Pi-Ramsès

Compétences langagières ULB 1. Logique La logique est indispensable pour écrire, pour comprendre et pour raisonner en mathématique. En quelque sorte, c’est le ciment des mathématiques. Non seulement, ses concepts permettent une écriture simple et rigoureuse des énoncés mathématiques, mais encore elle dirige la raisonnement dans les démonstrations. Elle devrait d’ailleurs être le premier chapitre du cours de mathématique. La langue française n’est pas assez précise, exempte d’ambiguïté pour

Cet algorithme illustre le cas d’un excès de courtoisie : si les deux processus P0 et P1 mettent leurs flags à true, alors chacun des deux va attendre que l’autre libère le flag : interblocage ! 4. Soit l’algorithme suivant : //Pour le thread Pi : while(true){ veut[i]=true ; // je veux entrer en SC tour = j; // je donne une chance à l'autre while (veut[i] && tour==j); SC //Section critique veut[i] = false; SR //Section restante } Cet algorithme respecte-il les 4 conditions

“mathématique” ; c’est la ligne droite entre la source et l’embouchure et l’autre “la buissonnière” inclut les méandres, les multiples détours et caprices. Or Albert Einstein a découvert que ce rapport entre les deux était toujours statistiquement PI = 3,14 ! la valeur numérique du nom de Dieu. Ce nom de Dieu enseigne précisément que pour avancer dans l’existence, il faut se situer entre la ligne droite et la ligne buissonnière, entre la stricte rigueur de la Loi et générosité et la fantaisie

caractère ou chaîne de caractères. – Le type booléen (deux valeurs possibles: vrai ou faux). • Toute variable ou constante d’un programme doit être déclaré avant la première ligne de programme. • Exemple du calcul de la surface d’un cercle: Constantes Pi = 3,14159 15/10/2010 1 10 Variables Rayon, Surface : réels EST Essaouira - Université Cadi Ayyad TM1 & AGT1 Expressions et affectations 0011 0010 1010 1101 0001 0100 1011 • Dans un algorithme, le traitement de l’information est

de son rayon. ’********************************************************************* Sub perimetre_cercle() Const PI As Double = 3.14159 Dim rayon As Double ’ le rayon du cercle lu au clavier Dim perimetre As Double ’ le perimetre du cercle EffacerEcran "Périmètre d’un cercle" ’1.Saisir le rayon Afficher "Rayon = " Saisir rayon ’2.Calculer le perimetre perimetre = 2 * PI * rayon ’ par definition ’3.Afficher le perimetre Afficher "Le perimetre est : " & perimetre End Sub 2.2 Structure

L’usage de la calculatrice est autorisé. 4 points sont attribués à la rédaction, à la présentation et à l’orthographe. 1ère Partie : ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) EXERCICE 1 :(4,5 points) Calculer successivement ab, dans chacun des cas suivants : 1.. On donnera chacun des résultats sous la forme d’une fraction simplifiée. 2.a=3104 et b=103. On donnera chacun des résultats en écriture scientifique. 3.a=. Montrer que les résultats s’écrivent sans racine carrée. EXERCICE 2 :(5

3° TD Probabilités. Je sais utiliser le vocabulaire des probabilités. Ex 1 : On prend un dictionnaire, on l’ouvre à une page au hasard et on note l’initiale du premier mot de cette page. 1) Quel est le nombre d’issues de cette expérience ? 2) Donner un exemple d’événement : a. élémentaire ; b. non élémentaire. Ex 2 : Une calculatrice affiche pour valeur approchée de On choisit au hasard l’un des chiffres affichés. 1) Citer les issues de cette expérience. 2) Donner un exemple d’événement: a. élémentaire;

14 Pourcentages ....................................................................16 touche x10n .......................................................................17 Puissances, racines et inverses .......................................18 Pi .......................................................................................19 Menu Angle .......................................................................20 Rectangulaire à polaire ...............................................

décomposition de G(p), il apparaît un pôle pi auquel correspond un pôle simple zi = eTpi pour G(z)=Z[G(p], compte tenu de la relation fondamentale z = e Tp, reliant les variables p et z. Les exemples suivants confirment cette remarque: Pôles -a e-aT -a et -b e-aT et e-bT Ainsi si on note pi = ai + jbi, un pôle pour G(p), on a zi = e Tpi = eaiT ej biT. La condition de stabilité du système continu, à savoir ai < 0, implique que : En d’autres termes, si pi est un pôle à partie réelle négative (i

évoque un phénomène non perçu et permet de le reconnaître, tout ce qui dépend des seules lois de la nature, comme la fumée est signe du feu. Les signes conventionnel ou artificiels : ils permettent d'évoquer un élément absent, une idée, tel le nombre pi signe du rapport de la circonférence du cercle à son diamètre. Les signes linguistiques : éléments d'un système de communication purement conventionnel et ayant un sens. liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux