Plaidoyer Créon

Jason, Moi, Médée, adresse ces mots à celui qui, hier partageait ma vie, et aujourd’hui me délaisse… La toute première fois que je t’ai vu, Jason, tu étais beau, ma destinée m'entraînait, tes yeux avaient attiré mes regards… Sans toi, mes nuits semblent être amères et sombres. A chaque fois que mes yeux se ferment, je repense à tous les moments passés ensemble, chacun d’eux étant gravés au plus profond de moi-même. Ressentant un amour si intense

Antigone. Je vais faire le point afin de savoir qui avait raison d’agir comme il là fait, soit Antigone ou bien Créon. Mon ouvrage va être présenté comme suit, soit par un plaidoyer en faveur de Créon, suivie ensuite par un plaidoyer en faveur d’Antigone pour finalement conclure avec la décision du juge qui inclue quelques opinions personnelles. Plaidoyer en faveur de Créon Créon faisait ici partit d’un problème de politique et ne pouvait remédier à son rôle qu’il avait accepté. Peut-être

scène III de Médée de Sénèque. Cette scène fait suite à une discussion sur la vengeance entre Médée et la Nourrice. C'est la seule qui oppose, dans un duel rhétorique, Médée à Créon, roi de Corinthe, qui est à l'origine de son humiliation. Le passage que nous allons étudier correspond au plaidoyer de Médée face à Créon, tout d'abord inébranlable. Donc, nous allons dans une première partie voir comment Médée tente de susciter la compassion du Roi puis dans une seconde partie, étudier la construction

Il y a un affrontement : Créon/Antigone = scène classique au 20ème siècle, qui s'inscrit dans la longue tradition des luttes théâtrales. -> il y a 2 didascalies intéressantes ( page 64 et 99 ) qui soulignent la solitude des deux personnages. La tirade de Créon survient au deux tiers de cette scène et vient briser cette solitude. => Ce texte est un plaidoyé, une justification, un moment d'éloquence persuasive où Créon tente de faire entendre raison à Antigone. Pb: Quels armes utilise-t-il ?

un grand succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l'ordre établi en faisant la part belle à Créon , ce qui expliquerait, selon eux, que la pièce n'ait pas été censurée par les allemands. Ses défenseurs indiquent au contraire que l'insoumission d'Antigone qui dit non, et s'engage contre la raison d'état, incarnée par Créon, a une réelle valeur subversive  Bien qu'il n'ait officiellement pris position ni pour la Collaboration ni pour la Résistance, Anouilh

I) La scène d'exposition : Tout d'abord , on peut noter qu'il y a une différence dans la présence des personnages, La Médée de Euripide en contient plus : il y a Médée , sa nourrice, le gouverneur des fils de Médée, le chœur femmes corinthiens, Créon le roi de Corinthe , Jason l'époux de Médée, Égée ,un messager et les 2 jeunes filles de Médée Tandis que chez Sénèque la présence disparue ainsi que celle du gouverneur. Apparemmenttt le choix de Sénèque sur la réduction du choix des personnage est

combat singulier (voir guerre des sept chefs). Créon, nouveau roi de Thèbes et frère de Jocaste, ordonne des funérailles solennelles pour Étéocle, mais interdit d'ensevelir son autre neveu, Polynice, considéré comme traître à la Cité. Seule Antigone s'oppose à cette décision et refuse de s'y soumettre. Ayant fait donner une sépulture à Polynice, elle est condamnée par Créon à être enterrée vivante dans le tombeau des Labdacides. Son fiancé Hémon, fils de Créon, se tue sur le cadavre d'Antigone. Antigone

avant de te remettre au lit") tandis qu’Antigone évoque son escapade avec beaucoup de mystère ("oui j’avais un rendez-vous"). Mais elle n’en dira pas plus. La nourrice sort et Ismène, la sœur d’Antigone, dissuade cette dernière d’enfreindre l’ordre de Créon et d’ensevelir le corps de Polynice. Ismène exhorte sa sœur à la prudence ("Il est plus fort que nous, Antigone, il est le roi"). Antigone refuse ces conseils de sagesse. Elle n’entend pas devenir raisonnable. Antigone se retrouve à nouveau seule avec

deux frères, Créon, leur oncle prend le pouvoir . Il ordonne des funérailles solennelles pour Etéocle et interdit qu'il soit donné une sépulture à Polynice, coupable à ses yeux d'avoir porté les armes contre sa patrie avec le concours d'étrangers. Ainsi l'âme de Polynice ne connaîtra jamais de repos. Pourtant Antigone, qui considère comme sacré le devoir d'ensevelir les morts, se rend une nuit auprès du corps de son frère et verse sur lui, selon le rite, quelques poignées de terre. Créon apprend d'un

mais celle-ci refuse, par peur des représailles. En effet, le roi de Thèbes, Créon, a formellement interdit d'enterrer Polynice, estimant qu'il était indigne d'un tel hommage. N'écoutant que ses motivations, Antigone part enterrer son frère, mais très vite elle se fait arrêter par les gardes. Elle est amenée à Créon, et celui-ci, après lui avoir fait nombre de reproches, la condamne. S'ensuit une discussion entre Créon, et son fils, Hémon, amant de la jeune Antigone. Cette dernière est emmurée vivante