Place De La Loi Dans La Hierarchie Des Normes

CEM Abdoulaye SADJI Classe : 4e E NOMS DES EXPOSANTES : MAME DIARRA BOUSSO NIANG FATOU BINETOU DIOP MAME DIOGOP DIOUF MADIARIOU DIA INTRODUCTION I. LES PRINCIPESFONDAMENTAUX DE L’ETAT DEDROIT 1. Le respect de la hiérarchie des normes 2. l’égalité des sujets de droit 3. l’indépendance de la justice 4. séparation des pouvoirs II. PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA BONNE GOUVERNANCE 1. La transparence b. Lutte contre la corruption 2. La participation La bonne gouvernance

obligatoirs dépend de leurs sources! ( c a d de l'autorité qui a prit la règle) I - Les sources nationales du D objectif A - La Constitution Vème Rep (04/10/1958): constitut° adoptée par réferendum. Les règles constitutionnels sont au sommet de la hiérarchie des sources. Ces règles sont composés de pls parties: -le préambule: représente les principes généraux de l'org° de la société au sein de la Rep, qui sont décomposés en 3 textes: -DDHC (1789) liberté, ég, D de propriété, D à la sécurité.

a été approuvé en raison d’une convention d’extradition qui unie les deux pays datant de 1962. M. Koné conteste alors le décret devant le Conseil d’Etat, au motif que cette demande d’extradition est faite dans un but politique. Il se fonde sur la loi du 10 mars 1927 relative à l’extradition des étrangers qui considère que l’extradition n’est pas accordée lorsque le crime ou le délit commis revête un caractère politique ou lorsqu’il résulte des circonstances dans un but politique. Mais dans la convention

de la justice, de la paix, de l'égalité et de la liberté. La Constitution peut être considérée comme l'ensemble des règles fondamentales d'un Etat, généralement relatives aux principes essentiels et aux normes de production de normes, et par conséquent situées au sommet de la hiérarchie des normes et protégées par une procédure de révision plus complexe que celle des autres lois (cf définition de la Constitution du professeur M.A Cohendet). Ces règles concernent normalement la volonté du peuple, et

Constituante par la loi des 16 et 24 août 1790 qui interdisait au juge judiciaire de juger les actes de l’administration et de citer devant eux les administrateurs à propos de l’exercice de leur fonction. Par conséquent, l’administration n’a pas de juge ; les juridictions judiciaires sont distinctes et demeureront toujours séparées des juridictions administratives. Cela a amorcé la séparation de l’exécutif (les administrés) et le judiciaire. Ce principe a été rappelé avec force dans la loi du 16 Fructidor

quelle mesure peut-on dire que la loi est un instrument de Droit ? A- La loi, exprime la volonté générale ? Selon l’article de la déclaration des droits de l’Homme (1789), la loi est l’expression de la volonté générale. Tous citoyens a droit de concourir personnellement ou par des représentants à sa formation. La volonté générale fut développée par Rousseau. Selon lui, un état légitime doit être dirigé par la volonté générale qui se matérialise dans les lois. La loi, si elle est la principale source

Dissertation : « La théorie de la Loi écran ». Le droit administratif puise ses sources de la légalité notamment dans le bloc de constitutionnalité, c'est-à-dire l’ensemble des règles ayant une valeur constitutionnelle définies dans la Constitution ainsi que dans son préambule. Or si l’on se réfère à la théorie de la hiérarchie des normes selon Hans KELSEN, la Constitution est placée au sommet. Certaines de ces règles intéressent plus ou moins directement le droit administratif. L’action administrative

La place du droit international et du droit communautaire L’ordre juridique interne est hiérarchisé et structuré et, dans cet ordonnancement des normes, le droit international et le droit communautaire occupent une place tout à fait particulière. La jurisprudence du Conseil d’État a contribué à définir cette place et s’applique à la faire respecter. Il appartient en effet au juge administratif de contrôler la compatibilité des actes administratifs et des lois avec le droit international et le

Sous la III ainsi que la IV République, la loi était considérée comme la norme suprême, mais de nos jours, la constitution prévaut sur la loi comme le démontre certaines jurisprudences telles que : CE, 1998, Sarrant et Levacher. La constitution, grâce, entre autres, à la jurisprudence ainsi qu'à la mise en place de la question prioritaire de constitutionnalité (la QPC), devient alors la norme suprême. Xavier Magnon, professeur agrégé des facultés de droit nous fait part de son avis plutôt tranché

étatique suivant laquelle il faut concilier d citoyen et action E qui supposerait pr E un D spécifique, des prérogatives spécifique dont ne dispose pas les particuliers, il y a donc une inégalité. Tout l’enjeux du D admi est de réussir à metttre en place un équilibre instable entre D des citoyens et action de l’administration. Sans ces espace de lib l’admini serait paralysé et celle-ci risquerait d’être nocive à l’intérêt géné. Celui qui est chargé en dernier ressort de la gestion de cet équilibre