Plassans

L’histoire se passe en 1850 dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris.On suit l’aventure de Gervaise Marcquart, fille d’Antoine Macquart et de Joséphine Gavaudan, elle quitte le village de Plassans avec son mari Auguste Lantier qui est ouvrier chapelier et leurs deux enfants Claude ( le futur peintre de « L’Oeuvre » ) et Etienne ( le futur héros de « Germinal » ) pour s’installer à Paris dans un pauvre hôtel délabré dans le quartier de la Goutte d’Or à Montmartre.Deux semaines plus tard, Lantier

La Faute de l’abbé Mouret parait en 1875, et est le cinquième volume de la série les Rougon-Macquart. Faisant suite à la Conquête de Plassans, c’est le second ouvrage de la série qui traite du catholicisme. Le thème en est la vie d'un prêtre déchiré entre sa vocation religieuse et l'amour d'une femme. A la même époque apparait également le mouvement littéraire naturaliste, que Zola a pour beaucoup créé, et dont il devient rapidement le chef de file. Il affirme d'ailleurs dans un article du Figaro

enfermée dans l’asile de Tulettes à Plassans. Le 19° siècle découvre l’inconscient et la « bête humaine » (Zola avait songé à donner à son roman, dans un premier temps, le nom de « l’Inconscient »), et que la folie n’est peut-être pas tant une anormalité exceptionnelle qu’une propension permanente de tout individu. La folie artistique (du Balzac du Chef d’œuvre inconnu à l’œuvre de Zola), la folie mystique (Madame de Gervaisais, Marthe dans La conquête de Plassans), la folie liée à l’usage de drogues

bande qui chanta ; des bouts de l’horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d’arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines ; le large amphithéâtre qui monte de la rivière à Plassans, la cascade gigantesque sur laquelle coulaient les bleuâtres clartés de la lune, étaient comme couverts par un peuple invisible et innombrable acclamant les insurgés ; et, au fond des creux de la Viorne1, le long des eaux rayées de mystérieux reflets

Fortune des Rougon - Analyse de la manifestation des Républicains Extrait du texte étudié Après le coup d'État du 2 décembre 1851, un soulèvement a lieu en Provence. Pendant la nuit, deux jeunes gens ont rejoint, par la longue route qui descend de Plassans, un pont sur la Viorne, au fond de la vallée, et, sur l'autre versant, ils vont apercevoir trois mille insurgés républicains qui descendent de la route de Nice et auxquels l'un d'eux devait se joindre. La bande descendait avec un élan superbe, irrésistible

bande qui chanta ; des bouts de l'horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d'arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines ; le large amphithéâtre qui monte de la rivière à Plassans, la cascade gigantesque sur laquelle coulaient les bleuâtres clartés de la lune, étaient comme couverts par un peuple invisible et innombrable acclamant les insurgés ; et, au fond des creux de la Viorne, le long des eaux rayées de mystérieux reflets

bande qui chanta ; des bouts de l’horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d’arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines ; le large amphithéâtre qui monte de la rivière à Plassans, la cascade gigantesque sur laquelle coulaient les bleuâtres clartés de la lune, étaient comme couverts par un peuple invisible et innombrable acclamant les insurgés ; et, au fond des creux de la Viorne1, le long des eaux rayées de mystérieux reflets

c’est l’odeur qui attira les voisins, qui découvrirent le corps. Elle est enterrée par le croque-mort Bazougue, Bon je sais pas si ils le disent au cours du résumé, mais le premier fils de Gervaise, je crois bien que c'est Claude, est envoyé à Plassans comme apprentis. Un vieillard, amateur de tableaux, trouvait qu'il avait du talent en dessin.  Quant à Etienne, il travaille à la forge avec Goujet, puis part à Lille chez un mécanicien. L'Assommoir raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise

qui est de montrer les crimes du bonapartisme envers la république. Dans cet extrait, le quatrième récit de la mort de Silvère est le récit sous forme d’aveu que fait Aristide à sa mère. C’est le banquet des vainqueurs qui réunit les bourgeois de Plassans heureux de la tournure des évènements et qui célèbrent le triomphe final de Rougon. Alors que tous les convives s’amusent, les trois Rougon discutent à voix basse et s’épient mutuellement. L’évocation à de la mort de Silvère installe un certain malaise

bande qui chanta ; des bouts de l’horizon, des rochers lointains, des pièces de terre labourées, des prairies, des bouquets d’arbres, des moindres broussailles, semblèrent sortir des voix humaines ; le large amphithéâtre qui monte de la rivière à Plassans, la cascade gigantesque sur laquelle 15 coulaient les bleuâtres clartés de la lune, étaient comme couverts par un peuple invisible et innombrable acclamant les insurgés ; et, au fond des creux de la Viorne1, le long des eaux rayées de mystérieux