Plaidoyer Ironique

indirecte se révèle donc plus efficace, qu’un plaidoyer ému en faveur des nègres. D’ailleurs, sous la froideur affectée de l’ironie, il st aisé de discerner les véritables sentiments de l’auteur : sa généreuse indignation est sensible dès le début. D’abord contenu, elle éclate à la fin du chapitre. Pour étudier les moyens de contestation utilisés par l’essayiste, nous allons adopter le plan suivant : 1. L’essayiste dans la peau de l’esclavagiste. Le plaidoyer de l’esclavagiste sert le réquisitoire

en fait un réquisitoire. Tout d’abord ce texte se présente comme une succession de paragraphes juxtaposés. Montesquieu rédige un plaidoyer, en faveur de l’esclavage des noirs. On peut avant remarquer l’implication du locuteur par l’utilisation de la première personne : « j’ » (L.1), « nous » (L.1). Il donne l’impression qu’il est partisan de l’esclavagisme. Ce plaidoyer est composé d’arguments tous décousus car on ne peut remarquer aucun lieu logique entre ces arguments : - 1er argument : « dut »

la justification d’une personne, d’une œuvre, d’une idée….aujourd’hui, mot souvent synonyme d’éloge. Blason : poème qui décrit de façon élogieuse une personne, une partie du corps ( surtout féminin), un objet. Souvent au XVI. Contre-blason = éloge ironique. Caricature : description qui accentue les traits pour se moquer, critiquer, ridiculiser. Diatribe : discours violent, parfois injurieux contre qqn Dithyrambe : éloge lyrique souvent excessif dans ses termes. À l’origine un chant entonné en l’honneur

passage que nous allons étudier. Comment le plaidoyer de son avocat provoque-t-il le détachement de Meursault? Pour répondre à cette question, nous verrons la mise en place du procédé du regard étranger. I- Un plaidoyer caricatural Le Soleil est pour ainsi dire le troisième personnage de cet extrait, il domine le texte et est omniprésent tout a long de cet extrait. Il y a d'ailleurs répétition 5 fois du mot soleil. A- La stratégie de défense - Le plaidoyer cherche à atténuer responsabilité de Meursault

au pouvoir à cinq ans. Jean de la Fontaine, poète et écrivain du classicisme, dédia Les Fables (Tome I) publié en 1668 et d’où on a extrait Le loup et l’agneau (n°10, livre I). Nous verrons dans notre lecture analytique en quoi cette fable est ironique. Pour répondre à cela, nous étudierons tout d’abord les personnages (leurs caractères, leurs attitudes, ce qui les défini… ect). Nous entamerons avec leurs arguments et la position de chacun. Ainsi nous finirons avec la morale de la fable et la

d’une fiction allégorique, dans laquelle il prête la parole à la déesse de la folie pour se livrer, sous la forme d’un éloge ironique, à une attaque virulente contre diverses catégories sociales (les théologiens, les moines, le haut clergé, les courtisans) et contre certaines des dérives de l’église catholique, notamment la superstition ; le texte s’achève par un plaidoyer, sincère, en faveur des valeurs chrétiennes. Dans l’extrait étudié, la Folie aborde le thème des « rois et des princes de cour

2) L’utilisation de l’ironie pour condamner le totalitarisme Ex : Voltaire, « De l’horrible danger de la lecture » 3) Les paraboles Ex : Jésus, verset de la bible II - … Mais, l’argumentation direct est-elle aussi efficace. 1) Sous forme de plaidoyer Ex : Zola, « J’accuse » 2) Dans les Essais, une lettre ouverte Ex : Montaigne, Essais 3) La préface Ex : « Cromwell » Victor Hugo III - … Finalement, les œuvres qui mêlent les deux procédés touchent mieux leur destinataire 1) La Fable Ex : « 

LIRE LE TEXTE Problématique: Quel stratégie Olympe de Gouges emploie t’elle pour défendre l’acte conjugal quel entend voir promulguer ?? Mouvement: Ce plaidoyer ce compose en trois mouvement dans un premier, la formulation de l’acte conjugal dans un deuxième la loi qui protège de la tromperie et enfin la promesse d’un avenir meilleur pour la société . Tout D’abord pour formuler l’acte conjugale O.G

recule ironique qu’a le narrateur sur cette passion. On peut ainsi considérer que le vocabulaire utilisé n’est pas celui du jeune homme mais celui du narrateur expérimenté (« enflammé », « maitresse de mon cœur » (L.29)) il va aussi parler de transport, ce qui témoigne de l’expérience de l’amour (L.25). Il y a une métamorphose « amour a éclairer » le jeune homme, on considère donc que cette rencontre amoureuse fait basculer le CdG dans l’âge adulte, l’âge de la connaissance. III / Un plaidoyer – Le

Œuvre : L’Etranger ; Albert Camus Texte : Plaidoyer de l'avocat de Meursault (Deuxième partie, chapitre 4) L'après-midi, les grands ventilateurs brassaient toujours l'air épais de la salle et les petits éventails multicolores des jurés s'agitaient tous dans le même sens. La plaidoirie de mon avocat me semblait ne devoir jamais finir. À un moment donné, cependant, je l'ai écouté parce qu'il disait : « Il est vrai que j'ai tué. » Puis il a continué sur ce ton, disant « je » chaque fois qu'il parlait