Plasmide Ti

dans son plasmide (pKY70GIN) contient le gène d’interêt (GUS-intron), une souche receveuse d’A. tumefaciens et une troisième souche « helper » d’E. coli. Celle-ci contient les éléments nécessaires à la conjugaison entre la souche receveuse et donneuse. La quatrième souche de bacteries qui posséde déjà le plasmide pKY70GIN est utilisée comme un témoin positif. Après incubation des trois souches bacteriennes nous effectuons une double séléction positive d’agrobacteries contenant le plasmide pKY70GIN

dans l’alimentation animale, ni dans les champs. » Les plantes transgéniques, les grandes étapes: 1965 les enzymes de restriction* permettant de découper l'ADN en des points précis sont découvertes. 1973 : Identification du plasmide** Ti dans une bactérie. Ce plasmide permet d' accueillir le gène porteur du caractère recherché, qu’il est en mesure d’introduire dans le génome d’une plante. 1983 : Première plante transgénique obtenue indépendamment par quatre groupes: l' université de Washington

obtention du premier ADN recombinant grâce aux enzymes de restriction (une chimère non fonctionnelle de deux virus simien SV40). Pour ces travaux il reçut le prix Nobel de chimie en 1980. • 1973: Identification du plasmide Ti dans la bactérie Agrobacterium tumefaciens. Ce plasmide permet d'accueillir le gène porteur d'un caractère recherché, qu'il est en mesure d'introduire dans le génome d'une plante. S.Cohen et H.Boyer introduisent des gènes d’un amphibien dans une bactérie (E.coli) et obtiennent

diminution du prix de revient V GENIE GENETIQUE DES PLANTES GG  méthode directe pr produire des plantes modifiées Plantes  particulièrement adaptées à des modifications (totipotentes?) ++ systèmes de transfert des gènes aux plantes Ex à succès: plasmide Ti Caractéristiques conférées aux plantes par GG: Resistance aux attaques des insectes: Fabriquer par GG des plantes ayant une activité insecticide Ex: expression par GG de protéines inhibitrices de protéases ? Resistance à l’infection virale:

.... 41 2.1 BIOLOGIE MOLECULAIRE ET CELLULAIRE .................................................................. 41 2.1.1 Souches utilisées............................................................................................... 41 2.1.2 Plasmides et constructions utilisés................................................................... 43 2.1.3 Sous-clonage .................................................................................................... 45 2.1.4 Techniques de biologie

5’TTCTCTCCGCGGCCGCTGTGGAGGGTGAGACG 3’CCTATTTTGCGGCCGCTCTGTATTAGTCCGCATC 2.2 Mutagenèse dirigée sur eIF2α Le kit « QuickChange Site-Directed Mutagenesis » (Strategene) a été utilisé pour modifier la thréonine 185 de eIF2α en valine sur les plasmides pET-2α et pNéo-2α (voir Tableau 2). Les deux amorces complémentaires employés sont 5’-GTA CAC GGA GGT GGT TAG ACG CCG TGT G et 3’-CAC ACG GCG TCT AAC CAC CTC CGT GTA C. La réaction a été préparée selon le protocole fourni par la compagnie Strategene

cellules. La plupart des bactéries renferment également des plasmides, molécules d’ADN bicaténaires, généralement circulaires, extra-chromosomiques, dont la taille varie de 1 à 300 kilobases, douées de réplication autonome et transmissibles de façon stable à la descendance. Bien que non indispensables pour la survie de la bactérie, ils confèrent parfois un avantage sélectif aux bactéries qui les hébergent. C’est le cas notamment des plasmides de résistance aux antibiotiques. Enfin, certaines bactéries

L'EMBRYOGENESE SOMATIQUE CHEZ PHOENIX DACTYLIFERAL : QUELQUES FACTEURS LIMITANTS ET MARQUEURS BIOCHIMIQUES. EVOLUTION GEODYNAMIQUE DES CORPS SEDIMENTAIRES MESO-CENOZOIQUES DE LA BORDURE DU HAUT-ATLAS DE MARRAKECH (MAROC) (SEDIMENTATION-TRANSFERTDIAGENESE). PLASMIDES MITOCHONDRIAUX DU PALMIER DATTIER (PHOENIX DACTYLEFERA L) MISE EN EVIDENCE ET CARACTERISATION MOLECULAIRE. ETUDE DES REACTEURS SOLIDE / GAZ MODELISATION ET OPTIMISATION PAR LA METHODE DES ELEMENTS FINIS. GENESE ET DIFFERENCIATION D'UN MAGMA THOLEITIQUE

55 ± 5 40 ± 3 47 ± 4 44 ± 15 VTDVG (ml/m2) 156 ± 29 81 ± 9 124 ± 8 99 ± 9 84 ± 50 Parker et Shelhamer, 1984 (valeur : m ± SEM) TI + TD S = 13 NS = 7 S = 33 NS = 21 35 dont 15 avec maladie cardiaque 18 32 S = 34 NS = 56 15 Parker, 1989 (valeur : m ± SEM) TI + EV TI + EV Ellrodt, 1985 (valeur : m ± SD) Schneider, 1988 (valeur : m ± SEM) TI + EV ETT + TD ETT ETT + TD 10,0 ± 0,9 5,4 ± 0,4 +500 mla : 13,6 ± 0,9 5,9 ± 0,5 13 ± 3 4,4 ± 1,6 53 ± 3 95 ± 5,8 53 ± 3 107 ± 6

c-ret, Notch et ses ligands de la famille Delta, préfigurent cette compartimentalisation. Chaque espèce présente un nombre de somites précis de même qu’une formule vertébrale précise. Chez la souris, elle est de sept cervicales (Ci), treize thoraciques (Ti), six lombaires (Li), quatre sacrales (Si) et un nombre variable de vertèbres caudales. Chez tous les amniotes, le sclérotome des quatre premiers somites ainsi que la moitié rostrale du cinquième forment une partie de la base cartilagineuse du neurocrâne