Pitié

l’innocence. Mais de quelle faute est-il coupable ? Racine se refuse à faire du sacrifice d’Iphigénie la conséquence explicite d’une faute antérieure. Agamemnon n’est coupable de rien : il ne fait qu’éprouver une « pitié sacrilège » (v. 86) pour sa fille. « Sacrilège » car en prenant pitié de sa fille, il contrevient à l’ordre des dieux. Agamemnon est donc cet autre Abraham , dont les dieux cherchent simplement à éprouver la piété. Il se dessine par conséquent comme l’archétype du héros tragique : conduit

alors qu'on pratique l'esclavage. Cette contradiction trahit l'hypocrisie des prêtres. B. Les éléments de la dénonciation L'émotion de Candide souligne l'horreur de l'état dans lequel se trouve l'esclave et cette horreur ne peut inspirer que de la pitié. Voltaire fait ainsi appel à la sensibilité de son héros et à travers lui à celle du lecteur. 1) L'esclavage est un traitement dégradant. - Dégradation sur le plan social, l'esclavage est la propriété d'un autre homme. (Intolérance et oppression :

évènements suscitant la crainte et la pitié = katharsis . purgation du spectateur par un effet de crainte et de pitié accomplissant sa purification en ressentant des émotions qu’il ne devrait pas ressentir dans la société. Evacuation des sentiments n’étant pas acceptés > identification du spectateur au personnage 4) Idée de plaisir (chapitre IV) idée de prise de plaisir par la vision d’une imitation bien faite de la nature > relation entre imitation d’action - carinte - pitié - plaisir afin de purger le spectateur

pareil face au destin qu’elle aurait voulu évité. Clytemnestre nous inspire donc de la pitié et de l’affection. En effet on ne peut qu’éprouver de la compassion pour cette femme rejetée par tous ceux qui l’entourent. D’abord par sa seule et unique fille, ensuite par son fils abandonné qu’elle n’aura pas eu le temps de découvrir et enfin par cet amant odieux qui la laissera mourir Enfin elle nous inspire de la pitié car cette femme n’a jamais fait aucun choix dans sa vie et le seul qu’elle ait fait la

Thésée, le monstre est bien un être surnaturel envoyé par Neptune pour tuer Hippolyte. La dramatisation du récit permet de rendre le combat spectaculaire aux yeux du spectateur. De fait, il s’agit d’émouvoir le spectateur et de lui inspirer de la pitié pour le sort funeste d’Hippolyte. II. Un tableau pathétique A. « Un tableau » : comment représenter le monstrueux ? Il s’agit ici de faire voir au spectateur une scène par définition invisible, puisqu’un des acteurs en est un monstre, un être irreprésentable

vent en 1995 qui recevra lui aussi de nombreux prix (Prix littéraire du quartier latin, prix des auditeurs de la RTBF et le prix de la bibliothèque centrale du Hainaut). Il écrira ensuite le puisatier des abîmes en 1998, Aubertin d’Avalon en 2002 et pitié pour le mal en 2006. Son parcours théâtral : Bernard tirtiaux est le fondateur de la ferme de Martinrou où il a construit deux salles de théâtres de 100 et 260 places, ainsi que de vastes espaces pour recevoir, exposer et organiser des stages.

Adèle, Antony. Antony, entrant - Adèle ! (Avec joie) Ah ! Adèle - Oh ! c'est encore vous !... Vous ici ! dans la maison de mon mari, dans la chambre de ma fille presque !... Ayez donc pitié de moi !... Mes domestiques me respectent et m'honorent encore ; voulez-vous que, demain, je rougisse devant mes domestiques ?... Antony - Aucun ne m'a vu... Puis il fallait que je te parlasse. Adèle - Oui, vous avez voulu savoir comment j'avais supporté cette affreuse soirée... Eh bien, je suis

fils d'un père autoritaire, Mr Jacotin, n'a pas fait son devoir de français sur l'explication du proverbe :"rien ne sert de courir, il faut partir à point ". Son père lui ordonne de le faire mais Lucien n'y arrive pas. Finalement, son père ayant pitié de lui rédige l'explication pour Lucien. Il travaille jusqu’aux alentours de 23 heures pendant que son fils dort à coté de lui. Le lendemain Lucien remet le document de six pages au professeur, après l’avoir recopié au propre. Malheureusement, il obtient

accompli, il était donc irrésistible. Ensuite nous analyserons l’aspect visuel de cette description, comment cette scène violente et choquante si bien imagée caractérise la tragédie de la mort. Enfin, nous aborderons les développements concernant la pitié ainsi que la compassion éprouvées à la lecture de ce texte. Nous assistons dans cette scène à l’accomplissement du destin d’Hippolyte. Son père ayant imploré les dieux de lui donner la mort. Nous comprenons donc qu’il fait fasse a des forces surnaturelles

|des sonorités |m'aime et me comprend. (Verlaine) | |ÉLÉGIAQUE |Expression de la plainte, de la |- Mêmes procédés que pour le lyrisme |L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne / Et| | |tristesse, du regret |- Marques de la 2ème personne |seule tu descends le sentier des | | |