Pitié Pour Le Mal

Junie En êtes-vous certain ? Est ce vraiment lui ? Burrhus Oui malheureusement Britannicus est mort. C’en est fini de lui, vous ne le reverrez plus et tout cela par la faute de son demi-frère. Je n’ai vu aucune tristesse, aucunes larmes, aucune pitié, non ! Il est resté là, indifférent à la vue de son corps inanimé. On pouvait voir de la satisfaction, un sourire en coin. Je…je suis désolé de vous l’annoncer comme cela. (Il se retire et laisse Junie seule) Scène 5 acte 2. Junie

sentiments naturels : l’amour de soi qui assure sa propre conservation, la pitié naturelle et par l’absence d’industrie transmise par les générations, car « l’art périssait avec l’inventeur »[6]. Ce n’est pas un état de concurrence, comme chez Hobbes, qui définit l’homme sauvage, mais sa répugnance à voir souffrir son semblable qui découle de sa seule véritable vertu : la pitié. Pour Rousseau, la loi naturelle a comme racine la pitié. C’est cette dernière qui assure la conservation de toute l’espèce. Dans

atténuer le tragique de la situation par un coté comique. Le personnage qui incarne un rôle tragique dans la troisième de l’acte 1 est bien entendu Done Elvire. Cette jeune est dans une situation très pathétique : une situation qui inspire de la pitié, de la compassion pour elle. En effet, épousée puis délaissée par Dom Juan, elle vient le voir pour lui réclamer des explications. Dès ces premières paroles elle nous montre qu’elle est sous l’emprise de son mari en lui demandant très même trop poliment

naïf, nourri de la pensée optimiste. Il y a une confrontation du héros au cours du périple qui apparente le conte a un roman d'éducation, à une multitude d'aventure qui révèlent que tout va mal. Dans ce chapitre, Candide sort du paradis de l'Eldorado , chacun des personnages qu'il rencontre incarne une forme de mal: le nègre incarne l'esclavage, Vanderdendur représente le vol et la justice corrompue est incarné par le juge. L'extrait étudié nous montre la première rencontre de Candide avec le nègre

cette époque une pratique limitée et constante d'égards, de pitié, d'équité, de douceur, d'entraide, même si à ce stade de la société sont déjà actifs toutes les pulsions que l'on désignera plus tard du nom honorifique de "vertus" et qui finiront par se confondre presque avec le concept de "moralité", à cette époque ils n'appartiennent pas encore au domaine des jugements de valeur, ils se situent encore en dehors de la morale. Un acte de pitié par exemple n'est encore qualifié ni de bon ni de mauvais

la sté est accablée par ts les maux (luxe, vice, artifice). Il s’est donc opéré une évolution régressive de l’homme, d’où l’originalité de sa position. Devenant un être historique, celui-ci perd sa bonté naturelle et son bonheur originel. Seul le mal prédomine, ce n’est pas du fait de dieu mais de l’homme, non pas par nature, mais celui vivant en sté. Rousseau nous dévoile son portrait négatif/critique de sa sté contemporaine. Principe : il faut exposer la cause de ces maux afin d’y remédier (retour

« L’étranger » d’Albert Camus Sujet : Meursault est-il un homme détestable ou quelqu’un qui fait pitié ? Justifiez vos réponses en vous basant sur le roman. Meursault, le personnage principal et mystérieux de L’Étranger d’Albert Camus, ne se conforme pas aux canons de la morale sociale, et semble étranger au monde et à lui-même. Il se trouve condamné à mort parce qu’il n’a pas suivi les règles de la société dans laquelle il vit. C’est un homme qui agit selon ses pulsions, mais qui n’y attache

vers de Médée. L’effet que produit ce parallélisme montre que Médée se questionne, tout comme Hermione qui répète un bon nombre de fois « que ». Ces éléments produisent un effet de pitié envers les deux héroïnes. On remarque également dans les deux extraits que les femmes emploient différents champ-lexicaux. Le premier est celui de la colère utilisé par les deux héroïnes aux travers des mots « ma rage », «par  haine », « déchirer »

de lui. En d’autres termes, il veut remonter à l’homme individuel, hors de l’homme social. En effet, pour Rousseau, l’homme naturel est animé de deux passions : l’amour de soi et la pitié. L’amour de soi, c’est l’instinct de conservation, ce qui fait que l’homme cherche à se préserver et à se conserver. La pitié incite, quant à elle, l’homme à avoir une « répugnance naturelle à voir périr ou souffrir tout être sensible et principalement nos semblables ». De là l’idée maîtresse de Rousseau : l’homme

est en colère. Elle en veut à Thomas de ne lui avoir rien dit puis elle a pitié de lui. Le jour d’après, dès qu’elle arrive en classe, Elsa informe son amie Mélanie sur l’état de santé de Thomas, très rapidement la « nouvelle » se répand comme une traînée de poudre. Tous les élèves se montrent très durs envers Thomas, ils se moquent de lui, aveuglés par leur ignorance. Plusieurs élèves l’évitent et certains le prennent en pitié. Elsa voudrait parler avec Thomas mais lors de la récréation, il y a trop