Pierre Fouquet

fréquente beaucoup la société libertine. Il bénéficie de nombreuses protections dont celle de Fouquet, alors surintendant des finances. Il lui dédie «le Songe de Vaux», ainsi qu'une trentaine de poèmes. Mais en 1661, Fouquet est arrêté. La Fontaine juge préférable de se retirer quelques temps, et part pour le Limousin. A la chute de Fouquet, Il écrit «l'ode au roi» et «Élégie aux nymphes de Vaux». Sa fidélité à Fouquet lui vaut la haine de Colbert et le ressentiment du roi lui-même. En 1674 ses Nouveaux

tâche à laquelle il porte peu d’importance. Il publie sa première œuvre en 1654, une comédie intitulée L’Eunuque, mais celle-ci passe totalement inaperçue. Il entre alors au service de Fouquet, Surintendant Des Finances, en 1658 et rencontre Molière, Racine, Charles Perrault et Madame de Sévigné. Lorsque Fouquet est brutalement arrêté par le jeune Louis XIV, Jean de La Fontaine prend se défense. Certains biographes soutiennent que cette défense lui a valu la haine de Colbert puis celle de Louis

1645 : tente carrière juridique, avocat au parlement : échec aussi. (Son père force au mariage avec fille de 14 ans : échec aussi) 1658 : débuts littéraire pour Nicolas Fouquet (surintendant aux finances) : riche, cultivé -> mécène. Prend sous son aile La Fontaine afin qu’il vive de son art. Il l’introduit à la cour. 1661 : Fouquet accusé de corruption. Enfermé, il meut en prison. La fontaine lui sera fidèle jusqu’au bout ce qui déplait à Louis XIV. La Fontaine s’en va. 1663 : Retour de La Fontaine

droit à Paris. - La Fontaine se marie en 1647 avec Marie Héricart avec qui il aura un fils, Charles. - En 1659, Fouquet l'invite dans son château de Vaux Le Vicomte. C'est pendant cette période que La Fontaine commence à écrire ses premières fables. Il se lie d'amitié avec Boileau, Molière et Racine. - En 1662, il publie l'Elégie aux nymphes de Vaux pour soutenir son ami Fouquet, arrêté par le roi. Dans certaines de ses fables, La Fontaine dénonce la monarchie absolue du roi, à savoir Louis XIV

1652, il acquiert la charge de "maître particulier des eaux et des forêts de Château-Thierry", tache qu'il revend intégralement; en 1672, il amorce sa carrière de poète. Au service de Fouquet (1658-1663) en 1658, il entre au service de Nicolas Fouquet (surintendant des finances); il flatte son protecteur; Fouquet se fait arrêter par Louis XIV. L’apogée de l’activité littéraire (1664-1679) il entre au service de deux duchesses; il se fait anoblir; premier succès, Joconde; en 1668, recueil de

celle de la tolérance et de la sagesse. Il vit sous la monarchie absolue de Louis XIV et comme tous les écrivains de son époque, il est obliger de se trouver un mécène pour vivre de ses écrits. Nicolas Fouquet sur intendant des finances du Roi sera son protecteur. La disgrâce spectaculaire de Fouquet, arrêté en 1661, destitué de ses fonctions, emprisonné en vie et remplacé par Colbert. Cela va beaucoup marquer la Fontaine qui est resté fidèle à son protecteur et sera lui-même poursuivi à cause de

d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière , il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des Anciens dans la fameuse Querelle des Anciens et des Modernes. sous les ordres de fouquet En 1658, il entre au service de Fouquet, Surintendant des Finances, auquel, outre une série de poèmes de circonstances

Il le trouve alors en la personne de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres dont des ballades, des sonnets et le poème héroïque Adonis en 1658. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et Molière. Il vit entre Paris et Château-Thierry, sa ville natale, où il exerce notamment la charge de maître particulier des eaux et forêts. Lorsque Fouquet tombe en disgrâce en 1661, La Fontaine lui reste

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

auteurs de l’antiquité qui sont dignes d’être imités, et les auteurs français du XVIIème siècle qui ont développé un art de mesure et de raison en défendant le respect et l’imitation des anciens acteurs. Jean de La Fontaine est un protégé de Nicolas Fouquet et il reste à l’écart de la cour royale. En 1684 il est reçu à l’Académie française. Il se mêle aussi des débats politiques et se range dans le parti des Anciens dans la Querelle des Anciens et des Modernes. Jean de La Fontaine s’est beaucoup inspiré