Plan Commentaire Candide

début ou la fin. Il exprime une durée inachevée mais peut aussi traduire une habitude: "chaque jour, il rendait visite à son ami". C'est le temp de la description dans le récit et aux actions de second plan par opposition au passé simple.  -Le passé simple: Il présente une action passée de premier plan, c'est le temp de la naration.  -Le futur: exprime une action à venir qui a valuer de vérité générale "Paris sera toujours Paris", il peut toutefois exprimer un ordre "tu feras tes devoirs".  -Le conditionnel:

|Œuvre intégrale : | |Un mouvement littéraire : les Lumières |exerçant aux bienfaits. » |Voltaire, Candide, 1759 | |Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde | |

larmes » 11 - « Je vis au milieu de l’éclat de la fortune [...] dans les bois. »  12 - «  La mer, soulevée par le vent [...] tout fut englouti. , Œuvre intégrale : Voltaire, Candide, 1759 Lectures personnelles (à compléter éventuellement) 4ème Séquence : Bas les masques ! Les Lumières : mystification et dévoilement Lectures analytiques : Groupement de textes

engloutit son oreille… » Commentaire Joseph Prud’homme était un personnage créé par Henri Monnier (et interprété par lui au théâtre), caricature du bourgeois français, désireux de suivre l’évolution de son temps, et persuadé qu’il possède des lumières en toute choses alors qu’il est niais, conformiste et sentencieux.  -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Commentaire sur le recueil En dépit

flegmatique majordome du narrateur Bertie Wooster, jeune célibataire oisif et écervelé qui a l'art de se fourrer dans des situations inextricables. Ce sommet de l'humour anglais a enthousiasmé des générations de lecteurs, et a inspiré à un critique ce commentaire définitif : " Il n'y a que deux sortes de lecteurs de Wodehouse, ceux qui l'adorent et ceux qui ne l'ont pas lu. " Le plaisir du lecteur ne réside ici que dans l’histoire drôlatique du fameux héros de Woodhouse - Zazie dans le métro, Queneau

Commentaire composé du chapitre 27 de Gargantua«  Ce disant, il mit bas son grand habit […] et achever ceux qu’ils avaient déjà meurtris »Introduction : Phrase sur les humanistes.Piccrochole , le roi du royaume voisin de celui de Grandgousier, vient de lui déclarer la guerre pour une fausse raison, la véritable étant qu’il veut conquérir son royaume. L’abbaye de Seuilly se trouve attaquée mais un des moines, Frère Jean des Entommeures, refuse de laisser les ennemis faire le sac de l’abbaye et se

faux-col engloutit son oreille… » Commentaire Joseph Prud’homme était un personnage créé par Henri Monnier (et interprété par lui au théâtre), caricature du bourgeois français, désireux de suivre l’évolution de son temps, et persuadé qu’il possède des lumières en toute choses alors qu’il est niais, conformiste et sentencieux.  -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Commentaire sur le recueil En dépit d'une

engloutit son oreille… » Commentaire Joseph Prud’homme était un personnage créé par Henri Monnier (et interprété par lui au théâtre), caricature du bourgeois français, désireux de suivre l’évolution de son temps et persuadé qu’il possède des lumières en toute choses alors qu’il est niais, conformiste et sentencieux. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Commentaire sur le recueil En dépit

Extrait de commentaire entièrement rédigé. (Alinéa de trois carreaux.)      Voltaire, auteur phare des Lumières, au XVIIIème siècle, de son vrai nom François Marie Arouet, est né à Paris, étudie chez les Jésuites et fréquente les milieux libertins. Ses pamphlets contre le Régent lui valent une incarcération d’un an à la Bastille, ses démêlés avec le Chevalier de Rohan, un exil en Angleterre où il découvre, avec enthousiasme, la tolérance et le libéralisme anglais. Il séjourne et corresponde avec

sérénité. Le besoin de réassurance, le besoin d’espérer tendent donc à réactiver une propension devenue latente. Pour l’auteur, il est bien clair cependant que les questions du “but” de l’univers, du sens caché d’un malheur quelconque ne sont pas moins candides au fond que celles qui portent sur des phénomènes plus locaux (“un rocher…”), elles ont simplement une allure plus grandiose, et une charge émotionnelle plus forte. C’est pourquoi l’auteur suggère que les “grandes” religions, même si elles sont apparemment