Plasticité neuronale

faut construire. Cette réalité psychique nous permet de faire la différence entre le normal et le pathologique, un être qui va bien et un qui va mal. Quand glisse t-on d'une catégorie à l'autre? Ce n'est pas quelque chose d'inné. Il y a un substrat neuronal derrière. Pour voir si quelqu'un est mort, on fait un EEG et lorsque celui-ci est plat, on estime qu'il n'y a plus de vie dans le cerveau même si le corps peut toujours respirer, le cœur battre...On peut donc se poser la question de savoir à partir

avoir conçu les premiers réseaux de neurones et avoir clairement perçu leurs forces et leurs faiblesses, il fut, pendant 30 ans, le fossoyeur de l’approche neuronale en intelligence artificielle, redevenue très populaire depuis. On l’a décrit comme la sorcière du conte de Blanche-Neige, offrant la pomme empoisonnée à toute la communauté neuronale, très importante pendant les années 1950 et quasi léthargique jusqu’au début des années 1980. Minsky est un fervent défenseur de l’approche symbolique en intelligence

(imagerie par résonance magnétique fonctionnelle) démontrent que le cerveau est plus souple que ce que l’on a longtemps cru. La neuroplasticité, comme les spécialistes appellent le phénomène, est la faculté de notre cerveau à modifier certains réseaux neuronaux. Par exemple, une personne décidant d’interpréter positivement ce qui lui arrive renforce les connexions entre certains neurones, ce qui favorise par la suite la transmission d’informations entre eux. Il lui sera donc de plus en plus aisé d’utiliser

ne cherche qu'a comprendre. ll rappelle ainsi, a la suite de Pierre Ansart, que la democratie est une « machine adecroire », et que les debats contradictoires, les derisions ou scepticismes, sont necessaires a la vie democratique pour assurer une plasticite diminuant les risques d' apathie. La vie democratique doit trouver un niveau optimum d'indifference. Une indifference qui evite les investissements affectifs trap 361 Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 188.115.110.226 - 20/05/2015

des odeurs, mécanismes cellulaires et moléculaires de la mémoire, biologie moléculaire des communications neuronales, neurophysiologie de la perception et de l’action, bases biologiques des fonctions cognitives, le cerveau, le mouvement et l’espace, dynamique des réseaux corticaux sensoriels, neuro-imagerie anatomique et fonctionnelle, plasticité des représentations sensorielles, réseaux neuronaux, maladie de Parkinson. Période : Automne 12 blocs – 24 heures – 1 ECTS 05 Jean Petitot, Patrick

évolutif de ces structures. L’idée même d’éducation repose sur l’hypothèse d’une plasticité de l’esprit, qui est non seulement capable d’emmagasiner des connaissances, mais aussi et surtout de prendre des configurations nouvelles. C’est à cela que vise une « formation », au sens plein du terme. Toute référence à une « structure » mentale invariante, propre à l’espèce, semble entrer en contradiction avec l’hypothèse de la plasticité, et évoque de surcroît un déterminisme génétique que beaucoup rejettent avec

consécutifs à des lésions cérébrales. Cette fiche adopte l’approche « élargie » de la neuropsychologie, en présentant tout d’abord un bref historique de cette discipline, puis trois domaines majeurs de recherche : la spécialisation hémisphérique, la plasticité cérébrale et les neurones miroirs. 1. DE PLATON À L’IMAGERIE À RÉSONANCE MAGNÉTIQUE Platon peut être considéré comme l’un des pères fondateurs de la neuropsychologie, en ce sens qu’il considérait que le cerveau était au centre des activités

consécutifs à des lésions cérébrales. Cette fiche adopte l’approche « élargie » de la neuropsychologie, en présentant tout d’abord un bref historique de cette discipline, puis trois domaines majeurs de recherche : la spécialisation hémisphérique, la plasticité cérébrale et les neurones miroirs. 1. DE PLATON À L’IMAGERIE À RÉSONANCE MAGNÉTIQUE Platon peut être considéré comme l’un des pères fondateurs de la neuropsychologie, en ce sens qu’il considérait que le cerveau était au centre des activités psychiques

de toutes implications psychologiques de sa douleur. Les facteurs responsables de l’évolution d’une douleur vers la chronicité sont multiples et imparfaitement élucidés. Les hypothèses disponibles concernent les niveaux neurophysiologiques (plasticité neuronale) et psychologique (phénomène d’apprentissage,conditionnement). Il est généralement admis que la persistance contribue par elle-même à transformer les mécanismes initiaux de la douleur. Une douleur due à une cause physique initiale, un traumatisme

avec le risque de conduire au désordre collectif. Page 90 L’organisation des entreprises : vers une structure en réseau Christophe Assens TABLEAU : LES EFFETS DE MAILLAGE Avantages du réseau Inconvénients du réseau Structure Modularité - plasticité Multiplexité des connexions Frontières floues (intra / extra) Barrières à l’entrée et à la sortie Décision Polyvalence des rôles Décision locale distribuée Consensus mou Paralysie des décisions collectives Coordination Compatibilités spontanées