Plan Le Lac V Hugo

baiser «sur ses grosses lèvres roses», Chaval, qui avait remarqué qu’ils s'entendaient bien, ce qui le rendait jaloux, s'approcha soudain et donna à Catherine un baiser qui était «une prise de possession» (page 50). Puis le travail reprit. Chapitre V : Zacharie, qui aurait dû s’employer au boisage de la taille, le négligea. Les membres de l’équipe se plaignaient de ce que ce travail ne soit pas compté lors du «marchandage». Survinrent justement le porion Dansaert et l’ingénieur Négrel qui infligèrent

évalués en termes de baisse de la criminalité et non pas en termes de saisies ou de nombre d’interpellations. C’est ce que recommande la Commission mondiale sur la politique des drogues dans son rapport de juin 2011. Mais c’était déjà l’objectif du Plan drogue 2009-2012 de l’Union européenne, car l’Europe a une certaine expérience en la matière. À Frankfort comme à Zurich ou Rotterdam, les villes européennes ont déjà mis en place des politiques locales pour réduire les nuisances liées aux drogues

.............................. 12 III OU S’ENGAGE UNE CONVERSATION QUI POURRA COUTER CHER À PHILEAS FOGG....................................... 17 IV DANS LEQUEL PHILEAS FOGG STUPEFIE PASSEPARTOUT, SON DOMESTIQUE ................................ 27 V DANS LEQUEL UNE NOUVELLE VALEUR APPARAÎT SUR LA PLACE DE LONDRES ..............................................33 VI DANS LEQUEL L’AGENT FIX MONTRE UNE IMPATIENCE BIEN LEGITIME ............................................ 37 VII QUI TÉMOIGNE UNE FOIS

demanda Mr. Fogg. – Il y a... que... dans ma précipitation... mon trouble... j’ai oublié... 39 – Quoi ? – D’éteindre le bec de gaz de ma chambre ! – Eh bien, mon garçon, répondit froidement Mr. Fogg, il brûle à votre compte ! » 40 V Dans lequel une nouvelle valeur apparaît sur la place de Londres Phileas Fogg, en quittant Londres, ne se doutait guère, sans doute, du grand retentissement qu’allait provoquer son départ. La nouvelle du pari se répandit d’abord dans le Reform-Club

Qu’avez-vous ? demanda Mr. Fogg. – Il y a... que... dans ma précipitation... mon trouble... j’ai oublié... 39 – Quoi ? – D’éteindre le bec de gaz de ma chambre ! – Eh bien, mon garçon, répondit froidement Mr. Fogg, il brûle à votre compte ! » 40 V Dans lequel une nouvelle valeur apparaît sur la place de Londres Phileas Fogg, en quittant Londres, ne se doutait guère, sans doute, du grand retentissement qu’allait provoquer son départ. La nouvelle du pari se répandit d’abord dans le Reform-Club

non aux maux de son temps. Mais la littérature engagée ne se réduit pas à la poésie : les « Philosophes des Lumières », Voltaire, Rousseau, Diderot, Montesquieu, ont écrits des œuvres engagées contre la monarchie absolue. Au XIXème siècle, Victor Hugo et Zola dénoncent la misère et l’oppression dans leurs romans. Aujourd’hui, Didier Daeninckx et Thierry Jonquet sont considérés comme des romanciers engagés. Jean-Paul Sartre et Bertold Brecht ont écrit des pièces de théâtre engagées. On parle parfois

déclare que « le thème de la religion occupe, dans les premiers Thibault, une place, en un certain sens privilégiée. Sa présence est à peu près constante. Non seulement parce que les rôles de Thérèse de Fontanin et d'Oscar Thibault sont de premier plan, mais parce que la religion est, en fait, pour presque tous les personnages, un point fixe de référence, comme un rempart protecteur ou comme un obstacle à franchir. »4 ‫ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــ‬

baiser «sur ses grosses lèvres roses», Chaval, qui avait remarqué qu’ils s'entendaient bien, ce qui le rendait jaloux, s'approcha soudain et donna à Catherine un baiser qui était «une prise de possession» (page 50). Puis le travail reprit. Chapitre V : Zacharie, qui aurait dû s’employer au boisage de la taille, le négligea. Les membres de l’équipe se plaignaient de ce que ce travail ne soit pas compté lors du «marchandage». Survinrent justement le porion Dansaert et l’ingénieur Négrel qui infligèrent

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.3. L’armée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.4. Ordres et décorations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CHAPITRE V. L’industrie française . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1. Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2. Petit panorama de l’industrie française . . . . . . . . . . . . . . . . . -5- 120 120 121

« médiocrisation » au sein du théâtre du monde. Les années continuent de s’assembler les unes à la suite des autres - nous les parcourons bien évidemment rapidement, il y aurait à en dire -, la deuxième moitié du siècle connaît plus de calme sur le plan politique mais le mal du siècle perdure. Dans un monde dès lors « déromantisé », marqué par la défaite de 1870 et par la déliquescence de la France, on exprime sa haine du réel, un réel fait de souffrances, de désillusions, on se retrouve une fois