Phèdre Vers 269 316

PLATON, traduction de Jean-François Pradeau. LETTRES, traduction de Luc Brisson. MÉNEXÈNE, traduction de Daniel Loayza. MÉNON, traduction de Monique Canto-Sperber. PARMÉNIDE, traduction de Luc Brisson. PHÉDON, traduction de Monique Dixsaut. PHÈDRE suivi de « La Pharmacie de Platon » par Jacques Derrida, traduction de Luc Brisson. PHILÈBE, traduction de Jean-François Pradeau. LE POLITIQUE, traduction de Luc Brisson et Jean-François Pradeau. PROTAGORAS, traduction de Frédérique Ildefonse

livres qui ­s’offrent à nous… Par quoi commencer ?  001-060_partie1_aj.indd 7 7/27/07 1:08:29 PM Les extraits qui sont ici présentés sont comme autant d’échantillons, d’amuse-gueule, pourrait-on dire, pour s’ouvrir l’appétit littéraire et aller vers les œuvres elles-mêmes sans se laisser impressionner. La tâche la plus délicate dans l’élaboration de ce livre aura été sans conteste l’équilibrage entre les siècles : comment opérer un tri entre les écrivains contemporains ? L’examen des grands noms

texte sénéquien (1-81) donne à voir un ensemble d’indices lexico-symboliques qui orientent la lecture des événements postérieurs. La présentation de l’aube en tant que cadre temporel de la tragédie suggère, d’une manière voilée aux cinq premiers vers, le sens que le développement de l’action rendra explicite, comme si le début de la pièce posait déjà les traits d’une énigme que le lecteur déchiffrera progressivement, par-delà sa connaissance préalable du réseau primaire du mythe : Œd. 1-5 :

convulsionnait » renvoient à la maladie et l’adjectif « sinistre » évoque clairement la mort. On peut également relever que le portrait est « gris sale » et les couleurs « boueuses », ce qui évoque déjà les eaux limoneuses dans lesquelles Camille sera tué. Vers l’oral du Bac p. 81-83 Analyse des lignes 1-28, p. 17-18 ☛ Étudier les différentes fonctions de l’incipit Analyse guidée © Éditions Belin/Éditions Gallimard. I. Un incipit qui informe le lecteur sur le cadre du récit a. L’incipit a pour fonction

combat’’ (1929) Nouvelle Dans une longue lettre adressée à Monique, son épouse qu'il quitte et qu’il prend à témoin, Alexis relate le «vain combat» de sa volonté, de sa tendresse conjugale, contre des désirs dont il découvre qu'ils ne le portent pas vers les femmes. Mettant ainsi fin au mensonge, il cherche à sortir d'une situation fausse qui est l'échec de son mariage et reprend sa liberté. Commentaire Comme tous les héros de Marguerite Yourcenar, Alexis s'interroge pour mieux comprendre le

combat’’ (1929) Nouvelle Dans une longue lettre adressée à Monique, son épouse qu'il quitte et qu’il prend à témoin, Alexis relate le «vain combat» de sa volonté, de sa tendresse conjugale, contre des désirs dont il découvre qu'ils ne le portent pas vers les femmes. Mettant ainsi fin au mensonge, il cherche à sortir d'une situation fausse qui est l'échec de son mariage et reprend sa liberté. Commentaire Comme tous les héros de Marguerite Yourcenar, Alexis s'interroge pour mieux comprendre le monde

l’aboutissement de toutes les passions, dit Aristote dans l’Ethique. Quant à la crainte et à l’espoir, elles sont passions principales parce qu’elles ont raison de complément non pas purement et simplement, mais seulement dans l’ordre du mouvement de l’appétit vers quelque chose ; car relativement au bien, le mouvement commence par l’amour, se poursuit dans le désir et s’achève dans l’espoir ; par rapport au mal, il commence dans la haine, se prolonge dans l’aversion et se termine dans la crainte.8 tel-00272376

...37 De l’émulation à la rivalité : Benserade et Mairet................................................38 Cléopâtre, un gage d’immortalité..........................................................................42 LA MÉTAMORPHOSE DU MONSTRE : VERS UNE DRAMATURGIE DE L’ÉLOGE.............................44 Les tragédies françaises de Cléopâtre aux XVIe et XVIIe siècles...........................45 La machine tragique : métamorphoses du héros..................................................

texte suivant : Louis ARAGON, « Elsa au miroir ». Pour Les yeux d’Elsa (1942), Aragon donne une préface essentielle, où il déclare que « L’art des vers est l’alchimie qui transforme en beautés les faiblesses ». Mais il ajoute que « L’histoire d’une poésie est celle de sa technique », et confie son désir de s’inscrire dans « la longue histoire du vers français, non pas comme une leçon qui se répète, bien apprise, non pas comme une science nécessaire à quelque baccalauréat, mais comme le sanglot

I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. – Scène VI. – Scène VII. – Scène VIII. – Scène IX. – Scène X. – Scène XI. • Acte cinquième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. – Scène dernière. 10 Théâtre complet • Phèdre • Préface • Acteurs • Acte premier – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. • Acte deuxième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. – Scène VI. • Acte troisième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV.