esprits, non sans difficulté. Dans le même temps, Racine se

sur les répétitions Ces figures donnent plus de force à l’énoncé en jouant sur la structure de l’énoncé. On peut distinguer : 2-1- Le parallélisme Le parallélisme reproduit la même structure syntaxique à l’échelle de la phrase, du vers, du paragraphe : « Quand je vois les Césars, quand je vois leur fortune, Quand je vois le soleil, et quand je vois la lune », Jean Racine : ici les empereurs deviennent des astres. 2-2- L’anaphore L’anaphore répète un mot ou un groupe de mots en tête, d’hémistiche

et la devise « Epecho » (Je suspends mon jugement), peut servir d’emblème à plusieurs essais du premier ou du deuxième livre, à tel passage des grands essais du troisième livre où Montaigne met en scène un interlocuteur imaginaire qui avance des arguments contraires aux siens : dans l’essai « De la vanité », il reproche à Michel son goût des voyages, il reprend son goût pour l’ironie dans l’essai « Sur des vers de Virgile »2. Mais mainte fois dans le livre III, Montaigne, par un coup de force de sa

l'être raisonnable, l'étude des moyens de preuve utilisés pour obtenir l'adhésion, a été complètement négligée depuis trois siècles par les logiciens et les théoriciens de la connaissance. Ce fait est dû à ce qu'il y a de non contraignant dans les arguments qui viennent à l'appui d'une thèse. La nature même de la délibération et de l'argumentation s'oppose à la nécessité et à l'évidence car on ne délibère pas là où la solution est nécessaire et l'on n'argumente pas contre l'évidence. Le domaine de l'argumentation

.............................................................................34 Démarche méthodologique de la conclusion ......................................34 2.3.1 2.4 Construire un paragraphe argumentatif.....................................................35 Démarche méthodologique du paragraphe argumentatif....................35 2.4.1 3 TECHNIQUE D’ANALYSE D’UNE OEUVRE INTÉGRALE.............................38 3.1 Grille de lecture de l’œuvre intégrale..........................

......................34 2.3.1 2.4 Démarche méthodologique de la conclusion ......................................34 Construire un paragraphe argumentatif.....................................................35 2.4.1 3 Démarche méthodologique de l’introduction ......................................32 Démarche méthodologique du paragraphe argumentatif....................35 TECHNIQUE D’ANALYSE D’UNE OEUVRE INTÉGRALE.............................38 3.1 Grille de lecture de l’œuvre

commence par identifier le genre, le registre, les buts de l’auteur… Il comporte en général 2 ou 3 grandes parties par ordre d’intérêt croissant après la lecture analytique, divisées en 3 sous parties du plus simple au plus complexe. Dans chaque paragraphe se trouve la thèse les citations du texte et les moyens stylistiques utilisés. L’introduction comporte trois étapes, la phrase d’accroche (genre, auteur, courant littéraire), une présentation du texte avec l’œuvre, le thème … puis l’annonce élégante

Lettre 4 – Elle se plaint du départ de l'officier comme s'il venait de se produire, reproche son silence. Lettre 5 - Dénouement, renoncement. Elle ne veut plus lui écrire, renvoie ses cadeaux. Abandon. On y retrouve du DOM JUAN de Molière, du DIDON, PHEDRE de Racine. C'est un texte dont le désordre est caractéristique. Texte qui porte l'héritage du baroque 1594-1661 qui se caractérise par l'instabilité, les violences. Intrigue embrouillée. Histoire se veut vraisemblable. ROUSSEAU – LA NOUVELLES HELOISE

PRÉLIMINAIRES La première difficulté constatée est d’abord de lecture : les arguments de l’esprit doivent-ils être pris au sérieux ? Tout repose sur le dosage subtil de sérieux et d’humour (à cet égard, il est important de bien lire ce qui précède et ce qui suit, car cela donne le ton et la portée du discours). Rien n’assure qu’un « prêche » puisse convaincre. Ce dosage oblige à revoir le choix et la portée des arguments : Montaigne est-il à ce point sensible à la « vanité » et prend-il à son compte

logique démonstrative ........................................................................................ 28 1. De l’évidence à l’approfondissement ................................................................... 28 2. L’imbrication des arguments ................................................................................ 29 3. Une logique d’actualisation .................................................................................. 29 B. L’affichage du plan .....................