Plaidoyer Créon

Médée à donc sûrement traduit la place des femmes dans la société à travers le texte d'Euripide. Ce dernier s'en tient à la légende. Jason à répudié Médée et veut épouser Créuse, mais l'auteur n'est pas explicite sur les raisons du consentement de Créon, le père de la jeune fille. D'autre part, au cours de l'action, Jason n'exprime guère d'affection pour sa jeune épouse, sans cacher son intérêt d'entrer dans sa famille. Quoi qu'il en soit, cette situation à précipité Médée, blessée au plus profond

celui de petites filles mais celui écrit par le dramaturge. Lors de la création des Bonnes, un critique reprochait à Jean Genet que les gens de maison ne parlent pas comme Claire et Solange ; l’auteur lui a répondu qu’il n’avait pas composé « un plaidoyer sur le sort des domestiques » et qu’après tout, certains soirs, les bonnes, seules devant leur miroir, s’expriment peut-être ainsi, comme lui-même le ferait à leur place. Ainsi, les personnages qui se confient sur scène, se déchirent ou s’aiment

Hegel, sur la scène des lois. Et par un total oubli de la dialectique hégélienne, elle tend à donner raison à Antigone contre Créon, à ne plus considérer la tragédie comme le lieu où se manifeste un conflit de devoirs, alors que, dans un schéma tragique, les deux héros ont chacun nécessairement tort et raison. Pour le dire en termes aristotéliciens, Antigone et Créon sont tous les deux dans l’hubris aucun d’eux ne saisit les limites du droit qu’il prétend défendre ; la mort (que l’on s’apprête

aussi sur un raisonnement intégriste « un contrat doit être observé intégralement, il est sacré il doit être appliqué ». Shylock plaide que si les droits ne sont plus respectés, à terme on ne respectera plus les lois... Portia tente un premier plaidoyer qui est un appel à la pitié, à l'humanité de shylock, mais ce dernier reste inébranlable. Shylock a tous les droits pour lui donc le DOG est obligé de lui accorder ce qu'il demande. Antonio accepte et se prépare. Portia, elle, demande quand même

_______________________________________________________________________________ 5. Créon – Le Garde – Le Chœur a) Qu´apprend-on dans ces deux scènes ? Cochez les bonnes réponses. Après ce travail, écrivez un résumé. 1 Le garde qui arrive a une mauvaise nouvelle pour Créon. 2 Il s´appelle Jonas et veille sur le cadavre d´Etéocle pour que la loi de Créon soit respectée. 3 Il annonce la mauvaise nouvelle à Créon sans

...................................................7 4. Antigone – Ismène (2) (p.8) ...........................................................7 5. Créon – Le Garde – Le Chœur (p.8-9) ...........................................9 6. Antigone – Les Gardes (p.10)………………………......………..10 7. Créon – Antigone (p.11-17)……………………………………...10 8. Le Chœur – Créon – Hémon (p.18-19) ………………………….12 9. Antigone – Le Garde (p.19-21) ………………………………….12 10. La fin de la pièce (p.21-22) ………………………………………13 IV.) Pour travailler

...................................................7 4. Antigone – Ismène (2) (p.8) ...........................................................7 5. Créon – Le Garde – Le Chœur (p.8-9) ...........................................9 6. Antigone – Les Gardes (p.10)………………………......………..10 7. Créon – Antigone (p.11-17)……………………………………...10 8. Le Chœur – Créon – Hémon (p.18-19) ………………………….12 9. Antigone – Le Garde (p.19-21) ………………………………….12 10. La fin de la pièce (p.21-22) ………………………………………13 IV.) Pour travailler

demander ce que vous voulez. Si vous lui répondez « je ne veux pas non plus votre tranche de saumon », il va sans doute se retourner pour chercher des caméras cachées et s’il n’en trouve pas, commencer à s’interroger sur votre santé mentale. Nous créons tous des images mentales, des sons et/ou des sensations, à partir de nos pensées et des mots que nous utilisons. De notre manière de parler, aux autres et à nous-mêmes. Les images créées par les pensées « il faut que j’arrête de fumer » et « je décide

utilisent la mythologie pour faire passer des messages aux lecteurs. C’est le cas de Jean Anouilh, qui se sert du mythe d’Antigone. Enfants d’Œdipe et de Jocaste, les deux frères d’Antigone, Etéocle et Polynice, se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, nouveau roi, décide que seul Etéocle aura droit à une sépulture décente et que quiconque osera enterrer le corps de Polynice sera puni de mort. Personne n’ose braver l’interdit, sauf Antigone. Anouilh s’inspire de Sophocle pour écrire Antigone en

nombreuses interprétations allant des études mythologiques à la psychanalyse. L’extrait étudié est le premier épisode de la pièce, après une longue tirade adressée au coryphée, Œdipe voue au malheur le meurtrier de Laïos. Il accuse le gouvernement de Créon d'avoir négligé les recherches du coupable et il fait l'éloge de Laïos et demande un entretient avec Tirésias. Notre extrait est donc un dialogue conflictuel entre Œdipe et Tirésias. On se demande alors quel est le rôle de l’agôn entre Œdipe et Tirésias