Plassans

regular blows. "Yes, yes, washed—I should think I had! Ever since I was ten years old. We went to the riverside, where I came from. It was much nicer than here. I wish you could see it—a pretty corner under the trees by the running water. Do you know Plassans? Near Marseilles?" "You are a strong one, anyhow!" cried Mme Boche, astonished at the rapidity and strength of the woman. "Your arms are slender, but they are like iron." The conversation continued until all the linen was well beaten and yet whole

seulement 400 voix, conséquence du faible nombre d’électeur et du clientélisme (les élus sont donc des représentants des intérêts locaux et la compétition politique est donc inexistante : Cf. ZOLA avec La fortune des Rougon ou encore La conquête de Plassans). Ce phénomène se concentre au départ dans les villes, en raison de leur taille et donc de l’impossibilité de connaître tous les électeurs. La compétition politique y naît donc avant le suffrage universel. Le « tournant » est 1948 avec l’introduction

roman est Jean Macquart, fils d’Antoine Macquart et de Joséphine Gévaudan, l’un des rares membres de la branche Macquart indemne de toute tare. Il apparaît déjà dans la Fortune des Rougon, où il apprend le métier de menuisier. Après avoir quitté Plassans, sa ville natale, il est tiré au sort en 1852 et participe aux campagnes militaires du Second Empire. Blessé en Italie, il reprend son métier de menuisier puis s’embauche comme ouvrier agricole à Rognes, où il reste pendant dix ans. Jean Macquart

de gaz intérieur éclairait la nuit. Un gros monsieur blond, qui sortait du vestibule, s’arrêta net, en apercevant Octave. – Comment ! vous voilà ! cria-t-il. Mais je ne comptais sur vous que demain ! – Ma foi, répondit le jeune homme, j’ai quitté Plassans un jour plus tôt… Est-ce que la chambre n’est pas prête ? – Oh ! si… J’avais loué depuis quinze jours, et j’ai meublé ça tout de suite, comme vous me le demandiez. Attendez, je veux vous installer. Il rentra, malgré les instances d’Octave. Le cocher

bec de gaz interieur eclairait la nuit. Un gros monsieur blond, qui sortait du vestibule, s'arreta net, en apercevant Octave. —Comment! vous voila! cria−t−il. Mais je ne comptais sur vous que demain! —Ma foi, repondit le jeune homme, j'ai quitte Plassans un jour plus tot.... Est−ce que la chambre n'est pas prete? —Oh! si.... J'avais loue depuis quinze jours, et j'ai meuble ca tout de suite, comme vous me le demandiez. Attendez, je veux vous installer. Il rentra, malgre les instances d'Octave. Le

que sa carrière littéraire commence réellement. Tranquillement, il se lie d’amitié avec ses collègues de l’époque comme Flaubert. Après six ans de travail et six romans réalisés : La Fortune des Rougon, La Curée, Le Ventre de Paris, La conquête de Plassans, La Faute de l’abbé Mouret et Son excellence Eugène Rougon, Zola est reconnu et son nom se dit sur toutes les lèvres mais le romancier ne se sent pas encore reconnu à sa juste valeur. Il veut être aussi puissant littérairement que Balzac, considéré

tordus entrèrent dans la terre, ses sanglots lui déchirèrent la gorge, dans un râle d’effroyable désespoir. Pourtant, il s’efforçait de se calmer, il aurait voulu comprendre. Qu’avait-il donc de différent, lorsqu’il se comparait aux autres ? Là-bas, à Plassans, dans sa jeunesse, souvent déjà il s’était questionné. (…) La famille n’était guère d’aplomb, beaucoup avaient une fêlure. Lui, à certaines heures, la sentait bien, cette fêlure héréditaire ; non pas qu’il fût d’une santé mauvaise, car l’appréhension

tous ces hommes, montaient dans l'air chargé d'alcool ; et elle étouffait, prise d'une petite toux. « Oh ! c'est vilain de boire ! » dit-elle à demi-voix. Et elle raconta qu'autrefois, avec sa mère, elle buvait de l'anisette, à Plassans. Mais elle avait failli en mourir un jour, et ça l'avait dégoûtée; elle ne pouvait plus voir les liqueurs. ZOLA, L'Assommoir. E x e r c i c e Exercice

Château de la Goelane Château de Châteauelivette Château de Labatut Château Toignan Château L'Escart Château de Châteauartran Château La Rafette Château Lorient Château Badines Château Lamothe Château Beauval Château Quantin Château Graveyres Château Plassan Château de Lisennes Château Palot Château de la Séguinie Château Castel Fauchey Château Peyrarey Château de Morpain l DOMAINES, MANOIRS ET MAISONS Domaine de La Grave Domaine du Bourgat Domaine de Chèze Domaine de Bouliac Domaine Destours Domaine

l'odeur forte de tous ces hommes, montaient dans l'air chargé d'alcool ; et elle étouffait, prise d'une petite toux. "Oh ! c'est vilain de boire !" dit-elle à demi-voix. Et elle raconta qu'autrefois, avec sa mère, elle buvait de l'anisette, à Plassans. Mais elle avait failli en mourir un jour, et ça l'avait dégoûtée ; elle ne pouvait plus voir les liqueurs. "Tenez, ajouta-t-elle en montrant son verre, j'ai mangé ma prune ; seulement, je laisserai la sauce, parce que ça me ferait du mal." Coupeau