Plante Biologique

coccinelles se mettent en DIAPAUSE (elles hibernent) et se cachent sous les pierres, l’écorce des arbres, la mousse, etc. Elles ressortent au printemps UTILISATION Les pucerons et les cochenilles se nourrissent de la sève des plantes (sève = sang chez l’homme) La plante est très fatiguée et peut mourir La coccinelle est très utile car elle peut dévorer entre 50 et 100 pucerons par jour Les jardiniers écologiques l’adorent car elle évite l’utilisation de produits chimiques, mauvais pour la nature

module, chacun (animateur, enfants, parents) est invité à prendre conscience que le Royaume de Dieu est bien autant à accueillir dans sa vie qu’à construire. » p 43 doc Oct : accueillir Nov : construire Support pédagogique pour l’année : une plante qui va grandir, s’étoffer à chaque rencontre// grandir dans la vie, la Foi en Jésus Christ. Objectif de la rencontre : Dans la vie nous sommes invités à faire des choix pour grandir et bien vivre avec les autres. Dieu par son Fils Jésus nous invite

encore de recouvrir leur champs avec une bâche l’hiver pour éviter que le nitrate ne soit entrainé par les ruissèlements. On observe aussi une baisse de nitrate depuis une dizaine d’années dans certaines rivières grâce à l’implantation, en hiver, de plantes comme la moutarde, l’avoine, les radis chinois… qui piège facilement le surplus d’azote et limitant ainsi son infiltration dans le sol. Ces marées vertes sont un fléau pour la Bretagne mais c’est grâce à la volonté des agriculteurs, qui sont la

les 4 jours par semaine, le mercredi n’est toujours pas appliquée. Plusieurs sorties sont organisés par exemple les primaires ont une sortie vélo tous les mardis après-midi, pour apprendre les différentes couleurs ils sont allés aux jardins des plantes pour leurs faire voir les couleurs qui sont présentes dans la nature, la prochaine sortie organisée est la fabrication du pain. L’école est équipée d’une cantine, les plats sont préparés à l’école de Saint-Michel qui sont ensuite livrés à l’école

BOTANIQUE INTRODUCTION : La classification des végétaux • LES GYMNOSPERMES Les gymnospermes, plantes à graines nues, sont représentées par les conifères (résineux ou arbres à aiguilles). Leurs inflorescences femelles (cônes) sont de forme conique et leurs feuilles en forme d'aiguilles. Actuellement, on dénombre environ un millier d'espèces de gymnospermes contre 20 000 environ au cours du Jurassique (il y a 160 millions d'années). Les forêts de résineux forment aujourd'hui une

précoces si l'oiseau est bien nourri. Lorsque la femelle pond une nouvelle couvée, le mâle se charge de nourrir la précédente. Nid : Le rouge-gorge fait son nid dans les trous d'arbre et de mur, également dans les jardins et dans les haies, parmi les plantes grimpantes, sur les étagères des dépendances, souvent à proximité d'une touffe herbeuse ou d'un arbuste. Il utilise parfois des boîtes à lettres ou des boîtes de conserve usagées. Il construit un nid hémisphérique bâti à base de mousse, d'herbe et

Diego Rivera. Les couleurs sont plutôt fades dans ce tableau, et elles évoquent la souffrance. Mais les feuilles en arrière-plan, avec leurs couleurs éclatantes et exagérées, reflètent l’influence de l’art traditionnel mexicain : ce sont des plantes tropicales de son pays natal. La feuille jaune compose une auréole autour de sa tête. Les papillons et les libellules veulent faire croire en l’espoir et le renouveau. Le chat noir, prêt à bondir, symbolise en revanche le malheur et la tristesse.

côtoyée de garde−fous en pierre ornés de boules surmontées de pointes menait à un jardin situé en contre−bas de la cour. Les marches rompues et disjointes faisaient bascule sous le pied ou n'étaient retenues que par les filaments des mousses et des plantes pariétaires ; sur l'appui de la terrasse avaient crû des joubarbes, des ravenelles et des artichauts sauvages. Quant au jardin lui−même, il retournait doucement à l'état de hallier ou de forêt vierge. A l'exception d'un carré où se pommelaient quelques

symbolique que l'auteur attibue à la nature. Tout d'abord, on retrouve comme image frappante dans le texte l'effet d'exubérance que l'auteur cherche à communiquer. On retrouve dans le texte des champs lexicaux qui relèvent de l'abondance des plantes: “du chiendent partout” (l.3); “Les mauvaises herbes abondaient” (l.4-5) “peuplé comme une ville” (l.18-19). Ces champs lexicaux sont d'ailleurs en paralèlle important avec certaines constructions apparentes du texte. Notons l'énumération en dégradé

l'eau vers les couches inférieures. Capacité de rétention en eau : quantité d'eau retenue par le sol et soit utilisable par les plantes, soit liée à des particules solides par des forces physiques qui empêchent cette utilisation. Le pouvoir absorbant : capacité à fixer des ions et à rendre ainsi plus aisé le passage de ces ions de l'humus aux racines des plantes, notamment par la création de complexes argilo-humiques, aussi appelés complexes absorbants, qui fixent des ions positifs apportés par