Plasmide

ARN polymérases I‐ Bactéries Bactéries 3) Les constituants du contenu  bactérien (suite2) 3 ‐ Plasmides :  – non indispensable  – réplication autonome indépendante du chromosome – portent des gènes codant des avantages sélectifs • • • • gènes structuraux (fimbriae) gènes métaboliques gènes de production de toxines gènes de résistances aux antibiotiques,… – transmission de plasmides  • aux cellules filles • à d’autres bactéries, même d’espèces différentes (multiples mécanismes) I‐

entérobactéries…). L’émergence des BMR et leur diffusion sont le résultat de deux facteurs conjoints : la pression de sélection par les antibiotiques et la transmission des souches résistantes, transmission croisée, ou des supports génétiques de la résistance (plasmides). Dans le cadre des infections nosocomiales, les BMR jouent un rôle important. (cf. résultats des enquêtes nationales de prévalence de 1996, 2001 et 2006). La justification d’actions spécifiques visant au contrôle de la diffusion épidémique des BMR

bacterioblog.com Phénomène de conjugaison bactérienne Le transfert horizontal est un procédé qui consiste en un échange de patrimoine génétique chez les bactéries. Une bactérie est composée d’un brin d’ADN et de petits morceaux d’ADN : des plasmides. Ceux-ci peuvent transporter des gènes de résistance et peuvent passer d’une bactérie à une autre. Ce procédé n’est pas systématique mais plus les bactéries non pathogènes se multiplient, plus le risque de transmission à un gène pathogène augmente

les recommandations du fournisseur. Les colonies présentant une bande à la taille attendue lors de l’électrophorèse sont sélectionnées pour l’extraction plasmidique en vue du séquençage. L’extraction plasmidique est réalisé avec le kit Nucleospin plasmid® (MachereyNagel, Hoerd, France) à partir des cultures de 5mL validées par la PCR sur colonies, selon les recommandations du fournisseur. La concentration et l’intégrité des ADN sont vérifiées par spectrophotométrie (NanoDrop®, Wilmington, USA) puis

spontanément (faible fréquence) ou artificiellement par mutagenèse Agents chimiques : acide nitreux ou physique : UV 2. Plasmides éléments génétiques extra-chromosomiques capables d'autoreproduction chromosomiques petite taille (1/100ème environ da la taille du chromosome) structure torsadée (super enroulée) 0.5 106 < PM < 400 106, leur nombre varie de 1 à 100/ cellule Rôles des plasmides: Résistance aux antibiotiques (streptomycine, tétracycline, chloramphénicol). Résistance aux métaux lourds comme

le nombre de virus dans l’échantillon : - VIH - Variole - Hépatite C - Grippe  Organismes génétiquement modifiés : OGM 1) Prélèvement de cellules et mise en culture 2) Insertion du gène sous forme de plasmide dans la bactérie Agrobactérium 3) Infection d’une cellule par agrobactérium 4) La plasmide s’intègre dans l’ADN de la cellule 5) Obtention d’une plante par embryogénèse  L'ADN fossile Il permet de comprendre l'évolution des gènes et dans certains cas, l'évolution de certaines pathologies. 

applications en aval. Centrifugation La centrifugation sélective est une méthode de purification puissante. À titre d’exemple, l’ultracentrifugation isopycnique en gradients de CsCl à des forces g élevées a été longtemps utilisée pour la purification de plasmides. La centrifugation est souvent combinée à une autre méthode. Un exemple d’une telle utilisation est la chromatographie à colonne rotative qui combine la filtration sur gel et la centrifugation afin de débarrasser l’ADN ou l’ARN des contaminants de

codant des immunogènes spécifiques, dans un vecteur avirulent dérivant d'un autre micro-organisme. Des vaccins à base d’acides nucléiques et contenant seulement de l’ADN plasmidique sont en cours de développement. Ils sont habituellement constitués de plasmide(s) codant des immunogènes provenant du micro-organisme responsable de la maladie. Les produits inactivés peuvent contenir : 1) des cultures de micro-organismes qui ont été inactivés par un agent chimique ou un autre procédé ; 2) des toxines inactivées

multiplication des bactéries CMI = Concentration Minimal Inhibitrice Souche sensible à ATB = si CMI ATB vis à vis de cette souche est inférieure à concentration sérique pouvant être atteinte par un traitement à dose habituelle par voie générale Plasmide = élément porteur de caractéristiques de résistance. Se transmet entre bactéries différentes. Betalactamase = substance produite par certaines bactéries qui détruisent betalactamines SAMR = Staphylocoque Aureus Méty-S Résistant Règles de prescription

et donc la lyse de la bactérie. De nombreuses enzymes appelées ß-lactamases sont capables d’inactiver les β-lactamines. Elles constituent le principal mécanisme de résistance aux β-lactamines chez E. coli. La première ß-lactamase acquise via un plasmide chez E. coli, a été décrite en 1965 en Grèce et dénommée TEM-1. Elle entraîne une résistance aux pénicillines telles que l’amoxicilline, la ticarcilline et la pipéracilline. Suite à l’utilisation massive des β-lactamines et notamment des céphalosporines