Pitié Pour Le Mal

Esméralda ne s'est pas servie de Quasimodo. Tout d'abord, elle a énormément pitié de lui, ce qui ne prouve pas encore qu'elle ne s'est pas servie de lui. Ensuite, c'est Quasimodo qui l'a enlevée juste avant qu'elle se fasse pendre. Puis, elle n'avait plus le choix, elle devait rester à Notre-Dame, sinon elle se faisait lyncher. Quasimodo s'est très bien occupé d'elle, ce qu'il n'était certainement pas obligé de faire. Esméralda a certainement remarqué que Frollo l'aimait, mais son comportement

de ligne de conduite. Ils ne savent plus comment agir dans la société ou encore se diriger. On le voit au travers du qualificatif « méchant » employé par Balzac. Elle emploie un vocabulaire violent, en référence à la mort dans le but de dénoncer le mal fait volontairement par les acteurs de cette société cruelle. On retrouve par exemple les termes de « victime », « bourreau » ou encore « crevée ». Dans cette société, la méchanceté vient par les mots et tout est basé sur l'apparence. On le voit dans

RIMBAUD ○ « Le Mal » (1870) Inspiré par la guerre de 1870 contre la Prusse, Rimbaud prend violemment parti contre la guerre et les souffrances imposées aux hommes. I) Composition du poème Il s'agit d'un sonnet en alexandrin, les rimes sont croisées dans les quatrains et suivies dans les tercets. Ce sonnet est constitué par une seule phrase. Les 2 quatrains sont un tableau des horreurs de la guerre et les 2 tercets sont un tableau du calme de dieu. Bipolarisation du poème entre deux thèmes : la guerre

Apollinaire ID FDL : 145 « Alcools » de Guillaume Apollinaire Sommaire : 1. Biographie de Guillaume Apollinaire 2. Bibliographie d’Hervé Bazin 3. Le recueil intitulé « Alcools » - Analyse de Le Pont Mirabeau, Colchiques, Chanson du Mal Aimé, Santé. Travail : 1. Biographie Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Guillaume Apollinaris Kostrowitzky, est né à Rome en 1880. Il est le fils d’une jeune polonaise et d’un père inconnu. Il vivra d’abord en Italie puis, de 1886 à 1898

l’on en excepte un petit nombre d’habitants fort peu considérés, tout le reste est un assemblage de fous, de méchants et de malheureux. « Nous avons plus de matière qu’il ne nous en faut, dit-il, pour faire beaucoup de mal, si le mal vient de la matière ; et trop d’esprit, si le mal vient de l’esprit. Savez-vous bien, par exemple, qu’à l’heure que je vous parle1, il y a cent mille fous de notre espèce, couverts de chapeaux, qui tuent cent mille animaux couverts d’un turban, ou qui sont massacrés par

vice et la vénalité qui habitent l’héroïne. *Les romans de Jules Verne, où souvent le protagoniste a un caractère difficile, Nemo et son « mobilis in mobile » mais qui entraîne cependant le lecteur dans un monde fantastique. Nemo tenaillé entre la pitié et la haine cherche si la justice est dans la vengeance ou dans le pardon. *Le conte et son univers féérique qui entraînent le lecteur dans des cadres magiques, où souvent il assiste à la libération du personnage. Ceci est très présent dans La Belle

la catharsis. III/ Ambivalence du héros tragique. A/ Une nécessité équivoque. Les figures du Destin ne sont pas si incontournables. Même chez les Anciens, la puissance passe par le langage (obscur, à interpréter). Le héros tragique interprète mal les oracles, c’est un mauvais herméneute qui prête un autre discours à la divinité (Œdipe, Macbeth). Avec le jansénisme de Racine, le dieu caché ne parle pas directement aux hommes, il faut interpréter sa parole. Horace est lié à la gloire et à l’héroïsme

moquerie physique dans cette pièce de théâtre. La duperie ou le mensonge sont d'autres éléments de cruauté. Dans les Fourberies de Scapin, de Molière, Scapin dupe Géronte en lui faisant croire que des hommes sont à sa recherche et lui veulent du mal. Ce sera son valet qui le battra pour se venger en quelque sorte. La duperie reste l'un des péchés mignons de Jean Baptiste Poquelin dit Molière. Le mensonge est aussi bien présent dans Le Bourgeois Gentilhomme lorsque monsieur Jourdain est sacré « Mamamouchi »

sévérité et contre leurs mépris. Mais cette demande prend le ton d'1 menace solennelle : « âme » (v.19) « ne .. point » (v.34) → aspect universel de cette menace = il s'adresse à tous les H → appel à la pitié, à leur sentiments de solidarité : il est innocent : « frères humains » (v.1) « pitié » (v.3-4) → religieux « frères » (v.11) Mais en les appelant frères, ils les place au même rang qui lui, et donc dans incapacité de le juger. B- Discours argumentatif empreint de violence ironique → les

Sotenville (la satire de la noblesse et de ses usages ridicules) puis Dandin (dans son effort de se faire entendre). Démontrez en analysant des citations clefs. 2 En quoi le personnage comique de Dandin est-il pathétique (suscite la pitié) en étant victime d’une forme de cruauté due à la bêtise et à la société ?