Pina Bausch

4 eux parfois trois textes, accompagnés de consignes de travail. d Reproduction autorisée © Éditions Maison des Langues, Paris 2010 Ces textes présentent des personnages clés du monde littéraire ou artistique (Goethe, Thomas Mann, Kollwitz, Bausch, Klee…), des régions ou des villes (Hambourg et Lübeck, La Ruhr et Essen, Berlin…) ou encore le monde économique avec ses événements traditionnels (la Foire du livre de Francfort, le Festival du film de Berlin…), mais aussi avec ses productions ou

en milieu naturel Grand Parc de Miribel Jonage 2e Place des Célestins 3e Parc Bazin 3 7 7 3e Parc Chambovet Le Cargoludo 9e Parc Roquette Théatruc une mésaventure optique ! Passeurs d'images «Les rêves dansants sur les pas 9e Parc Roquette de Pina Bausch», documentaire d’Anne Linsel et Rainer Hoffmann (VO) Lectures au parc Lectures au soleil Le Cargoludo Les Jeudis des Musiques du Monde Tango Argentin au kiosque Balade musicale acoustique : Bal Folk et chants traditionnels 9e 1er 3e 1er

générique d’Art contemporain : 1° Brouillent les frontières entre les grands domaines définis de l’art : arts plastiques, littérature, musique, théâtre, danse etc. L’action painting de S. Forti, le drawing-dance de T. Brown, le Tanztheater de Pina Bausch, etc., constituent des exemples significatifs de ce processus de ’’brouillage’’ dans le domaine de l’art chorégraphique. 2° Rendent quasiment obsolètes les genres : baroque, romantique, expressionnisme, impressionniste, etc. Les chorégraphies

SAiSon À LA juiLLiARd SchooL SéRIE DOCUMENTAIRE DE PRISCILLA PIZATTO (FRANCE, 2013, 4X26MN) COPRODUCTION : ARTE FRANCE, ROSEbUD PRODUCTIONS Unique en son genre, la Juilliard School est une école d’excellence, la plus sélective des états-Unis. De Pina bausch à Kevin Spacey en passant par Miles Davis, la liste de ses diplômés, à la fois prestigieuse et éclectique, fait pâlir d’envie les autres écoles d’art de la planète. Une découverte captivante, au rythme du calendrier scolaire, du parcours de certains

nouvelles technologies qui seront ce qu’on en fera. Mais on a vu cette année qu’Internet sert d’amplificateur à l’émotion. La mort de Michael Jackson ou les souffrances de Johnny Hallyday ont ému le monde entier grâce à Internet. Alors que la mort de Pina Bausch, qui a pourtant bien davantage influencé tout le théâtre et la danse des trente dernières années restait plus confidentielle faute de relais Internet. Internet a aussi montré que la culture n’était pas aimée par une partie de la population. On

image et bientôt, nouvelle cour d'honneur ... ». sous-unité (sU42) : photo intitulée Le roi Lear (1981). sous-unité (sU43) : photo intitulée A. Mnouchkine et comédiens du théâtre du soleil (1982). sous-unité (sU44) : photo d'une chorégraphie de P. Bausch (1981). sous-unité (sU45) : miroir portant la phrase suivante écrite en noir: « les premières années B.F.A. » sous-unité (sU46) : miroir portant un texte écrit à l'envers et en blanc, et supposé être lu par réflexion sur le miroir précédent: 251

libre de ses mouvements. 1.2 Ateliers de creation La technique de mise en branle du travail de creation que j'ai utilisee est semblable a celle developpee par Pina Bausch avec ses danseurs. Lorsqu'elle cree une nouvelle choregraphie, elle commence toujours par discuter avec ceux-ci avant de travailler le mouvement ou de determiner de quoi va traiter le spectacle, les interrogeant

parvenue à s’immiscer dans tous les lieux culturels, n’est pas non plus intégrée par tous les artistes. L’idée d’un artiste social, qui s’est développée dans le monde de la création contemporaine sous l’influence de plusieurs artistes tels que Pina Bausch, Maguy Marin (qui vont jusqu’à faire intervenir des amateurs dans leurs spectacles)..., n’est pas partagée par tous. Certains continuent ainsi de séparer totalement préoccupation artistique et préoccupation sociale. C’est avec ceux-ci que la mise

DIVERSITY • COMMON HERITAGE, PLURAL IDENTITIES 31 Creativity “Indian dances”(1997),Malavika Sarukkai. © Birgit “Flamenco” (2000), Belén Maya. © Birgit “Comedia”(1993), Caroline Carlson. © Birgit “The window cleaner” (1998),Pina Bausch. © Birgit “The dance of nothing” (1998),Liat Dror e Nir Ben fal. © Birgit “Hibiki”(1998), Sankai Juku. © Birgit “Shijima”(1998), Sankai Juku. © Birgit “The cock is dead”(2000),Susanne Linke. © Birgit By kind permission of the

Preljocaj : force, tension, souffrance… Les regards sont dirigés vers le bas. Les corps sont tendus, les muscles mis en valeur. Les béquilles évoquent le handicap mais aussi la volonté de continuer à avancer. –– Café Müller de Bausch : sérénité, sagesse, peur, gêne… Le corps de Pina Bausch est marqué par l’âge, ses bras sont décharnés. Cela peut choquer. En même temps, les yeux clos, la tête vers le haut évoquent une sagesse qui est, elle aussi, liée à l’âge. –– Kara Mi d’Amagatsu : souffrance, mort, spiritualité…