Platon Le Mythe De La Caverne

Chapitre 1LE SUJET En quoi la philosophie permet-elle l'affirmation du sujet ? La philosophie donne lieu a un enseignement qui prend appuis sur la pensée des grands auteurs (Platon, Aristote...). Elle prend appuis sur des idées/concept dérivés a apprendre et et qui peuvent donc comme la plupart des enseignements, plier l'esprit dans l'apprentissage ou le conditionnement. Dans cette logique, l'esprit et tout sauf responsable de lui même, la parole qui sera restitué sera une forme de restitution/récitation

l’allégorie de la Caverne (cf document) => célèbre pour plusieurs raisons, extrait du livre « La République » (ie chose publique, nom d’origine = « polithéia » soit constitution pas au sens moderne mais au sens des grands principes de la socité). La question initiale de la République n’est pas du tout politique : est-ce que l’homme juste est plus heureux que l’homme injuste ? (= réflexion sur le bonheur individuel) => réflexion qui passe par cette notion de justice. Socrate et Platon disent que le bonheur

questionnement sur l'homme et sa place dans la société. Apparaissent ici des personnages sans doute plus intéressants pour l'histoire que ce que la tradition n'en retient généralement : les Sophistes, dont deux représentants célèbres, représentés par Platon dans ses dialogues, sont Gorgias et Protagoras. Pour Protagoras, "L'homme est la mesure de toute chose", c'est-à-dire qu'il n'y a pas de vérité absolue, mais seulement des opinions relatives à l'homme (ce vin délicieux pour tel amateur est amer pour

centre du texte. Il y a, chez les grecs, pour s’exprimer, la nécessité de maîtriser un art oratoire. Être beau, c’est la possibilité d’être accueillit plus facilement. Epilogue : il répond au prologue. 3 sources de connaissance : - Platon ➢ Fondement de l’Occident. Amour platonique (pas de rapport au sensible) - Xénophon (historien, essayiste et chef militaire) Il va avoir une approche historique de Socrate. - Aristophane (poète comique) La religion occidentale :

bonne foi de Marivaux ou encore Six personnages en quête d’auteurs 2) un extrait de Miles gloriosus (le soldat fanfaron) de Plaute, donné dans le prolongement de l’étude du personnage de Matamore) 3) un extrait de La République de Platon, "le mythe de la caverne" Travaux effectués en classe : * Visionnage et comparaison de quelques passages de L’illusion Comique : 1) Matamore, dans les scènes 1 (acte II), 8, 9 et 10 (acte III), mis en scène de trois façons différentes, par Brigitte Jaques-Wajeman

et de l’amour. Paragraphe 2 : Fénelon emploie le mot « grotte » qui est plus naturel et plus ambivalent que la caverne. La grotte est une association de minéral et de végétal, on voit aussi une allusion au château de Versailles : la grotte de Versailles où sont exposées toutes les splendeurs, alors de la caverne ferait plutôt penser au mythe de la caverne (mythe d’Er) de Platon. La 1ère phrase est importante, elle centre le propos sur Télémaque et le décrit avec un terme fort : « surprendre

il faut commencer par douter de ses sens, fréquente source d’illusion. Pour parvenir à la vérité, et pour atteindre l'essence des choses, il convient de se fier à sa raison, seule capable de connaitre ce qui constitue la vraie nature des choses. Platon lui-même avait déjà abordé cette question. Selon lui, l’homme doit s’efforcer de se défaire des opinions, illusions et désirs déréglés qui l’empêchent d’apercevoir la vérité, but ultime de la vie humaine, car empêchant de commettre des erreurs. Du

qui persiste dans tout ce qui change ? ». Les physiologues (premiers physiciens) vont introduire un discours nouveau : VIIe av JC dans bassin méditerranéen (ville de Milet en Ionie les Milésiens)  Thalès, Anaximandre, Anaximène ⟹ refusent le mythe qui a recours au surnaturel, introduisent le Logos, discours rationnel (s’appuyant sur l’observation du naturel et niant toute intervention du surnaturel) ⟹ volonté d’expliquer et de connaître. Naissance de l’écriture (hiéroglyphes en -3400 en Mésopotamie)

sophistes qui croyaient tout savoir. Sa sagesse se résume dans sa célèbre formule : « je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien ». Socrate dira plus précisément encore que seul celui qui se sait non sage peut désirer atteindre la sagesse. Platon (428-348 av J-C), son illustre disciple est le « père » de la philosophie occidentale à travers ses dialogues qui mettent en scène Socrate. Or, ces dialogues sont souvent aporétiques (sans issue) car la pensée platonicienne suppose une limite à la

monde dont le mythe de la caverne de Platon reste encore une belle métaphore : « Pour nous sortir de notre condition de prisonniers assujettis à ne voir que le fond de la caverne sur lequel se projettent les ombres des objets réels éclairés par le soleil, la connaissance rompt les liens et nous pouvons nous retourner vers les objets, les yeux éblouis de cette clarté à laquelle nous nous habituons difficilement pour voir l'entourage et encore plus le soleil » (Le mythe de la caverne) Dossier