Pitié

qu'ils ont une âme, qu'ils sont égaux aux Européens. -Las Casas, ayant vécu lui même au côtés des Indiens, défend qu'il ont une âme. Cependant, ce passage, incarne la manière d'argumenter de Las Casas, l'art de persuader, où il suscite l 'émotion, la pitié , il veut émouvoir. Problématique : Comment Las Casas arrive-t-il à défendre ses opinions sur la nature des Indiens ? I -Un témoin engagé II – Le peuple Indien III – Les véritables barbares I – Un témoin engagé A) Témoignage Las Casas à vécu

coupable de Phèdre et dans les incidents qui vont retarder le geste fatal. c) Le jeu sur la pitié et l’horreur qui sont les deux ressorts tragiques : Cette pièce est fidèle à Aristote : on passe bien de la pitié à l’horreur pour la catharsis. Horreur : "tu frémiras d’horreur" (v.238), "tu vas ouïr le comble des horreurs" (v.261) Pitié : Phèdre est présentée comme victime de sa généalogie. De plus, on a pitié de sa souffrance, de sa mort prochaine et de sa maladie. Conclusion Il s’agit du premier

nous demanderons donc comment Maupassant a construit le texte de manière à susciter la pitié du lecteur et dénoncer la cruauté des habitants de province. Dans une première partie, nous verrons que ce récit s'apparente à une scène de spectacle, et nous étudierons dans une deuxième partie comment cette scène se transforme en mise à mort où la violence de la foule est particulièrement forte pour provoquer la pitié du lecteur. Tout d'abord, ce passage est construit à la manière d'un récit de scène

l’oublions pas, a reçu une éducation janséniste. Les passions sont donc perçues comme dévastatrices et déshonorantes comme elle se l’avoue : « ne pense pas qu’au moment que je t’aime / Innocente à mes yeux, je m’approuve moi-même » ; autoanalyse sans pitié, très critique vis-à-vis d’elle-même. A conscience de son amour impossible. Toutefois, comme le souligne la séquence suivante, l’amour est comme irrésistible : cf vocabulaire de la religion, la fatalité est associée à l’évocation de l’amour. : « vengeance »

folie éveille de la terreur et de la pitié. En effet, Hermione se transforme en une divinité infernale venue pour torturer Oreste. Cette hallucination est une véritable persécution pour lui, qui est manifestée par le champ lexical de l’horreur « sang » v. 1608, «  déchirer » v. 1643 qui rime avec « dévorer » v.1644. Oreste se livre aux Erynies en victime consentante et désespérée par l’utilisation d’impératifs « Venez » v. 1640 et 1641, ce qui éveille de la pitié. Mais il veut finalement que ce soit

émotions-là sont ressenties par l’individu à cause des grosses différences, physiques, intellectuelles, culturels, sociales, ou de pouvoir. Alors peut-on dire que l’homme est bon, quand il connaît d’autres sentiments différents à l’amour de soi ou la pitié, qu’entre autres produisent des démarches, qu’affectent et font souffrir les autres individus, ou même des sociétés, peuples, pays ou continents entiers? Donc, l’être humain n’est pas tout à fait bon comme Rousseau pensait, car on a des sentiments

jolie grenouille en danger. Il a aidé la grenouille et emporte chez lui. Lendemain, la grenouille a echapé dans le fôret mais elle laisse une bourse emplie de pieces d’or. (ada lajutannya......) C. Guillaume est trop triste. Ensuite il invoque la pitie de la reine des fées pour rejoindre sa fiancée. Il se transforme en corbeaux et il se pose sur l’épaule de sa bien-aimée. (C’est depuis ce temps...........suruh dilanjutin der) D. Guillaume apprend l’architecture et les beaux-arts. il est devenu gens

l'émotion « pitié » « « attendrissement » « s'étonnait d'être aimée » C- De plus, comme au théâtre, c'est la parole qui donne vie « Moi, votre épouse !» : l'exclamation dynamisme la scène, fait réagir « chaque mot fit frémir d'étonnement » : fait ressentir les sentiments des personnages, et avancer l'action « se réunissaient a détester l'homme puissant » : le lecteur prend partie des personnages. II- Une tragédie : l'expression de sentiments exacerbés qui doivent susciter la pitié et la crainte

c’est comme un sureau d’orgueil notamment grâce à l’impératif « songez que » la princesse prend la parole avec autorité manifestant ici sa fierté aristocratique, elle s’applique à faire l’apologie de sa conduite passée.La princesse fait appel à la pitié de son époux avec un vocabulaire hyperbolique à la fin de la tirade « mille pardons »(l;11) «Je ne vous déplairai jamais par mes actions »(l.12). « Je ne vous déplairai... » est au futur, celui ci à un valeur catégorique la princesse exalte sa grandeur

par la ville Comme un fou. Bien souvent même on m'a regardé. Auprès de l'hôpital que vous avez fondé, J'ai senti vaguement, à travers mon délire, Une femme du peuple essuyer sans rien dire Les gouttes de sueur qui tombaient de mon front. Ayez pitié de moi, mon Dieu ! Mon cœur se rompt ! La Reine. Que voulez-vous ? Ruy Blas, joignant les mains. Que vous me pardonniez, madame ! La Reine. Jamais. Ruy Blas. Jamais ! Il se lève et marche lentement vers la table. Bien sûr ? La