Plasmide

narasin) sont utilisés comme additifs anticoccidiens. La résistance acquise d'une bactérie à un antibiotique provient de l’ acquisition d’ gène un de résistance par mutation du chromosome ou, cas le plus fréquent, par intégration de ce gène dans un plasmide. Trois sortes de risques sont liées à l’ utilisation des antibiotiques : - la sélection et le transfert de bactéries pathogènes pour l’ homme et les animaux (Salmonelles) devenues résistantes. Les conséquences possibles sont la limitation des possibilités

m. plaque n. (path.), plaque f. dentaire plasm(a) n., plasma m. (bio., phys.), ~ physics (phys.), physique des plasmas, ~ torch (instr.), chalumeau (ou torche) à plasma plasmatic(al) adj. (bio.), plasmatique plasmic(al) = plasmatic(al) plasmide n. (bio.), plasmide m. plasmodium n. (bio., path.), plasmodium m. plasmoid n. (phys.), particule f. ionisée d’un plasma plasmolysis n. (bio.), plasmolyse f. plasmon n. (phys.), plasmon m. plaster n. (chim.), plâtre m., ~ of Paris, plâtre de Paris plastic(al)

m. plaque n. (path.), plaque f. dentaire plasm(a) n., plasma m. (bio., phys.), ~ physics (phys.), physique des plasmas, ~ torch (instr.), chalumeau (ou torche) à plasma plasmatic(al) adj. (bio.), plasmatique plasmic(al) = plasmatic(al) plasmide n. (bio.), plasmide m. plasmodium n. (bio., path.), plasmodium m. plasmoid n. (phys.), particule f. ionisée d’un plasma plasmolysis n. (bio.), plasmolyse f. plasmon n. (phys.), plasmon m. plaster n. (chim.), plâtre m., ~ of Paris, plâtre de Paris plastic(al)

pas sensible à l’herbicide glyphosate, contrairement à celle issue de l’expression du gène S. Le gène R est donc « intéressant » si l’on souhaite rendre des végétaux résistants au glyphosate. Pour le transférer à une plante, on l’introduit dans un plasmide de la bactérie A. tumefaciens : il pourra ainsi entrer dans les cellules végétales et être intégré à l’ADN de la plante. Doc. 3 : Parmi les cals issus des fragments de feuilles mis au contact des bactéries armées du gène R, certains sont constitués

par Werner Arber, Hamilton Smith et Daniel Smith des protéines responsables du découpage de l’ADN (enzymes de restriction) 1972 Première recombinaison génétique in vitro par Paul Berg 1973 Première utilisation, par Herb Boyer et Stanley Cohen, d’un plasmide pour cloner de l’ADN, permettant la réplication et l’utilisation de molécules d’ADN recombiné 1982 Commercialisation du premier médicament issu des biotechnologies 1982 Premières expériences sur des végétaux transgéniques 1996 Première commercialisation