Pigiste

(démission avec les mêmes indemnités) en cas de changement d'actionnaire, en vertu de la Loi Brachard, inspirée du Rapport Brachard de 1935. La loi Cressard a donné en 1974 les mêmes droits aux journalistes pigistes, rémunérés au prorata de la longueur des articles. Qu'il soit mensualisé ou pigiste, le journaliste est salarié en contrat à durée indéterminée, comme le précise la loi Cressard. Si le journalisme lui apporte la majorité de ses revenus, il a droit à la carte de presse, attribuée, après une

il occupe un poste dans la hiérarchie du journal. II. Le salarié indépendant (pigiste) Jeunes, pas salariés, choisit son temps de travail et type de travail… Espère trouver un organisme intéressé par son travail. Subordonnés et pas salariés. Ils remplacent les journalistes (jours fériés, vacances, voyages…) Ils n’appartient pas à une entreprise, ils n’ont pas de poste dans la hiérarchie de l’entreprise. Pigiste : Découle de pige (unité graphique) qui découlait de l’imprimerie. On le rémunère

sources qui ont l’impression que leur message a été tronqué. Enfin, plus grave, la profession se paupérise. « _ Les revenus tendent à s’amenuiser au fur et à mesure que la longueur des articles commandés se réduit_ » écrivent les deux auteurs. Les pigistes sont aussi très mal lotis. On leur demande de réaliser des sujets qui demandent du temps mais qui ne pourront être publiés que dans des formats de plus en plus courts. Avec, en fin de compte, des rémunérations presque indécentes. Pour ces derniers

est devenue un besoin pour le lecteur et la profession de chroniqueur est bel et bien une profession comme celle de vaudevilliste ou de marchand de cirage. » Henry Fouquier, chroniqueur au Petit Parisien, au Figaro, au Temps, au Rappel (= sorte de pigiste) est l’un des fondateurs de la première école de journalisme en France. Au début du XXe siècle, la chronique est devenue un commentaire des faits du jour sur un ton désinvolte. Néanmoins, certains écrivains continuent à pratiquer une activité

internet de l’entreprise ∙point de depot La parution doit se faire selon un calendrier , précis et respecté , bien choisir la nature du journal ( hebdomadaire , mensuel , trimestriel) -la budgétisation Les postes d’une journal ∙redaction journalistes/pigistes/rédacteurs ∙maquette mise en page ∙Impression diffusion 5 Cout d’un journal en moyenne : Rédaction 15% Fabrication + impression :45% Distribution 33% 28-32 pages 10500 ex= 2700 euros 16 pages A4 1000 ex journal interne mise en page PAO = 2000

d’urgence (poids des menaces par rapport aux opportunités) · Clarifier/définir les objectifs· Améliorer la situation pour que ca serve et les personnes et l’entrepriseéléments qu’on a oublié - pas développés : · L'investissement des journalistes (pigiste→ salariés) manque d’investissement · recrutement · problème de formation de Monsieur Canare · le consultant est vu comme une menace au lieu d’une aide · La récession a poussé M.Canard à pousser les salariés à accepter des contrats dont ils ne voulaient

Sud et du Sud-Est. McCurry a donc cherché une profession lui permettant de concrétiser cette envie.Il débuta sa carrière en travaillant deux ans comme photographe dans un journal, qu'il quitta pour partir en Inde en 1978 comme photo journaliste pigiste. C'est là, qu'il a appris à observer la vie et à attendre. Il se rendit compte que lorsque l'on attend, « les gens oublient l'appareil et leur âme pénètre dans l'image ». Sa carrière s'est trouvée lancée quand - déguisé avec une tenue indigène

DES RÉSULTATS PRÉVISIONNELS ANNÉE $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ 2 E ANNÉE $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ 3 E ANNÉE $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ BÉNÉFICES BRUTS (REVENUS - CMV) DÉPENSES D’EXPLOITATION Salaires et avantages sociaux Sous-traitants/pigistes Publicité & Promotion Loyer Électricité & Chauffage Taxes & Permis Télécommunication Assurances Entretien et Réparation Essence Frais de déplacement Repas et frais de représentation Honoraires professionnels Formation Fournitures de travail Fournitures

de nouveaux repreneurs : 60 licenciés sont à prévoir après les mesures prises par la nouvelle direction de l’entreprise.Concernant le recrutement, Paris-Normandie prend beaucoup de journalistes pigistes, c’est-à-dire des journalistes qui sont payés à chaque article fait pour le quotidien normand. Les pigistes sont soit diplômés mais n’ont toujours pas trouvé de contrat chez une presse écrite, soit des étudiants en journalisme qui commencent leur carrière et qui permettent souvent à Paris-Normandie

Les propriétaires entretiennent une atmosphère au journal qui répond de manière implicite à des questions comme: Quel espace (ou combien de temps) va-t-on accorder aux «soft news» (loisirs, consommation, décoration, tourisme, mode, santé)? Quel pigiste souverainiste pourrait être chroniqueur pour contrer l'accusation de promouvoir trop ouvertement le fédéralisme (ou l'inverse)? Doit-on présenter des nouvelles positives et apaisantes à la fin du journal télévisé? Le tout pour nous endormir et mieux