Pierre le Mangeur

son accession à l’indépendance en 1903, il était possible d’y enregistrer un navire sans devoir être de nationalité panaméenne. […] du Fast Food des paradis fiscaux. -L’île que rencontre les colonisateur est tantôt dantesque, peuplée de monstrueux mangeurs de chair ornés de têtes de morts, tantôt idyllique, habité de jouisseur luxurieux qui ne connaissent rien à l’effort, Page 22 :- ,dans la grille d’évaluation qu’il applique sur chaque paradis pour en analyser la vocation et les caractéristiques

en 1800 également. En 1803, la locomotive à vapeur a été inventée. En 1808, la sonographie ou écriture en relief, ancêtre du braille est inventée par l’officier français Charles Barbier de la Serre. En 1817, le vélocipède est inventé par Pierre Michaux. En 1820, l’électrodynamique est inventée par André- Marie ampère, celui-ci, spécialiste des maths et de la physique, inventera également l’électroaimant et le télégraphe. En 1821, le moteur électrique est inventé par Faraday. En

solennellement au lecteur-spectateur, à qui il présente « ce terrible paysage », « ces spectacles », en les soulignant par des adjectifs démonstratifs ou l'emploi en anaphore du présentatif « c'était » : « C'était un palais infini » ; « c'étaient des pierres inouïes » ; « c'étaient d'immenses glaces » ; ou encore par l'expression « Tout pour l'œil » qui résume son travail. La description qu'il en donne fait ressortir les lignes de force dessinées par les éléments qui composent le paysage : essentiellement

vote en particulier le budget de l’inde britannique. Pierre Savorgan de Brazza né en Italie en 1852 dans une famille aristocratique et libérale et a sa naissance s’appelle Pietro Brazza mais a 12 ans il rencontre un amiral français Louis De Montegnac qu’il prend plus ou moins sous sa coupe. Le petit Pietro de Brazza aime les voyages. Il devient officier de la marine française et il obtient en 1874 la nationalité française prenant le nom de Pierre Savorgnan de Brazza. Dès sa naturalisation il œuvre

générations de grands seigneurs et de bourgeois donnent des fêtes ou s'engraissent au coin de leur feu! » A travers ce discours, on retrouve la métaphore du Minotaure qui montre la soumission des mineurs. Le Voreux est personnifié comme un puits mangeur d'homme « ce pourceau immonde, cette idole monstrueuse, gorgée de chair humaine! », on le retrouve lorsque les Maheu, «  famille usée à la mine, mangée par la Compagnie, plus affamée après cent ans de travail », s'opposent aux «  ventres de la Régie

Directeur…) Dino Buzzati était aussi un peintre célèbre. Il meurt en 1972 à Milan. B) Son œuvre Dino Buzzati a écrit plusieurs genre de littérature dont plusieurs romans : Désert des Tartares (1940), Sept messagers (1942), L’image de Pierre (1960), Un amore (1963) ; il a aussi écrit des nouvelles comme Le K (1966) et Barnabo delle montagne (1933) Les nouvelles du recueil : Le K : C’est l’histoire d’un homme qui veut échapper au K, un requin sanguinaire. Pour cela, il parcourt

symbolise la fêlure, la tare héréditaire, qui ne disparaît pas à la mort de Jacques, qui trouvera une autre victime ; elle suit son chemin. Alors qu'elle est abandonnée par son chauffeur et son mécanicien, elle continue de «cavaler», pareille à une pierre qui dévale une montagne, sans pouvoir s'arrêter. La dimension épique de la locomotive est principalement nette dans les dernières lignes : «Enfin, la rétive, la fantasque, pouvait céder à la fougue de sa jeunesse» - «Elle roulait, roulait sans fin

est parti seul à la découverte de ce prétendu Japon tant convoité. Colomb retourne à Cuba. On lui évoque alors une île située à l'est de Cuba, que les indigènes appelle Bohio. Il devrait y trouver de l'or, mais les peuples qui l'habitent sont des mangeurs d'hommes ! Il appareille le 4 décembre. Deux jours plus tard, le 6 décembre, la Niña et la Santa Maria mouillent dans une baie de l'île de Bohio (en réalité au « Môle Saint-Nicolas » au nord-ouest d'Haïti), Colomb la baptise du nom d'Hispaniola

et ses œuvres, livré à la littérature française une matière incontestablement belle et titanesque. Pourtant, malgré la variété de ses travaux, c’est bien le recueil de quelques cent poèmes paru en 1857, sous le titre Les Fleurs du mal, qui sera la pierre angulaire de son Œuvre. Aussi, si l’on convient, certes d’un point de vue quelque peu réducteur, que chaque écrivain ne conte finalement à ses lecteurs qu’une de ses « obsessions », force est de constater que les Fleurs du mal, non contentes de ne

les aie dits Et ce que signifient les flammes des longs soirs Et ses cheveux dorés quand elle vient s’asseoir Et peigner sans rien dire un reflet d’incendie Louis Aragon, La Diane française, 1945 Cascade Au flanc de la bière, le triple mur de pierre, Sous la chair d’un drapeau enclavé dans le sang, Lance le mikado au-dessus des enfants Comme l’arlequin blanc qu’on voit au cimetière. L’Egypte assoiffée de nourrices et d’ornières, Valse silencieusement au fil du temps, Relevant lentement, sans