Plan Comptable Syscoa

PROGRAMME  MASTER  SUP  DE  CO     AUDIT  DE  L’ACTIF  ET  DU  PASSIF   MASTER  SUP  DE  CO:  Audit  de   l'Ac;f  et  du  PASSIF   AUDIT  COMPTABLE   ET  FINANCIER   1   ASPECTS  TECHNIQUES  DE  LA  MISSION     D’AUDIT  COMPTABLE  ET  FINANCIER   MASTER  SUP  DE  CO:  Audit  de   l'Ac;f  et  du  PASSIF   CHAPITRE  I   2   MASTER  SUP  DE  CO:  Audit  de   l'Ac;f  et  du

contrôle appelée société mère. Les grands groupes sont par ailleurs souvent multinationaux, c'est-à-dire composés d’entreprises des nationalités différentes. Chaque société d’un groupe tient une comptabilité indépendante. Mais l’examen des documents comptables des différentes sociétés du groupe ne donne pas une image claire de la situation économique et financière de l’ensemble. Il faut pour cela disposer des comptes de groupe, c'est-à-dire des comptes consolidés, constitués d’un bilan, d’un compte de

COMPTABILITE GENERALE TECHNIQUES COMPTABLES MASTER 1 Table des matières Chapitre 1 : Le cadre comptable OHADA ................................................................................................ 5 1 La comptabilité : définition, fonctions et rôles ............................................................................... 5 1.1 1.2 2 Définition de la comptabilité ..................................................................................................

les données comptables, il faut que celles-ci soient élaborées par des critères homogènes (d’après les mêmes méthodes) ; tel est le but de la normalisation de la comptabilité de l’entreprise. L’élaboration des données macro-économiques (le calcul des agrégats) suppose qu’aussi un certain accès aux informations comptables Les référentiels comptables : Ils représentent l’ensemble des règles qui définissent l’exercice de la fonction comptable. Les principaux référentiels comptables sont :

s’est dans un premier temps tourné vers les normes comptables. En effet, celles-ci, et notamment les normes IAS/IFRS, sont à l’heure actuelle les seules à pouvoir fournir une information financière normalisée, uniformisée et contrôlée. L’une de ces normes est particulièrement controversée : il s’agit du principe d’évaluation des actifs et des passifs à la juste valeur. Ainsi, nous allons étudier le lien entre la crise financière et les normes comptables en se demandant si la juste valeur est une cause

Code Général de normalisation comptable Sommaire INTRODUCTION 2 Chapitre I- CGNC : Cadre général 4 Section 1 : Contexte de mise en place 4 I- Historique : 4 II- Développement du CGNC : 7 Section 2 : Objectifs et champ d’application du CGNC 9 I- Champ d’application : 9 II- Objectifs du CGNC : 10 Chapitre II : Présentation de la structure du CGNC 11 Section 1 : Norme générale comptable 11 I- Les dispositifs du fond : 11 III- La conception

Définition L’analyse financière est une technique comparative (détermination ou amélioration des différents éléments de référence) plus que normative, (examen d’une situation donnée), ce qui relativise fortement l’intérêt qui s’attache aux données comptables. L’analyse financière est une démarche qui va permettre d’évaluer le risque et de prendre position pour l’attitude à adopter vis-à-vis d’une entreprise (commerciale ou industrielle) qui couvre elle-même des risques de nature complètement différentes

normalisation comptable au MAROC I -Définition La normalisation comptable est l’ensemble des règles et modalités (Principes comptables fondamentaux et méthodes d’évaluation) permettant à la comptabilité de fournir une image fidèle de la situation de l’entreprise et elle a été mise en place par le dahir du 25 Décembre 1992 par la loi 9-88. II- Historique * Situation avant la mise en place du CGNC 1- Aperçu sur la comptabilité marocaine avant la mise en place d’une loi comptable La comptabilité

et son exercice à l’initiative du détenteur, s’opposent, a priori, à l’assimilation immédiate de l’émission obligataire à du capital propre. Pierre SCHEVIN Professeur à l’Université Robert Schuman de Strasbourg 44 Diplômé d’expertise comptable L’autre possibilité (remboursement de l’emprunt) est défavorable du point de vue du financement de l’entreprise et de sa trésorerie future, et le principe de prudence incite à une assimilation de l’ensemble des obligations convertibles à une dette

constituées depuis l’origine ; La valeur nette : différence entre les deux premières valeurs, ce qu’il reste à amortir jusqu'à ce que la valeur nette soit égale à zéro. Dans la pratique, elle est souvent appelée valeur résiduelle ou encore valeur nette comptable. L’amortissement linéaire Il est constant : la dotation est la même sur toute la durée de vie prévisionnelle du bien. Dotation = Valeur brute x Taux d’amortissement linéaire Taux d’amortissement linéaire = 100 / nombre d’années de la durée prévisionnelle