Pitié Pour Le Mal

considéré comme le chef de file du naturalisme. L’intérêt principal de texte est de dénoncer la misère du peuple en la décrivant. L’œuvre étudié décrit donc les difficiles conditions de vie du peuple et notamment celles de Gervaise ainsi que de la pitié qu’elle portait à un vieillard qui ne pouvait point se nourrir. Nous allons donc nous demander comment Zola dénonce dans cet extrait la misère du peuple. Pour cela, dans un premier temps nous allons analyser la description réaliste puis en second lieu

originale du lyrisme ? Lecture du poème Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéça dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s'en rie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir dédain, quoique

attaché à celui de son poète. Notre anthologie poétique commencera par un sonnet, intitulé « Je chantais ces Sonnets, amoureux d’une Hélène »,nous continuerons notre étude avec «  N’oubliez, mon Hélène, aujourd’hui qu’il faut prendre », « Ni la douce pitié, ni le pleur lamentable », « Hélène fut occasion que Troie », «  Je te voulais nommer pour Hélène, Ortygie », « Une seule vertu, tant soit parfaite et belle », « Comme un vieil combattant, qui ne veut plus s’armer », et «  Ah longues Nuits d’hiver

nous expose le quotidien des habitants de la ville d’Oran pendant la peste. Cette œuvre est souvent considérée comme une métaphore de l’occupation pendant la seconde guerre mondiale, mais peut être aussi lue comme une simple lutte entre le Bien et le Mal. Dans cette idée, nous retrouvons dans le roman une construction en cinq parties, comme dans une tragédie classique. Dans l’extrait étudié, issu de la quatrième partie et donc de l’action, est racontée la mort d’un enfant atteint de la maladie, le

Villon, La ballade des pendus Frères humains, qui après nous vivez,N'ayez les coeurs contre nous endurcis,Car, si pitié de nous pauvres avez,Dieu en aura plus tôt de vous mercis.Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :Quant à la chair, que trop avons nourrie,Elle est piéça dévorée et pourrie,Et nous, les os, devenons cendre et poudre.De notre mal personne ne s'en rie ;Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n'en devezAvoir dédain, quoique fûmes occisPar justice

est-il une expression originale du lyrisme ? Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.
Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :
Quant à la chair, que trop avons nourrie,
Elle est piéça dévorée et pourrie,
Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
De notre mal personne ne s'en rie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n'en devez
Avoir dédain, quoique

lui avait demandé. Jonas ne voulait pas transmettre le message de Dieu. Il voulait bien prêcher au peuple d’Israël, mais qu’irait-il faire au milieu d’une nation étrangère. Tout le monde connaissait la cruauté des Assyriens, ils n’avaient aucune pitié. Ils méritaient bien d’être punis sans aucun avertissement préliminaire de sa part. Jonas décide de s’enfuir et choisit de partir vers Tarsis. C’est un pays éloigné dont les habitants d’Israël n’en avaient jamais entendu parler que par les récits

Frères humains qui après nous vivez N'ayez les coeurs contre nous endurciz, Car, se pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tost de vous merciz. Vous nous voyez cy attachez cinq, six Quant de la chair, que trop avons nourrie, Elle est pieça devoree et pourrie, Et nous les os, devenons cendre et pouldre. De nostre mal personne ne s'en rie : Mais priez Dieu que tous nous veuille absouldre! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir desdain, quoy que fusmes occiz Par justice.

cette situation. Grégoire est laissé seul, confiné dans sa chambre, et c'est sa soeur qui vient le nourrir, toujours quand lui est caché sous son lit afin de ne pas être vu. La soeur agit par curiosité autant que par pitié. Les parents quant à eux sont dégoûtés de leur (ex)fils. Pas de pitié. Pas de compassion. D'ailleurs Grégoire n'en demande pas. Il se contente de vivoter sa vie d'insecte dans sa chambre. Il est tout d'abord rongé par sa nouvelle situation. Il éprouve de la culpabilité de ne plus pouvoir

tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire que tant qu’ils en manifestent la volonté; qui ne saurait leur faire du mal que lorsqu'ils aiment mieux l'endurer que s'opposer à lui. » (p. 8) 2. « Encore ce seul tyran, il n'est pas besoin de le combattre, il n'est pas besoin de le défaire: il est de soi-même défait, pourvu que le pays ne consente pas à la servitude. Il