Phèdre Scène Importante

d’antropologie à la fois structurale( avec un système d’unités) et analytique. Cette, première partie, la plus importante, est divisée en plusieurs chapitres et sous-parties. Ainsi, nous étudions la structure des œuvres raciniennes grâce aux divers lieux tragiques que sont la chambre, l’anti-chambre et l’extérieur. Les trois espaces principaux sont la mort, la fuite et l’événement, la scène érotique. La relation fondamentale est le conflit, présent dans l’ensemble des tragédies raciniennes. Roland

est repris dans un texte littéraire qui l’ enrichit de significations nouvelles propres à la sensibilité de son époque. - Les origines du mythe. Il est important de savoir à quelle aire culturelle appartient un mythe rencontré dans un texte littéraire : • Les mythes qui offrent une dimension religieuse sont des récits sacrés qui mettent en scène des êtres divins et visent à expliquer la création du monde, la condition mortelle de l’homme et certains phénomènes cosmiques. Ils se transmettent oralement

Dissertation de Francais Pascal remarque que « rien ne nous plait que le combat » si bien que « dans les comédies, les scènes contentes, sans crainte ne valent rien ». Le conflit est assez important au théâtre, car les spectateurs tirent beaucoup de plaisir a assister à ces conflits qui peuvent avoir plusieurs formes et intérêts . Nous allons donc en analysant et en définissant la notion de conflit théâtrale et la multiplicité de ses formes nous demander si la représentation d’un conflit est

conquiert la non-mort, c'est-à-dire le kleos aphtiton, une gloire impérissable. On voit le jeu, c’est par la mort qu'on conquiert la non-mortalité. » http://www.histoire.ac-versailles.fr/IMG/pdf/JPvernant.pdf I La mort du héros est un moment important dans la "purgation des passions" (la catharsis).  Le philosophe grec Aristote (384-322) a théorisé ce concept qu'on nomme catharsis et qu'on traduit par "purgation des passions". Le spectacle tragique permet au spectateur de se délivrer, sans risque

conquiert la non-mort, c'est-à-dire le kleos aphtiton, une gloire impérissable. On voit le jeu, c’est par la mort qu'on conquiert la non-mortalité. » http://www.histoire.ac-versailles.fr/IMG/pdf/JPvernant.pdf I La mort du héros est un moment important dans la "purgation des passions" (la catharsis).  Le philosophe grec Aristote (384-322) a théorisé ce concept qu'on nomme catharsis et qu'on traduit par "purgation des passions". Le spectacle tragique permet au spectateur de se délivrer, sans risque

C’est-à-dire, que l’exagération est le fait de vouloir agrandir les choses plus que dans la réalité, dans ce cas, à l’aide de procédés littéraires. En réalisant cela, il est vrai que les facteurs que nous avons exagérés auront tendance à sembler moins important de ce que c’est vraiment. L’exagération est un facteur présent dans tous les genres littéraires. Cependant, nous avons tous tendance à dire que son effet est plus prépondérant chez le théâtre. Mais, le théâtre est-il que de l’exagération ? Ainsi

produit d'une représentation sur scène. Cette ambivalence fait d'ailleurs la richesse du genre, puisque si les pièces peuvent être lues, elles prennent tout leur sens lors de leur représentation. C'est bien cette spécificité du genre théâtral qui est au cœur de la réflexion d'Anne Ubersfeld, lorsqu'elle déclare dans « Le texte dramatique » in Le Théâtre qu'« une des caractéristiques les plus étonnantes du texte théâtral, la moins visible, mais peut-être la plus importante, c'est son caractère incomplet »

un endroit où l’on voit, où l’on admire... C'est un genre a part car le dramaturge écrit en règle générale, dans le projet d'une mise en scène. Le théâtre est donc une œuvre destinée non à être lue, comme celles des autres genres littéraires, mais à être représentée et vue Néanmoins on distingue l'écriture théâtrale qui est la pièce écrite, et la mise en scène, qui est la représentation vivante de la pièce. L'action théâtrale est caractérisée par l'exposition, le conflit ou nœud, les plusieurs péripéties

rappelle Molière dans La Critique de l'École des femmes. Ainsi la tragédie suscite-t-elle, selon Aristote, « la pitié et la crainte », la crainte pour soi-même, la pitié pour autrui. Crainte devant la fureur de Cléopâtre, pitié devant la souffrance de Phèdre. Paradoxalement, ces sentiments sont la source du plaisir né du spectacle tragique. Boileau parlera dans son Art poétique de « douce terreur » et de « pitié charmante ». Le langage et son utilisation poétique dans la tragédie classique contribuent

Le théâtre naît au Vème siècle avant Jésus Christ. Des auteurs antiques tels qu'Aristophane, Euripide, ont contribué au développement de ce nouveau genre. Dès lors, ce nouvel art subit de profondes évolutions. Au moyen Age, il quitte la scène théâtral pour être représenté sur le parvis des Églises. A cette époque, sa fonction est purement religieuse, il est destiné à communiquer au peuple les idées théologiques du pays. Les dramaturges classiques du XVII siècle imposent au théâtre des règles strictes